Chapitre 2: Le combat

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Je me réveille quand je sens qu’on me secoua un peu. Je grogne en mettent la tête sous mon coussins quand je sens que je tombe par terre. Je regarde qui a osé  me réveiller comme ça et voie que c’est mon grand-père qui rigole comme pas possible. Je me lève tranquillement pour me changer rapidement la salle de bain et je met ça avec le collier de ma mère:

 Je me lève tranquillement pour me changer rapidement la salle de bain et je met ça avec le collier de ma mère:

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(

(sans la cape)

En retournant vers mon grand-père qui est toujours entrain de rire. Je fais sortir une aura noir autours de moi avec un regard tellement noir que mon grand-père est entrains de trembler. Je fait un sourire sadique en lui disant:

Moi: Cours!! 

Il ne se fait pas prier et cours dans les couloirs avec moi derrière lui en lui jetant des objets dessus. Il sens prend quelques-uns en pleine tête mais il ne s'arrête pas pour attends. Sont instincts de survie lui dit de courir sans s'arrêter, je remarque on est dehors et les soldats nous fixe comme si on était des tarrés. Quand j’ai une idée pour me venger, je fonce et le frappe sur les côtes. J'enchaîne les coups de plus en plus fort jusqu’à ce qu’il tombe par terre. Je fais craquer mes doigts en remarquant que le térrain à été aménagé pour le combat qui va suivre. Je me retourne vers les soldats qui me regarde surpris et ensuite amoureusement avec des coeurs dans les yeux. L’amiral en chef s’approche de moi avec les amiraux et il s’arrête une fois devant moi. 

Sengoku: Je vois que tu as commencé à s'échauffer sur ton grand-père! Dit-il en regardant mon grand-père qui se lève en se frottant la tête.

Je fais un sourire moqueur à mon grand-père qui boude un peu alors je vais en rajouter une couche.

Moi: Bas alors grand-père tu commence à ramollir pour que je t’est aussi facilement.

Grand-père: C’est ça rigole bien mais bon je l’avais mériter cette racler. 

L’amiral en chef et les amiraux: Comment ça?

Moi: Il ma réveiller brusquement en me faisant tomber du lit et il c’est très bien que je ne suis pas du matin. Dis-je en grognant un peu.

Sengoku: Bon tu devra te mesurer à Akainu et ensuite contre moi. Tout est permis sauf tuer ou les blessure grave.

On se met en place et attends qu’on nous donne le départ. Une fois que le départ est donné on se jette l’un sur l’autre en enchaînant les coup de pieds avec le hanki de l’armement et lui avec ses poings de lave. Je commence à utiliser ma vitesse pour me glisser derrière lui en lui frappant le dos qui l’envoie valser au loin. J’en profite pour le ligoter avec du granite marin en le ramenant vers les amiraux et le détache. Je retourne vers Sengoku et le regarde avec un regard de défit. Il me renvoie ce regard et on se met en place en attendant le départ. Une fois le départ donné, il prend sa forme de bouddha géant en or alors que moi je fais pousser des lianes. Il m’envoie une onde de choc que j'esquive en me propulsant dans les aire et l’attaque avec les lianes pour le ligoter en lançant une boule de feu. J’enlève les liens en lui mettant un coup de pieds en plein visage avec le hanki de l’armement. Je l’envoie valser sur quelque mètre et je fais apparaitre mon katana. Je fonce sur lui en lui faisant une plaie sur le torse et je lui met un bracelet en granite marin pour qu’il retrouve sa forme d’origine. J’entends mon grand-père qui dit que le combat est terminé. Je m’approche de lui en lui enlevant le bracelet en granite marin. Je lui tends ma main pour l’aider à se relever, je tire un peu pour le mettre debout mais il valssi beaucoup. Je l’aide à tenir debout en remarquant que je lui ai fait une grosse plaie au niveau du torse. 

La Fille D'un AmiralOù les histoires vivent. Découvrez maintenant