Chapitre 6/2

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Je fais mon lit.

" Alors tu sors Kétenise ?
- Oui 2 jours.
- Profites-en ma belle.
- Merci Chita. Va se laver ? "

Les douches ouvertes, c'est trop cool. Bien évidemment, c'était de l'ironie.

" Alors Kétenise !
- Makaroph ! Tu veux quoi ?
- On m'a dit que tu sortais aujourd'hui.
- Et en quoi ça te regarde ? "

Elle ne me répond pas et part.
Il faut savoir qu'il faut toujours se méfier d'elle. Makaroph ! C'est une folle. Je fais abstraction de Makaroph pour écouter une conversation qui a l'air de mon concernés.

" Tu as vu, il y a un beau gosse dans la salle de visite. - Tu sais, il est pour qui celui-là ?
- Mais je me ferais bien ça fait 5 ans que je n'ai pas vu un pénis. Alors je suis un peu en manque.
- Total, tu veux dire.
- Comment il s'appelle déjà ?
- Dami, Dani
- Damien ! Intervenais-je.
- Oui c'est ça !
- Tu m'expliques comment tu sais ça toi ?
- C'est mon copain ! Jamais tu ne te le feras. Est-ce que je me suis bien fait comprendre ?"

J'ai pris mes affaires et je suis sorti. Une fois séchée est habillé je vais voir Damien.

" Bonjour ma chérie.
- Bonjour ! Tu m'a manqué. Je l'embrasse tendrement.
- A moi aussi ! On y va ?
- Quoi ? C'est mon père qui doit venir normalement me chercher.
- C'était une surprise. Bon je t'attends dehors.
- Oui je fais au plus vite. "

Après avoir passé toutes les sécurité je sors enfin. J'ai pas de mes notes. Il n'y a pas des gens armés autour de moi.

Quand je retrouve enfin la vue mon cœur rata battement, tout le monde est là même ma mère.
Rantie avec Isabelle dans les bras, et sa femme. Damien et 3 amis à moi.

" SURPRISE !!! " Criairent tous en chœur.

Je crois que c'est un mélange de joie, de frustration, et soulagement. Surtout de liberté. Même si elle n'est que temporaire. Oui je pleure. Rantie est le premier à me prendre dans ses bras en me demandant l'autorisation avant bien sûr.

" Je suis tellement désolé, désolé et encore désolé.
- Pourquoi donc ? Me demande Rantie.
- Je dois tellement te décevoir.
- Non au contraire ! Je suis extrêmement fier de toi ma fille. "

Il m'embrasse le front et laisse la place à une autre personne.

" Bonjour toi !
- Bonjour maman.
- Comment tu vas ma chérie ?
- Je vais bien maman ! Je vais bien ! "

Elle m'embrasses et Isabelle le sac dans les bras.

" Tu m'as manqué grande sœur.
- On s'est vu hier! Lui chuchotai-je.
- Oui mais c'est trop long. Répondit-elle sur le même ton.
- Aller à Isabelle laisse-la respirer.
- Bonjour madame.
- Appelle-moi Nina voyons.
- Je voulais vous remercier pour hier.
- Pourquoi donc ?
- Vous m'avez aider. Vous avez ouvert une autre possibilité à cette affaire. Vous m'avez donné un espoir un espoir de ne pas être coupable. Un espoir de n'avoir pas de ma sœur. "

Le temps guérie les blessures... Ou pas ! ( Terminé Et En Correction ) Où les histoires vivent. Découvrez maintenant