Bienvenue ici jeunes gens !
Vous aimez les animes ? Vous aimez rire ? Vous aimeriez bien débarquer de nul part (ou pas) et rajouter votre grain de sel dans vos œuvres préférés (et surtout péchos, on va pas se mentir) ?
Alors vous êtes au bonne endro...
Il était inscrit là, sur le radiateur de la bibliothèque. Le numéro de Yato, présumé t'aider. Tu l'avais aperçu après avoir cherché désespérément le roman que tu devais lire pour le français pour le lendemain. Et bien sûr, il fallait qu'il soit emprunté (bien sûr, en tant qu'élève modèle, tu ne décida pas de regardé le résumé sur Wikipedia, ce que j'aurais fait personnellement). Tu avais perdu tout espoir, et plus tu réfléchissais à un plan Z, plus tu te rapprochais du zéro (la note, hein). Donc tu décida, après quelques secondes de réflexion, d'appeler ce Yato. Et à peine avais tu finis de composer le numéro qu'apparu, venu de nul part, deux jeunes hommes, un brun et un blond. Tu t'attendais à tout sauf à ça.
– Bonjour et merci d'avoir contac...
– STOP !! Vousêtesquidoùvenezvouspourquoipasparlaportedentrercommetouslemonde ? Cria-tu assez fort pour que le bibliothécaire (la madame de la bibliothèque comme on l'appelle) te mettes dehors, toi et le duo de tes pseudos sauveurs.
– Bravo, à cause de toi on se retrouve loin de la clim, dis le blond, avant même que tu ne pu les réprimander.
– La faute à qui ? Si vous êtes vraiment ici pour m'aider, alors retournez à l'intérieur et aller chercher mon livre !
Même si tu trouvais ça louche de sortir de nul part, tu étais bien trop stressée pour t'occuper du faite que tu ne savais même pas qui était Yato des deux.
– Mes services ne sont pas gratuits, te coupa le brun de tes pensées.
– Oui, bien sûr, comme si j'avais que ça à faire...
– Alors au revoir, dit-il en s'en allant, suivit de près du blond.
– Non attendez ! Je vous dois combien ?
– 5 yens.
5 yens ? À ce prix, au pire, tu n'avais rien à perdre d'essayer. Surtout que comme ça, sa t'évitais de marcher jusqu'à la librairie la plus proche (5 km c'est beaucoup quand même) – ton plan F – et garder l'argent pour t'acheter de la bouffe, parce que la bouffe, c'est la vie.
– C'est d'accord, et si vous êtes rapide, je pourrais peut-être vous offrir du chocolat.
Après lui avoir passée la pièce de 5 yens, le brun, plutôt joyeux depuis que le mot "chocolat" de ta bouche, dit :
– Allons-y !
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– Mais attendez, je ne vous ai même pas dit le titre du livre ...
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La légende dit que malheureusement, tu ne su jamais lequel était Yato.
