Le carnet.

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Emma se réveille et éteint son réveil, nous sommes le quatre février aujourd'hui, un samedi. Elle n'a rien de prévu et il pleut, ce jour qui il y a deux ans auparavant était toujours réservé.

Elle se lève et inspecte sa chambre en remettant ses décorations sur son étagère, elle l'avait nettoyée de fond en comble après avoir fait une petite gaffe, comme elle aimait l'appeler.

Elle habitait seule, ici, depuis un mois maintenant, dans un studio en pleine ville, à côté d'un petit café qui c'était installé en bas de la rue et devant une bouche de métro.

Après s'être lavée elle se regardait en sous-vêtements dans sa glace, elle était plutôt jolie, son corps était assez bien proportionné, malgré les cicatrises qui le jonchait. Elle se vêtit d'un nouveau jean qu'elle avait acheté il y a deux jours et d'un pull vintage marron- crème, elle laisse ses cheveux blonds- beige libre et se maquille en ne mettant que du mascara, elle avait de beaux yeux ambrés.

Elle alla déjeuner en regardant les infos. Ils parlèrent tous du même sujet, c'était ennuyant, alors elle finit par se lasser et l'éteignit.

Dans la lune, ses yeux fixèrent les aiguilles de l'horloge tourner sur son mur en papier peint orange. Son biscuit tomba au fond de son café noir sans sucre en éclaboussant sa table.

La vaisselle avait été faite et la table nettoyée, la chambre aérée une minute - les mouches aimaient rentrer -, le lit fait puis elle replaça correctement les rideaux, en fermant à clé la fenêtre, elle ne voulait pas que ses vieux voisins, - de vraies commères - vivant en face de chez elle, regarde par la fenêtre avec vue sur sa chambre qui plus est, et en son absence.

La machine à laver sonnait, elle y alla et s'occupa d'étendre le linge, elle tria et jeta certains vêtements irrécupérables, puis elle sortit sur son petit balcon fumer en faisant un tour sur les réseaux.

« Rien de croquant ». Pensa-t- elle avant de le verrouiller.

Dans l'après-midi elle décida de sortir à cette heure-ci, au café, ils étaient là, les deux personnes, des habitués du lieu. Elle prit son café en enlevant sa veste en daim, au comptoir, en discutant avec d'autres personnes et rentra.

Dix-sept heures, elle reçut un colis, elle paya le jeune homme et ferme sa porte, ça lui avait coûté cher, elle n'en pouvait plus d'attendre.

La soirée passa, elle était si impatiente, mardi soir une soirée était organisée par elle-même, dans une salle réservée. Emma allait encore utiliser et frapper, elle avait tout prévu pour en avoir pleins aux yeux et autre part.

Lundi, six heures trente, Emma se réveilla tôt, elle aimait avoir le temps de tout bien préparer, elle rangea sa chambre, remit ses particulières décorations bien à leurs places sur son mobilier et s'en alla se préparer.

Elle s'habilla d'un t-shirt rentré dans son jean noir, en rajoutant deux bracelets discrets argentés, sa chaîne lisible qu'elle cacha sous son t-shirt et une boucle d'oreille, des souvenirs. Ses cheveux étaient attachés en queue de cheval, elle avait mis de l'highliter et du mascara.

Elle alla déjeuner en regardant les infos. Ils parlèrent tous du même sujet, c'était ennuyant, alors elle finit par se lasser et l'éteignit.

Dans la lune, ses yeux fixèrent les aiguilles de l'horloge tourner sur son mur accroché sur du papier peint orange. Elle pensa à demain soir, elle sourit. Son biscuit tomba au fond de son café noir sans sucre en éclaboussants sa table, encore.

Après avoir nettoyé et fait la vaisselle, elle alla fumer comme à son habitude sur le balcon, sa veste en daim sur son dos. La pluie commença à s'arrêter, elle se munit de son sac et d'un parapluie direction la fac, le métro était bondé, elle était là, au fond du wagon.

La marche de l'éléphant.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant