Larmes de prison

chapitre 3

enterra son visage dans ma poitrine. Il a lentement commencé à cesser de trembler, son emprise sur ma chemise se desserrer. Je pouvais entendre sa respiration même et assez tôt, il était endormi, ses jambes recroquevillées sur la mienne. Il était comme un enfant à l'égard qu'il pouvait facilement s'endormir sans un bruit quand quelqu'un en qui il avait confiance le tenait.

J'ai soupiré doucement, en jouant avec ses cheveux. "Je t'ai promis ça, n'est-ce pas ?"

[xXx]

C'était l'heure du dîner pour le plus grand plaisir de tous. Laxus était à ma droite et Minuit à ma gauche, avec Gajeel en face de moi, Bixslow devant le mâle aux cheveux duel, et Libéré devant la blonde. Nous mangions tous notre pain et nos galettes de viande tranquillement, en regardant avec occasion plus à minuit. Il semblait avoir oublié ce qui s'était passé plus tôt dans la journée. Soit ça, soit il ne voulait pas y penser. Il avait pris ma main en otage pendant que nous mangions, la tenant fermement et entrelaçant délicatement nos doigts. Il était encore gêné et un peu contrarié, mais pour la plupart, il se sentait mieux. Quand les gardes avaient entendu ce qui s'était passé, les secousses qui ont fait ce qu'ils ont fait à minuit ont été punis sans dîner et sans petit déjeuner / déjeuner le lendemain. La faim était l'une des meilleures façons de traiter avec un détenu, mais la punition me semblait trop légère. Personnellement, je leur aurais tiré dans les genoux et jusqu'à ce qu'ils jurent de haut en bas de ne jamais le faire à nouveau.

Gajeel a proposé de prendre le plateau de tout le monde chaque fois que nous avions épuisé notre nourriture de leurs surfaces et tout le monde a accepté. Quand Minuit lui tendit son plateau, le plus âgé s'attela et se froissa légèrement les cheveux avant de se tenir debout. Pendant que la noirette allait ranger les plateaux, le plus jeune retirait sa main de la mienne pour réparer ses cheveux en arrière. Là où Gajeel pouvait facilement jouer le rôle de frère aîné, Midnight pouvait tout aussi bien jouer le rôle de frère cadet. Laxus m'a demandé quand il se pencha près de moi, sa voix dans un murmure feutré, regardant la greenette du coin de l'œil. Il m'a rapidement retourné son regard, un regard plein d'espoir en eux.

J'ai poussé la blonde loin de mon visage avec ma main. «Je n'ai toujours rien, Laxus, "lui ai-je dit fermement. "Juste comme la façon dont je n'avais rien il ya cinq minutes."

La blonde souffla, roulant les yeux. Il a alors décidé de discuter avec le mâle aux cheveux verts en question, souriant et riant. Je préfère aller en enfer que de dire que ces deux-là n'étaient pas faits pour être ensemble. Ils étaient tous les deux timides comme ils viennent quand il est descendu à elle et par Dieu, si je devais, je les prendrais par le dos de leurs têtes et les forcer à s'embrasser. Il me rendait fou d'avoir à les entendre tous les deux jaillir sur l'autre d'une telle romantique, manière colombe lovey qui m'a donné envie de bâillonner.

Minuit a réclamé ma main à nouveau, serrant légèrement. Je l'ai regardé. "Qu'est-ce que c'est ?"

"Puis-je vous parler seul...? Il m'a demandé doucement, tranquillement.

J'ai jeté un coup d'œil aux autres. Gajeel s'était assis en arrière et a commencé à plaisanter avec Bixslow. Laxus et Freed (cher Dieu, je pense que je peux voir le cœur se former autour d'eux entouré s'agitent de nombreux cœurs miniatures) flirtaient encore les uns avec les autres, tous deux inconscients des avances de l'autre. Personne ne nous payait l'esprit, alors j'ai hoché la tête. "Oui, c'est très bien."

