Une histoire de cœur-tome 1

Mensonges

Alors, tu es prête? Accroche toi car c'est un peu compliqué. L'histoire débute il y a 6 mois. Maria marchait dans les couloirs du lycée vers sa salle de classe. Puis, elle rencontra sur son chemin Timy:
-"Hey Timy! Comment vas-tu?"

-" Salut Maria. On peut dire que ça va merci" riait-il

-"Rassures-moi Tim, tu as quand même dormi cette nuit?!" Répond-elle

Timothée se gratte la tête en prenant l'air gêné en regardant Maria,

-"Euh ouais... fin... t'inquiètes pas pour moi. Je jouais à la play. Tu sais...hum...N2K20... je suis accroc à ce jeu j'arrive pas à arrêter. "

-"Non mais?! Tu peux plus faire ça Timy! C'est pas une vie ça. Tu peux pas ne pas dormir et assurer ta réussite à l'école. Surtout que tu me mens depuis plusieurs jours sur le fait que tu restes chez toi. À soit disant "jouer à la play".Je te vois sortir la nuit... Où vas-tu?"

-"Écoute" dit-il d'une voix douce en posant ses mains sur les épaules de Maria, "Tu es comme ma sœur et je ne veux pas que tu. t'inquiètes.Regarde! Je vais bien!"

Maria souffla et lui sourit.
-"Bon il faut que j'aille en cours ok ? On reparle tout à l'heure."

Timy lui fit un salut de la main et ils partirent dans une direction opposée.

**
Bon. Je fais une petite parenthèse pour te dire que Timy ment à Maria au sujet de sa famille. Je t'explique. Il pense que son père trompe sa mère et sort l'espionner les soirs pour connaître la vérité. Il a malheureusement visé juste et depuis, il se replie sur lui même, et reste distant vis à vis de Maria et elle le remarque bel et bien. C'est un peu pour cela qu'elle est tendue et fait "la morale " à Timy. Je reprends l'histoire pardon.
**
La dernière heure de cours avait sonné et tous les élèves rentraient chez eux. Maria resta encore un peu dans une salle pour terminer son projet de littérature française. Elle entendit quelqu'un toquer à la porte. Et sursauta
-"Salut Maria. Je ne te dérange pas j'espère."lui dit Timothée.

-"Oh. Non t'inquiètes pas. J'avais bientôt finis de toute manière."

Il s'assied en face d'elle, puis, lui pris les mains.
-"Il faut que tu saches quelque chose Maria..."