Hasta la muerte [Tome 2]

ㅤೄྀ࿐ 𝐂𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 𝟒 : 𝐑𝐞𝐠𝐚𝐥𝐨

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✽ ⋆ ┊ . ˚ [Point de vue]
˚✧ [GIULIA]

Pour vous décrire mes deux enfants, le premier qui ai sortie de mon ventre est Luka, un petit dur, il a beaucoup de caractère comme son père, il a le regard plutôt fermer, ses cheveux sont brun et les yeux couleurs bleus comme les miens, il est un petit peu plus grand que son frère Adriano, lui est châtain blond aux yeux bleus verts, il est plutôt calme et tendre, il sourit tout le temps et adore les câlins, il à toujours été sérieux à l'école depuis petit j'avais peur que sa change avec le temp mais je me suis trompé il a réellement la tête sur les épaules.

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│ — Nous sommes là avec les bébés Rodriguez ! Engage Leonardo l'oncle des petits.

— Ouf, j'ai eu une peur bleue.

— Tu ne me fais pas confiance Giu ? Je ne vais pas les kidnapper.

— On ne sait jamais ! Avais-je dit en cœur au même moment que Dan.

— Hahahahh ahah.

Leonardo prit un puissant fou rire accompagné d'Almerio.

— On ne se moque pas ! Continuai-je pour me défendre.

Après ce léger moment euphorique, nous partons en direction des salles et ajustons quelques détails. C'est très grand donc on se sent comme des fourmis, mais quand il y aura les invités ça se remplira à coup sûr. On a tout décoré dans un thème bleuté. J'ajuste les petits ballons bleus pailletés pour terminer.

Un peu, plus tard, après deux heures, je dirai la fête bât déjà son plein. Comme vous l'auriez deviné depuis le temps Danny, aime faire de belles choses et tout cela en grand alors il a invité pas mal de personnes, et bien évidemment Rob et Stef aussi sont présents, ce sont les parrains de nos enfants et nous en sommes pas déçus. Ils ont ramené des petits cadeaux tout mignons, les petits sont vraiment gâtés aujourd'hui.

C'est alors le moment de les ouvrir et j'assis Luka sur mes jambes pour qu'il les déballe avec moi. Nous avons engagé des photographes pour nous prendre en photo comme pour le jour de notre mariage, nous avons pris cette habitude pour garder des souvenirs sans laisser de preuves sur nos téléphones qui sont changés régulièrement.

Pour ma part, je lui ai offert plusieurs jouets tendances qui devraient l'amuser comme le petit garçon qu'il est puis même s'il est jeune, je lui ai ouvert un compte et je lui ai déposé une importante somme d'argent dessus comme ça quand il sera grand, il aura déjà une bonne économie qui pourra l'aider à réaliser ce qu'il souhaite.

Il sourit ce qui est très rare, car généralement, il affiche très peu d'émotions ce qui m'a toujours fait peur pour un enfant de son âge. Il me fait un petit bisou pour me remercier et il passe au cadeau suivant, son père lui a offert un faux pistolet et franchement, je resserre ma mâchoire en colère et je pense que je vais lui faire une remarque désagréable à ce sujet.

Stefanie, elle lui a offert des vêtements très charmants qui ont dû lui coûter cher pour les moyens qu'elle a. Roberto lui a offert des gants de boxe sympathiques et c'est là que je me dis que lui et Dan ne sont pas frères pour rien. Leonardo lui a réservé des places à lui et son frère pour une sorte de parc d'attraction ou quelque chose de la sorte. Enfin bon si je continue à tout vous cité, j'en ai pour des heures et des heures.

Les garçons sont partis s'amuser avec Almerio et je profite de cet instant pour danser avec Danny. Je lui dis calmement, mais d'un ton sec.

— Pourquoi tu lui as offert cette arme ?

— Giulia...

Il serre les dents comprennes où je souhaite en venir.

— Enfaite ne réponds pas, tu a raison, je vais te dire ce que j'en pense. Je t'ai déjà dit qu'ils étaient trop jeunes pour que tu commences à les rentrer dans cette galère où nous sommes, tu sais que ça nous a été imposé et tu veux leur faire la même chose ?

— Je t'ai -

Je le coupe avant qu'il ne puisse continuer.

— Je n'ai pas terminé ! Putain Danny, tu as bien vu le comportement de Luka il est déjà trop renfermé sur lui imagine le avec une arme, il pourrais faire n'importe quoi s'il grandit comme ça.

— Non justement moi, je vois en lui le potentiel que toi, tu ne veux pas voir.

Je soupire quand les enfants reviennent vers nous. J'affiche un large sourire et commence à danser avec eux aussi comme si rien n'étais pour ne pas qu'ils se rendent compte de quoi que ce soit.

Quand je détourne le regard, je remarque du coin de l'œil que Leonardo est en compagnie d'une fille plutôt mignonne, je souris face à cette vision qui m'enlève tout énervement.

Je dirais que la journée continue d'une belle manière jusqu'ici alors tout cela réchauffe mon cœur. Mon fils s'amuse à merveille essayant ses nouveaux jouets avec son frère. Quand on rentre, on s'assoit tranquillement dans le jardin enfin moi parce que les enfants eux continuent de jouer toujours aussi surexcité par la journée qu'ils ont eue.

Une femme s'avance vers l'entrée de la maison et un mauvais pressentiment surgit en moi, vous savez cette pression désagréable qu'on peut ressentir à la poitrine ? C'est ce que je ressens à l'instant même où les talons de cette femme approche de la porte et de mes enfants.

— Oui, c'est bien moi.

Au fond, je m'en fichais de savoir qui elle était, je ne voulais pas de sa présence ici et franchement là tous mes souvenirs sont confondu, je me demande ce qui est réel du faux je m'avance alors devant la porte de chez moi.

— Tu fais quoi ici !? Avais-je répliqué.

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└——————— - [ 📼 ].

Je maudis ce jour pour avoir modifié toute la suite de ma vie... J'aurais aimé que tout cela se passe autrement, je pensais que les mystères et la souffrance étaient terminées au moment où j'avais pris le jet pour ma lune de miel. Le problème, c'est qu'aujourd'hui, c'est encore pire, avec Danny, je pensais tout surmonter, mais je pense que l'amour ne fait pas tout. En ce moment, je suis triste, mais je transforme cette tristesse en colère et elle me rend certes plus forte mais aussi plus froide et j'ai peur de cela, j'ai peur de devenir comme Rosa l'a été avec moi il y a longtemps maintenant. Chaque moment pour moi était magique et je préfère positiver en me disant qu'un jour, je me réveillerais et tout redeviendra comme avant.

꧁Fin du chapitre꧂