Nous étions, les plus jeunes ouvrant la voie à un endroit calme et isolé. Il a trouvé un placard, un placard de concierge, vous l'esprit, et m'a conduit à l'intérieur. J'ai allumé la lumière pendant qu'il fermait la porte. Il rallume rapidement la lumière. « Je ne veux pas que quelqu'un nous trouve », m'a-t-il dit dans un murmure frénétique. Je ne pouvais pas le voir, donc je ne pouvais pas voir ce qu'il faisait. Il m'a pris la main et l'a serrée. "Je n'arrête pas d'y penser, Erik...

Mes yeux s'élargissaient dans l'obscurité. Il n'a jamais utilisé mon vrai nom à moins d'être sérieux. "Vous ne pouvez pas arrêter de penser à quoi? "

"Eux. Ce qu'ils m'ont fait... Aujourd'hui comme il y a toutes ces années...

J'ai serré ma main sur sa bouche instantanément. "Macbeth, qu'est-ce que je t'ai dit à propos de penser à ces choses ?"

Il m'a enlevé la main de sa bouche. "Je sais, c'est juste... Ces gars-là m'a rappelé ... à quel point faible... Il m'a ensuite serré dans ses bras, enterrant son visage dans ma poitrine. J'ai soupiré, enroulant mes bras autour de lui. Je savais exactement ce qu'il allait dire. À quel point je suis faible.

« Vous n'êtes pas faible », lui dis-je doucement. "Vous avez juste peur facilement, c'est tout ... " Je me suis assis, le tenant sur mes genoux. Cela commençait à devenir un événement régulier, il semblait. "Vous pouvez casser le bras d'un homme comme une brindille sans broncher, casser la jambe d'une femme sans grincer des dents, et buste ouvrir le crâne de quelqu'un sans y penser à deux fois. Mais au moment où quelqu'un essaie d'avancer sur vous sexuellement, vous devenez comme un enfant, en essayant de s'échapper et en criant pour quelqu'un pour vous sauver ... ' " Je n'allais pas lui mentir. Je lui dirais la vérité, même si ça semblait dur.

Un silence de grossesse rempli la salle et je ne pouvais pas m'empêcher de me demander si j'avais dit la mauvaise chose. J'ai été un peu soulagé quand il a parlé, mais sa prochaine set de mots a fait mon soulagement de courte durée.

"Peut-on en parler...? Que s'est-il passé...? À l'époque, je veux dire... Nous étions onze au moment où c'est arrivé.

Midnight, Angel, Racer, et moi étions, à l'époque, esclaves, travaillant jour et nuit dans une mine qui était censé contenir quelque chose de vraiment magnifique quelque part au-delà de la saleté sans valeur et la roche. Nous étions loin dans la mine, nos bras fatigués et les gardes n'arrêtaient pas de nous fouetter, nous disant de mettre notre dos en elle. On était fatigués. On avait mal. On avait faim.

Je me souviens de ce qui s'est passé hier.

Il y avait un clang et un cliquetis, un pickax étant tombé au sol. Quand j'ai regardé le pickax, j'ai su instantanément ce qui s'était passé. "Macbeth!" J'ai vu le jeune mâle s'effondrer, haletant lourdement. Ses yeux cramoisi étaient fermés et son visage était rouge. Je me suis agenouillé à côté de lui, essayant de le faire s'asseoir. "Allez, tu dois te lever... Ils vont vous punir si vous n'avez pas ...! "

"Je... se sentir malade ... " at-il râlé, ouvrant les yeux faiblement pour me regarder. Il semblait être trop sur lui, cependant, ses yeux tombant fermé une fois de plus. "Je... ne peut pas continuer ... comme ça...

«Vous devez,« J'ai froncé les sourcils, en essayant de l'aider. Je ne me souvenais pas qu'il était si lourd avant. Il n'essayait pas du tout de supporter son propre poids. Il était trop épuisé physiquement pour même essayer. "S'il vous plaît, Macbeth ... " J'ai réussi à le mettre sur pied une fois qu'il a commencé à, faiblement, se déplacer un peu. "C'est tout... Vous pouvez le faire...

"Qu'est-ce qui se passe là-bas?"

