« Je dors, tu dors, il dort, nous dormons, vous dormez, ils dorment. Ils ferment les yeux. Ils ferment les yeux sur la réalité. La réalité quand à elle, se voit plus présente que jamais. Jamais.... Jamais elle n’a autant essayé de se montrer qu’aujourd’hui. Aujourd’hui, la réalité se manifeste. »
Ce sont ces paroles qui m’ont réveillé. Je ne sais pas par qui elles ont été prononcée ni d’où, mais une chose est sûre, je suis en plein délire. J’étais debout, dans le vide, habillé en tenue d’école, et totalement conscient. On dit souvent, « est ce que c’est un rêve ? » eh bien non. On sait parfaitement reconnaître un rêve. Ou plutôt, on ne peut pas reconnaître un rêve puisque dans ce rêve non ne pouvons rien faire à par vivre une journée scriptée. C’est ce que la plupart des gens disent. Mais je sais très bien que j’était conscient et que je pouvais décidé chacun de mes mouvement, bien que le choque mentale de ce qui se produisait m’empêchait de bouger. C’était une sensation vraiment étrange, une sensation… indescriptible. Ouais indescriptible. Rien devant moi, rien derrière, rien en dessus, rien en dessous. À par une silhouette que je voyais au loin.
J’ai couru dans sa direction et j’ai reconnu Régis qui avait l’air autant perturbé que moi. J’ai fais signe en courant vers lui.
-OH BORDEL QU’EST CE QU’IL SE PASSE ? Hurle-t-il au moment où il me voit.
-Je ne sais pas, mais c’est plutôt étrange non ?
-Plutôt étrange ? Mec… On est en train de voler dans le vide intersidéral. Dit-il en gardant son calme.
-Je sais, et je trouve ça plutôt drôle aussi. Le faite qu’on vole.
-… Tu me désespères.
On aurait pu continuer à parler comme ça pendant un moment si nous n’avions pas entendu des voix qui venaient de nul pare.
« Elle est la honte de sa famille »
« Elle n’a pas honte ? Ses parents vont faire faillite et elle s’en fout »
-Régis-Quoi ? Qu’est ce que ?
« Regarde la ! Elle ne mérite pas les parents qu’elle a ! »
-Régis-Bordel j’ai déjà entendu ces conneries ! Dit-il avec le visage qui devient très vite haineux.
Régis se met à marcher, comme si il voulait se diriger vers les voix qui pourtant, venaient de nul pare.
Une autre voix plus reconnaissable et une seule cette fois si se met a parler.
« Mais qu’est ce que tu fout ? Tes parents sont les noble dirigeants d’une boutique de vin et toi tu va travaille au centre commercial ? Tu ne nous mérites pas ! »
-Régis-Ce-cette voix… C’est…
Régis semblait terrifié. Tandis que moi je me demandais simplement. « Qu’est ce qui se passe ? »
-Régis-C’est... la voix du père se Steffi… Et j’ai déjà entendu ça aussi quand je l’avais raccompagnée chez elle.
« Pourquoi tu te fais raccompagner par ce fils de… Il est le fils du gérant du centre ! Et c’est ce centre commercial qui va causer la faillite à la boutique de vin de tes parents ! C’est ça que tu veux ? »
-Régis-Non. Je, elle…
Et il se remet à marcher sans destination mais plus vite cette fois.
« Je n’ai jamais pu te le dire »
-Régis-C’EST LA VOIX DE STEFFI ! POURQUOI ON ENTEND ÇA ? OÙ ES TU STEFFI ?
« Sais tu ce que je pensais de toi ? Régis. »
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Le Labyrinthe des vies
Teen FictionDans une vie d'ado normale certains bonheurs ou malheurs peuvent changer la façon de raconter l'histoire de la vie d'ado normale