T'ENCAISSES LES COUPS ET TU RAVALE TES LARMES. TU N'AS PAS LA CHOIX D'ÊTRE FORTE, LA VIE BAISSERA JAMAIS LES ARMES.

_ Tu as froid ?

_ Oui, un peu.

_ On peut Rentrer chez moi si tu veux..?

_ Euh, bah, oui, pourquoi pas.

Il apparu soudain un grand sourire sur son visage, il n'as pas sourie depuis que nous sommes sortis de chez moi, il y as 2h environ je dirais.

Il passa sa veste autour de mes épaules, et me pris la main en direction de chez lui. Il habite pas loin j'espère.

_ Bienvenue à la maison, bon ce n'est pas chez toi hein, mes parents ne sont pas riches.

_ Mon père non plus. La maison appartenait à ma mère.

_ Tu ne parles jamais d'elle.

_ Et toi, tu ne parles jamais de tes parents.

_ Je suis un mec, je suppose que c'est pour sa.

Connard.

_ C'est vrai que, oui je suis une fille, je ne supportes rien, je dois parler de mes problèmes à tout le monde.

_ Ce n'est pas ce que j'ai dit Las', ne t'énerves pas.

_ Ne m'appelle pas ainsi.

_ Okay, ça va princesse, excuse moi, je n'aurai pas dû lancer le sujet, pardonne moi, vient me faire un câlin.

Je me déplaça de la chaise ou j'étais pour aller m'allonger dans le canapé à côté de lui.

_ Excuse moi, je me doute que tu dois sûrement en avoir tellement sur les épaules aussi..

_ Tu n'imagines pas ce que c'est d'être une fille comme moi dans une ville comme ici.

_ Explique moi.

_ T'encaisses les coups et tu ravales tes larmes. T'as pas le choix d'être forte, la vie ne baissera jamais les armes.

Quoi ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant