chapitre 8

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Chapitre 8: 

" Monsieur Dewine, savez-vous pourquoi vous êtes ici ? Et de quoi on vous accuse ? 

- Oui. 

- Jurez-vous de dire la vérité et rien que la vérité ? 

- Oui. 

- Bien alors expliquer ce qui s'est passé ce soir-là ? 

- Kétenise, m'a invité à venir boire un verre avec lui. 

- Où ? 

- Chez lui. 

- Pourquoi ? 

- À l'époque il voulait me remonter le moral, je venais de perdre ma femme et mon petit garçon dans un accident d'avion. 

- Alors vous, si je comprends bien, de vous m'arrêter surtout hein si je me trompe surtout... Vous abusez d'une petite fillette de 9 ans pour vous remonté le moral ? Que lui avez vous fait ? " 

Il baisse le regard et ne réponds rien. Comme il ne disait rien elle se reconnaît dans ma direction. 

" Mademoiselle Kétenise ? Que vous a-t-il fait ? 

- Une double pénétration avec Monsieur Explo, et c'est lui qui m'a attaché sur le canapé. 

- Quoi d'autre ? 

- Il est également responsable d'une partie de mes brûlures dans le dos.

Merci mademoiselle. Merci également à vous monsieur pour votre coopération. Vous allez vous asseoir. J'appelle à présent mademoiselle Dumond. " 

Le docteur que j'ai vu au début du procès se lève il monte à la barre. Sans m'en rendre compte je tortille sur ma chaise. 

" Mademoiselle Dumond, j'ai ici le compte-rendu que vous m'avez fait sur l'état du corps de Mademoiselle Kétenise. Mais dites nous en plus. 

- Quand j'ai rencontré mademoiselle Kétenise, j'ai tout de suite vu que quelque chose n'allait pas. Elle ne me regardait pas dans les yeux, du moins quand c'est moi qui parlais. Elle a sursauté quand j'ai ouvert la porte. Et quand je lui ai demandé de se mettre nu son regard a parlé pour elle. Je sentais qu'elle ne voulait pas. J'ai compris il était en maternelle combat avec ce qu'elle voulait faire est-ce que sa tête lui disait de faire. Plutôt ce que ses souvenir l'empêcher de faire. Alors je lui ai permis de garder ses sous-vêtements au moins. quand je lui ai demandé de s'allonger sur la table d'auscultation j'ai attendu qu'elle y a une d'elle même... Ça ne servait à rien de la brusquer. Je savais qu'elle allait y aller mais quand elle l'aura décidé. Son combat intérieur a duré pendant un moment. Mais elle y est allé sans brancher.

- Qu'est-ce que vous en avez conclu ? 

- Tout d'abord tout ce que mademoiselle Kétenise vous a raconté depuis le début à propos des viols est vrai. toutes les blessures concorde parfaitement avec ce qu'elle vous a raconté. Je suis sûr que ce n'est pas terminé. Et encore beaucoup de choses qu'elle n'a pas expliqué. Et pour finir... J'ai un avis bien à moi sur ce procès. Le vrai coupable n'ai pas cette jeune fille mais plutôt son père. 

- Pourquoi ? 

- Je ne suis pas une spécialiste mais il y a des signes qui ne trompe pas. J'ai demandé l'avis dans de mes confrères. 

- Comme quoi ? 

- Je ne sais pas si vous vous souvenez, mais le premier jour, vous l'avez demandé s'il avait toucher sexuellement sa fille. J'étais dans la salle j'ai observé cet homme. Tout d'abord il a une érection. C'est pour cela qu'il a eu ce geste maladroit de réajuster sa veste. Il a totalement dénigrer sa fille mais d'une manière assez étrange. 

- Que voulez vous dire par là ? 

- Il parlait d'elle comme un objet notamment sexuel pour lui et non comme un être humain non comme sa fille. Un père qui ne défend pas sa fille même si elle est coupable ? Je ne sais pas si vous vous souvenez qui l'a soutenu mordicus qu'il avait jamais de chez sa fille. Alors que nous sommes en train d'interroger des personnes qui ont sali sa fille, et qui le site tous.  Comme par hasard on a toujours pas retrouvé la balle et son étui. Et que monsieur Onse est dans le coma. Il est soi-disant meilleure amie de Monsieur Kétenise, je ne l'ai encore jamais vu dans la chambre de son soi-disant " ami ". 

- Nous vous remercions docteur. J'appelle appeler maison monsieur Kétenise à la barre. " 

Le temps guérie les blessures... Ou pas ! ( Terminé Et En Correction ) Où les histoires vivent. Découvrez maintenant