𝐌𝐚𝐫𝐢𝐥𝐲𝐧 (histoire courte)

Chapitre 5 : Nous sommes fortes

Elipse
6 mois plus tard
23 juin 1899

Et oui, c'est toujours moi, Marilyn. Aujourd'hui je vais mieux.
Même si je garde toujours de vieilles cicatrices.
Je vais vous expliquer tout ce qu'il s'est passé depuis tout ce temps.
Jane m'avait recueilli chez elle.
J'étais au plus bas.
J'avais tout perdu en moins d'une heure.
Jack et mon enfant.
Je ne voulais pas retourner dans cette maison.
Alors j'ai dit aurevoir à toutes mes affaires.

Je n'ai jamais refait ma vie depuis.
J'ai du prendre une décision pour pouvoir trouver du travail rapidement et pas mal être payer. Je me suis prostituée.
Jane et François n'étaient pas si riches. Je voulais absolument les aider.

Trois mois plus tard, je continuais toujours. Mais j'avais récolté pas mal d'argent. J'ai pu aider Jane et François. Mais le plus important.
J'ai pu m'acheter de beaux vêtements pour décrocher le métier de mes rêves : je voulais être créatrice dans la mode.
J'ai décroché un travail dans un magasin de vêtement où je créeais mais aussi que je fabriquais grâce à mes bases de coutures.
J'ai donc quitter la prostitution.

J'ai appris quelques jours plus tard, que Jack était mort à cause d'un accident.

Vous devez sûrement vous demander pourquoi je n'ai pas porter plainte contre lui quand il m'a détruite. Pourquoi ?
Parce que tout simplement je suis une femme.
Et je n'avais pas vraiment de preuve de tout cela.

Malgré les marques que j'avais sur mon corps. Ils auraient pu croire que c'est moi-même qui me serait mutilée.

J'ai aussi préférer passer à autre chose. Je ne pouvais pas me reconstruire si j'aurais encore et encore été mêler à toute cette histoire.

Aujourd'hui, je suis la femme que je rêvais d'être.
Je suis fière de ce que j'ai accompli.
Je suis une femme libre, indépendante.
J'exerce le métier de mes rêves.
Ma vie est bien meilleure.

Aujourd'hui, je veux me battre pour nous les femmes.
Je veux que l'on puisse voter, je veux que l'on puisse exercer tout les métiers possibles et imaginables, je veux qu'on ai des salaires égaux aux hommes mais pas seulement, je ne veux plus qu'on soit montrer comme inférieures aux hommes.
Je veux que les femmes mariées ne dépendent pas de leur mari.

Nous n'en sommes qu'au début.
Le chemin est encore long.
Dans un siècle, nous n'aurons sûrement pas encore l'égalité entre les femmes et les hommes.
Mais je suis sûre que nous aurons avancer dans ce chemin rude et éprouvant.
Nous pouvons y arriver. Nous sommes puissantes. Nous sommes fortes.
                               Marilyn Stuard, 1899

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Voilà, cette histoire touche à sa fin. Merci de l'avoir suivi. N'hésitez pas à exprimer votre avis en commentaire et voter si elle vous a plus.
J'espère au futur écrire encore plus d'histoires, encore plus de vies.😘
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