inspiré du début d'une lettre de pierre Bergé à Yves Saint Laurent
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Je me laisse glisser au sol, sur ton tapis Perse. Je reste là, un moment, à contempler les boiseries de ton plafond. Je tourne la tête et tombe sur la boîte qui contenait tes dernières volontés...
Aujourd'hui je suis dans la voiture qui enmène ton urne vers ta sépulture dans le jardin de l'orphelinat qui t'a vu grandir.
Je porte le noeud de soie que tu m'as offert, ce dernier objet qui me relie à toi.
Il est encore humide, imbibé de mes larmes salines. Je ne me rappelle pas avoir déjà pleuré; moi qui ne croyais pas au goût salé de cette eaux de désespoire. Voilà que tu m'apportes encore de nouvelles sensations.
l'Elysé t'acceuillera de ses vertes prairies. Un endroit où ton innocence aura enfin sa place.
Moi, je prie, pour que quand viendra le moment, je puisse te rejoindre afin que nous puissions consumer éternellement cet amour si brûlant.
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Cette histoire n'a pas beaucoup d'audience mais j'aime l'écire.
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Seiya...
Fiksi PenggemarUne porte, une ouverture vers de bons souvenirs. Un jour d'été, poussé par des pensés nostalgiques, Shiryu la pénetrera, en entrant dans les appartements de son bien aimé...
