Pas besoin de mourrir pour perdre la vie,
Et c'est dans la mélancolie de la nuit que je l'ai compris ,
Que de mon acharnement à vouloir tenir le coup...
Toujours un peu plus mais là je suis à bout,
A quoi bon lutter ? La moindre parcelle de mon corps est épuisé,
Il voudrai aller se reposer là où personne viendrait me chercher,
Comment croire à un nouveau réveil ?
Si dans cette obscurité je pris pour le plus long des sommeil,
Celui auquel tu ne te lève pas ,
Celui auquel tous ceci est loin derrière toi.
Laisse moi donc m'envoler dans le plus haut des ciels ,
Laisse moi réduire à néant ma peine.
VOUS LISEZ
Mélancolie quand tu me tiens.
PuisiCe livre est un recueil de poèmes que j'ai écrit ; en espérant qu'il vous plaira, bonne lecture.