Oublie ta haine[abandonné]

Chapitre 2 :Une femme en or

Elle était resté éveiller toute la nuit , à hésité entre coupé ses veine ou continuer a resté la tête haute.Revoir cette photo avait rouvert  ses blessures et remonté ses souvenires douloureux .Quand elle se leva,elle alla directement dans la salle de bain pour se préparé .Elle mit du font-tient sur ses cernes puis sortit.

                Sur le lit ,elle trouva des sacs de course ,du courrier et deux trois colis.L’une des lettres était ouverte.Elle la pris et la lut, c’était cette femme ,Poluccica,sa deuxième mère commme elle aimait le dire, qui lui avait apporté tout cela.Elle aurait du s’en douter ,chaque semaine elle fesait  ça,lui apporter tout se dont elle avait besion et se qu’elle recevait.Elle se demandait souvent se qu’elle serait devenu sans elle .Elle aurait surment mal tourné ou pire ,elle se serait sucidé .Cette femme qui l’avait élévé comme sa propre fille lui avait aporté toute la chaleur et le réconfort dont elle avait besoin.

Les gens la voyaient comme une femme sévere ,malvéiante,sans cœur alors que s’était tout le contraire , elle  était douce ,bienvéiante  et d’une gentillesse sans faille .Elle avait le cœur sur la main .Ce qui lui donnait cette air de sorciére était sa froideur et sa mine renforgé qu’elle avait tout les jours ,mais s’était un masque pour se protégé car dans son passé elle avait beaucoup souffère de sa différence car elle avait les cheuveux rose pâle.Erza ne savait pas se qui lui était arrivé pour qu’elle devient comme ça mais elle était sûr que sa devait être horrible .Quand Poluccica se retrouvait dans son jardin ,elle ressemblait a une fée,les plantes étaient son dommaine.C’est accause de cette connaissance que les gends avaient eue peure d’elle quand elle était petite mais c’est aussi grâce a cette connaissance pouvait soigné les gens même si elle a du faire des années de médecine avant de pratiqué.

Si vous étiez malade ou bléssé ,vous pouviez conté sur elle , d’où vous venez ,qui vous êtes ,qu’elle est votre passé ,elle s’enfiche elle vous soignera .Elle voyais toujours la lumière dans les gends même les personne les plus obscures ,cette dame était un ange tomber du ciel et tout ceux qui se moquait d’elle ou l’insutait était des imbéciles fini . « Aujourd’hui ,on juge les gends par leur apparence et leur passé alors que l’ont devrait les jugé par leur cœur.J’avoue qu’il est difficil de trouvé la vérité dans se monde de mensonge mais les apparences sont souvent trompeuse.C’est pour ça que j’ai décidé de vivre hort de la ville ,pour fuir la bétise humaine .Toi ,mon enfant , tu vis dans ce monde alors fait attention »avait-elle dit quand Erza lui avait demendé pourquoi elle ne venait pas vivre avec elle.

Cette fée jardiniére était la seule personne qui la fesait sourire, sa seule confidente ,son seul soutient dans ce monde.

Dans la lettre ,elle lui disait de bien manger ,de bien dormire ,ect ,…Même si ça l’ennuyait de lire toujours la même chose sa lui montraist aux moins que elle valliat qu’elle que chose pour qu’elle qu’un dans se monde et sa la remplissait de joie. Aujourd’hui elle avait mit un ps , ça s’était mauvais signe, elle lue la phrase « Ma chère enfant ,si jamais ,aux grand jamais , je retrouve encore un couteau dans ton lit ,tu auras inttérrais a ne pas te manqué car ,foi de jardinière , je te le ferait regrété !!! Cette après-midi vient me voire » Aïe ,c’était mauvais signe.

Elle ranga les produit frais dans le frigo qu’elle avait installé dans sa chambre vu qu’elle ne rentrait quasiment jamais dans la cuisine et laissa le reste dans sa chambre,elle le rangerait ce soir en revenant enfin si elle revenait vivante.Elle finit de se préparé et partit/

-Et s’est partit pour une journée en enfert…