Une famille

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       Le lendemain, tous mes sens étaient en alerte et après le déjeuner, venait le cours que je redoutais déjà. J'avais pensé à me faire passer pour malade, mais je n'avais pas envie de lui donner ce plaisir. J'allais l'affronter s'il le fallait. Je venais de me remettre de la veille, mais je le sentais encore mal. Je me rangea au fond du rang et entra dans les derniers alors que tout le monde était impatient, je me mis au fond et essaya de ne pas me faire remarquer.

« Bonjour à tous aujourd'hui nous allons travailler sur les épouvantards, qui peut me dire les particularités des épouvantards ? »

       Une élève répondit, mais je ne l'écoutai pas, car je connaissais la réponse ; notre pire peur. J'appréhendais la suite, il nous demanda de nous mettre en ligne et de passer un par un. J'étais dans les derniers et ne m'en plaignais pas. À chaque fois que les élèves réussissent à vaincre l'épouvantard, un bruit de fouet retentissait ce qui me faisait sursauter à chaque fois. Lorsque arriva mon tour, je n'avais toujours aucune idée de comment le tourner en ridicule. De plus, j'avais peur, je savais pertinemment ce qu'étais mon épouvantard et ne souhaitais vraiment pas revoir cette personne. Mon cerveau fonctionnait à cent à l'heure tentant de trouver une solution.

       Lorsque le professeur Dumbledore s'approcha de moi pour me placer face à l'épouvantard je tenta le tout pour le tout, je fis sauter mes barrières d'occulmens et pensa : 

« s'il vous plaît ne m'obliger pas à faire ça. J'ai trop peur ». 

        Il me plaça et me chuchota :

« On a tous peur de quelques choses, soyez forte ». 

        Sa voix était apaisante, je pense qu'il m'as pardonné l'incident de la veille soudain, le bruit retentit je sursauta et vit devant mes yeux apparaitre la femme que j'avais tenté d'oublier pendant des années.  Ma plus grande peur, la cause de tous mes problèmes, la femme qui nous gardait à l'orphelinat, une sorcière vile et méchante. L'épouvantard prit sa forme et s'avança vers moi très doucement tandis que mon cœur battait à cent à l'heure. Sa voix retentit à travers toute la pièce : 

« comme nous nous retrouvons Agnès, alors tu ne salues pas ta baby-sitter préférée ?Nous allons pouvoir nous amuser » dit-elle d'une voix forte. 

      Mes larmes coulaient le long de mes joues tandis que mes genoux heurtèrent le sol.

« Bien et maintenant, endoloris » Dit-elle d'une voix aigu

         Un éclair rouge vola en ma direction et je le regardai impuissante. Je ferma les yeux morte de peur comme quand j'étais enfant. Je me souviens alors de mes parents qu'est ce qu'il me manquait dans ces moments là. Je me souviens aussi à quel point je leur en avait voulu de m'avoir laissé dans cette orphelinat. J'attendis le choc mais rien.... J'ouvris les yeux; 

       Le directeur, c'était interposé et avait renvoyé l'épouvantard dans le placard. Je m'enfuis à toute jambe de la salle et je me perdis dans les couloirs. Au bout de quelques minutes j'atterris dans des toilettes au deuxième étage. Un mal de crâne vient s'ajouter à ça au bout de quelques heures. Je pleura pendant je ne sais pas combien de temps. De toute façon, j'en avais perdu la notion. Ce souvenir que j'avais tous fait pour oublier, révéler au grand jour aux yeux de tous. Je ne m'en remis pas, je vis par la fenêtre que deux jours étaient passés le château entier devait être à ma recherche, mais je m'en fichais. D'ailleurs, j'entendais quand mes sanglots se faisait moins fort des personnes crier mon nom à travers le château. J'avais vraiment envie que quelqu'un me trouve, mais c'était peine perdue ; je ne pouvais pas bouger, secouer par les sanglots. Toute ma force c'était comme en aller. Je rencontra un fantôme mimi geignarde qui pleura avec moi pendant quelques heures, elle me parla de sa mort et cela me rendit encore plus triste. Au bout du quatrième jour, je crus que j'allais mourir ici morte de chagrin.

         C'est au bout de la quatrième nuit que quelqu'un apparut dans ma vision brouiller. J'essuyai mes larmes et vis une silhouette ressemblant à celle de Gellert. Il s'approcha de moi et je vis que c'était bien lui. Il me prit dans ces bras et m'emmena dans le bureau du directeur en me répétant que maintenant tous allaient bien maintenant. Il était extrêmement doux avec moi et semblait soulager de me voir en vie et moi aussi, j'étais soulagé de le voir.

        Quand j'arrivai dans le bureau du directeur et me posai sur le sofa, je vu aussi Dumbledore, lui aussi semblait content de me voir en vie, il s'excusa pleins de fois, mais je ne lui en voulais pas. Il s'était jeté devant le sortilège pour me sauver sans hésiter. J'avais trouver des personnes qui me soutiendraient et me protégeraient. Dumbledore me retira les souvenirs concernant cette femme et les mit dans une pensine. Alors je me détendis, ils restèrent au près de moi toute la nuit, me protégeant et me rassurant. Ils me regardèrent tout les deux et je sus alors que j'avais trouvé ce que je cherchais depuis longtemps.

Une famille.

FIN ! 

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Hey ^^
Je tiens à remercier lepetitscribe qui a corrigé la plupart de mes fautes d'orthographes ( et il en avait beaucoup !) Je vous conseil de jeter un coup d'oeil sur ce qu'il écrit car c'est trop bien !
Voilà la fin de ma première histoire, j'espère vraiment qu'elle vous aura plu ! N'hésitez pas à me le dire en commentaire. Merci de l'avoir lu. 

Et à bientôt ! 

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Une jeune étudiante ! (Grindelwald x Dumbledore)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant