II - Une aventure intrépide

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Bref, continuons mon histoire.

Enfin arrivés devant le fameux chalet. Mon père arrêta la voiture en nous disant clairement :

« Restez ici pour l'instant, je vais voir mon frère pour discuter de tout ça »

Alors on obéissait. Je voyais au loin mon papa parler avec mon oncle. Puis je vis qu'il avait une puce rouge.
Donc c'est pour ça qu'il nous a fait venir ici...

Après leur discussion, nous descendions de la voiture avec son accord. Puis nous rentrions dans la petit maison en bois.

Tout était si chaleureux, en même temps, avec ce froid qu'il y avait à l'extérieur heureusement que l'on avait de quoi se réchauffer. Et je m'aperçus qu'il y avait un bon nombre d'autres personnes. La plupart avait des puces rouges, les autres, aux puces vertes, étaient sans doute des membres de la famille.

Nous nous mettions devant la télé, ma petite sœur sur mes genoux. Puis nous étions en train de regarder l'apocalypse sous nos yeux. Des explosions un peu partout, des bâtiments qui se réduisaient en cendre. J'essayais de cacher les yeux de Talia.

Oh oui désolé, j'avais oublié de dire comment elle s'appelait, Talia est ma petite sœur.
De grosses joues rondes, des yeux bleus et des cheveux très noir.

Un vrai désastre. Mais on se sentait, du moins la plus part, en sécurité. Une fille de mon âge était présente sur les lieux, je suis allée la voir pour lui demander son prénom. Elle s'appelait Leya. Elle portait une longue robe de couleur bleu nuit. Elle touchait sans arrêt son collier qu'elle portait autour de son cou.
Puis je lui demandai se qu'il contenait.. Il y avait à l'intérieur une photo de sa mère, elle était morte quand elle n'avait que 6 ans.

« VENEZ VOIR ! »

Cria un homme assez grand.

On se précipita tous devant la télé et vit une drôle de chose. Ils expliquèrent que dans chaque puce.. Un virus était à l'intérieur et qu'à n'importe qu'elle moment il pouvait se déclencher. Nous étions tétanisés.

En apprenant ça, quelques personnes en avaient marre et partirent, même si c'était pour mourir.

Mon oncle leur cria :

« Bande de lâche ! C'est pas une petit virus qui nous tuera !!! »

Le début de la finOù les histoires vivent. Découvrez maintenant