J'avais maudit notre chance comme un garde flâné plus, tenant sa tête haute avec son nez en l'air. C'était comme s'il pensait qu'il était meilleur que nous. J'ai fermé les yeux sur le garde, en regardant. «Il est malade», lui ai-je dit. "Il a trop travaillé et il ne peut rien retenir...! À ce moment-là, Minuit s'est effondré, sa respiration reprenant. Il exerçait trop d'énergie en faisant des choses simples, maintenant. J'ai essayé de le remettre sur pied, mais le garde s'en est occupé pour moi.

Saisissant minuit grossièrement par le bras, le garde l'a traîné jusqu'à ses pieds. Il l'examina puis sourit. Si seulement j'avais su ce que ce sourire avait signifié à l'époque... '"Je vais prendre soin de lui, ne vous inquiétez pas, m'a-t-il dit. Il a ramassé Minuit, le jetant sur son épaule comme s'il était une sorte de sac de pommes de terre. "Maintenant, retournez au travail, gamin."

Après que le garde est reparti avec Minuit sur son épaule, j'ai fait ce qu'on m'a dit, en continuant à travailler jusqu'à ce qu'un autre garde me dise que je pouvais aller me reposer et prendre un petit repas (qui avait consisté en un petit pain non tranché et un verre d'eau). Je n'ai pas vu Minuit pendant cinq jours. Tout ce que j'avais pensé à l'époque, c'était : «Comment était-il malade d'être parti cinq jours? Mais ce n'était pas qu'il avait été malade tout ce temps. non. Non, c'était autre chose.

Quand Minuit est revenu, il a refusé de parler à qui que ce soit, même à moi. Il a regardé... Cassé. Il a fait son travail comme d'habitude, a mangé son pain, bu son eau, puis s'est endormi, ses mains tremblantes couvrant ses oreilles. Chaque fois que quelqu'un essayait de le toucher, il les lançait, tremblant. Il commençait à se secouer, mais peu importe combien de fois nous avons tous essayé de lui demander ce qui n'allait pas. Il ne nous le dirait jamais. C'est-à-dire, jusqu'à ce que je l'ai pratiquement acculé un jour, deux semaines après son retour.

"Macbeth", j'ai commencé doucement. Je ne voulais pas qu'il s'enfuie sur moi, donc je devais être doux et doux. Du moins pour le moment. Il me regardait comme un cerf pris dans une paire de phares. "Macbeth, tu vas répondre à une question pour moi ?" Je n'ai pas attendu qu'il réponde. C'était comme s'il ne pouvait pas, de toute façon, puisqu'il n'avait pas dit un seul mot à personne depuis son retour. "Je veux savoir... qu'est-ce qui ne va pas? Je l'ai attrapé par le bras. "Tu ne vas pas t'enfuir toute ta vie. Je ne te laisserai pas faire.

"Laissez... allez... " Minuit m'a dit, en essayant de reprendre son bras. C'était la première fois que je l'entendais parler en deux semaines... J'ai resserré mon emprise sur lui.

"Pas tant que tu ne m'as pas dit ce qui ne va pas", lui ai-je dit. "Je promets de ne pas le dire aux autres."

Minuit a cessé de se débattre, me regardant dans les yeux. Il avait l'air effrayé et effrayé. J'ai allégé sur ma poignée sur son bras pour essayer de le inciter à me le dire. "Promesse...? Il demanda tranquillement.

J'ai hoché la la deses.

Il a avalé. Il se mit alors à pleurer, me serrant dans ses bras et soudain. Il a tout laissé sortir, sanglotant et pleurant. "Je... J'ai essayé t-pour arrêter th-them ...! Il m'a dit à travers ses sanglots brisés. J'ai enroulé mes bras autour de lui, fronçant les sourcils. Il a continué. "Il... Ça fait mal... Erik, ça fait tellement mal...! "

"Qu'est-ce qui fait mal? Qui vous a fait mal ? " Ai-je demandé, le tenant plus près.
Minuit lui a mordu la lèvre, en me prenant la main et en la tenant fermement. Il l'a ensuite guidé sur son dos, me permettant de ressentir le moindre peu de chaleur et d'adhérence.