• Re : Birth • [Kakashi x Oc]

• Ch 25 • 再び 君...•

{Trad : encore toi...}

[Pdv Niseko]

On marche dans les rues vers la porte ouest avec Temari.
Il y a déjà des enfants qui jouent dans les parcs.
Elle est vraiment silencieuse, c'est presque stressant.
Je décide alors de lancer la discussion.

Niseko : Pas trop la pression ?

Temari : Comment ça ?

Niseko : Être de liaison entre Suna et Konoha à 12 ans...

Temari : Ah oui. Notre Kazekage actuel a confiance...enfin avait confiance...

Niseko : Il est mort ?

Temari : Oui, lors de l'attaque contre Konoha. Enfin même avant. Orochimaru l'avait tué et prit son apparence. Au final il est mort de sa propre folie. C'était mon père... Rasa No Subaku.

(Pour vous rappeler la gueule de ce ... hum hum.)

Niseko : Désolée. Mes condoléances.

Temari : Vous savez je pense qu'il n'avait plus toute sa tête depuis la mort de notre mère. Il a même essayé de tuer m'on frère Gaara à plusieurs reprises.

Niseko : Ah oui quand même...ça veux dire que le poste de Kazekage reste vacant ?

Temari : Pour le moment oui mais je pense que mon frère est en bonne posture pour reprendre le poste.

Niseko : Gaara ?

Temari : Malgré qu'il abrite Shukaku, personne n'est volontaire et puis il maîtrise son démon maintenant, enfin c'est en bonne voie.

On à marché pendant trois jours.
C'était éprouvant, mais bon...
Mission accomplie et sans embrouilles. J'ai prit le temps de visiter Suna. C'est un charmant village. Aussi vivant et animé que Konoha. Beaucoup moins de verdure, évidemment, dans le désert, on sait à quoi s'attendre.

J'ai repris la route dans le sens inverse.
Seule, c'est tout de suite beaucoup moins passionnant.
Je prie surtout pour que personne ne me tombe dessus parce que je n'ai ni l'envie, ni l'énergie d'engager un combat.
J'ai haï tous les dieux...
Pas encore lui...

Cet homme aux cheveux longs attachés, portant le manteau de l'akatsuki.
Ce même homme qui m'avais envoyé à l'hôpital quelques mois auparavant...

À ce stade c'est plus de la malchance de le croiser, je pense que tous le monde veut ma mort !
Il est face à moi, au milieu de l'allée.
Il me fixe. Je regarde son front au lieu de ses yeux, il vaut mieux être prudent.