Larmes de prison

Chapitre 5

Whoops.

"Minuit voulait me parler seul, alors nous sommes allés dans un endroit plus privé, "j'ai répondu. J'ai ensuite regardé comme nous nous sommes assis. Tous les autres étaient montés pour ranger leur plateau ou ils étaient partis (par les regards de celui-ci, de toute façon). "Vous faites une référence sexuelle à partir de cela et je vous jure maintenant ... " J'ai laissé ma menace de s'éloigner, laissant s'attarder dans l'air. La greenette leva un front à mes mots.

"Relax, je n'allais pas, "" renifla Freed. Il a alors compris pourquoi je dirais cela, l'expression sur son visage changeant légèrement. Il était indubitable - il avait rencontré le même problème à un moment donné, et j'étais prêt à parier qu'avec le peu d'argent que j'avais que le «problème» l'avait attrapé et Laxus se cachant quelque part seul ensemble et craqué quelques blagues pas si approprié à leur sujet ainsi. "Bixslow ?"

Minuit hocha la tête en réponse, se délayant lentement de ma personne. Il a dû penser que ça aurait été pour le mieux que je n'ai pas répondu alors que j'étais encore sur le point de souffler mon haut. «C'est bon maintenant, cependant, " lui dit-il. "Nous avons parlé de ce dont nous voulions parler. D'accord, E-Cobra ? " Il m'a regardé un peu en s'excusant. Il avait presque dit mon vrai nom à haute voix, pas que j'avais remarqué à l'époque. Ce n'est que plus tard que j'ai remarqué grâce à Freed me dire.

«Oui», dis-je calmement, me calmer. Minuit a toujours eu cet effet bizarre sur moi. Je serais énervé au-delà de toute croyance et les limites et en quelque sorte, avec ses mots, peu importe ce qu'ils étaient, m'a toujours calmé. Je me souviens qu'il a fait cela au cours des années que nous avions passées ensemble depuis que nous avons été enlevés de la mine, ce qui m'a empêché d'assassiner probablement une centaine d'autres personnes dans le processus. Étrange que je n'ai jamais vraiment remarqué jusqu'à présent. "Nous l'avons fait." Un peu plus de trois mois s'étaient écoulés depuis. Minuit et moi étions plus maigres qu'avant, les côtes de l'ancien commencent à jeter un coup d'oeil à travers sa chair par rapport à la mienne, ils avaient à peine fait eux-mêmes tout de suite. Nos cheveux avaient grandi plus longtemps, aussi. Contrairement à moi, qui l'a réduit pour être un peu plus long qu'il ne l'était, Minuit a permis à son de grandir avec juste une petite garniture pour se débarrasser des impasses. La partie noire de ses cheveux poussait sur ses cheveux blancs, ne laissant que quelques centimètres de la couleur plus pâle à laisser à l'œil visible. Le vernis à ongles noir du mâle avait complètement ébréché et laissé derrière lui la couleur naturelle. J'avais raison quand j'ai pensé que ça me dérangerait sans fin... Il n'a pas aidé mon cas quand il a décidé d'enlever ses perles de sa seule mèche blanche de cheveux à l'avant en faveur de le tresser. Heureusement, il ne les a pas jetés et a plutôt choisi de me les donner. Croyez-moi quand je dis que c'était une douleur royale dans mon cul de cacher ceux des gardes.

Actuellement, nous étions à nouveau dans la salle commune, les gardes ayant permis à l'un d'entre nous de changer la chaîne à la télévision grâce à ce qu'il soit le début d'un nouveau mois. Personne ne s'est vraiment plaint de ce qui se passait non plus. En fait, on s'est énervés ! Le spectacle a été appelé American Ninja Warrior, essentiellement juste la version américaine de l'ancien spectacle japonais Sasuke, qui s'est avéré traduire en anglais comme Ninja Warrior. C'était assez amusant à regarder vraiment. J'ai dû me taire pour une affaire de minuit endormie.

"Woah! Avez-vous vu ce gars atterrir le saut? " a interrogé Gajeel de côté de moi, pratiquement sur le bord de son siège inexistant. "Cela doit être difficile à atterrir! Toute la force du haut du corps, juste vous et les petites crêtes sur le mur!

Il serait si difficile d'essayer de le faire nous-mêmes. Nous manquerions simplement l'atterrissage et tombions dans une piscine froide d'eau et nous mourrions tout simplement», ai-je reniflé un peu sarcastiquement, en mecouant un peu la tête. Je n'ai pas pris la peine de souligner que j'avais effectué un tel saut de petite crête avant à quelques reprises dans le passé et ce n'était vraiment pas si difficile. Au moins, ce n'était pas comme ça pour moi. "Mais je pense que si nous avons essayé de le faire, nous serions abattus sur place." J'ai jeté un coup d'œil à la forme de sommeil de minuit, caressant ses cheveux de couleur duel un peu absent. Il avait l'air si paisible... et il ne pleurait pas comme d'habitude quand il dormait. Il devait y avoir quelque chose à propos de ma présence qui le maintenait calme...

«Je parie que nous pourrions en quelque sorte convaincre le directeur de nous construire un tribunal comme ça, "Gajeel m'a dit, à la recherche de vingt sortes d'excités. Laxus sniffé à côté de lui. Lui tirant un regard sale, la noirette grogna, "Quoi?"

"S'ils nous donnaient un tribunal comme celui d'American Ninja Warrior, ils seraient stupides. Tu sais à quel point c'est haut ? Nous pourrions facilement sauter la clôture et sortir », l'a informé le blond avec un peu de nonchalance dans sa voix. "Ils peuvent aussi bien nous donner un trou géant et béant dans la clôture et nous dire de ne pas passer par là."

Gajeel souffla et croisa les bras sur sa poitrine, regardant un peu la télévision dans l'agitation. Après quelques minutes à regarder les participants accomplir chaque tâche au meilleur de leurs capacités, il a visiblement détendu et est retourné à les acclamer. J'ai, en attendant, juste secoué ma tête une fois de plus et a décidé de jouer lâchement avec la tresse blanche de minuit un peu absentement. Le spectacle n'était pas vraiment intéressant pour moi en ce moment, pas avec mes pensées élever vingt miles par minute et gagner de la vitesse.

Qu'est-ce que j'avais en tête ? Honnêtement, c'était à propos de minuit qui pleurait tous les soirs. Je ne savais pas quelle était la raison derrière ses actions nocturnes, mais je pense que certains d'entre nous étaient irrités par elle. Et je l'admettrai. J'étais l'une de ces personnes. Il n'a jamais eu de problème avant quand il dormait, quand nous étions avec les autres et non pas dans des prisons séparées. Il n'avait pas non plus de problème quand il dormait sur mes genoux ou mon épaule. Mais chaque fois qu'il était dans sa cellule, c'était là qu'il se mettait à pleurer pour dormir. En le regardant avec des yeux violets, je ne pouvais m'empêcher de sentir une teinte de tristesse et de culpabilité remplir ma poitrine. Je voulais arrêter ses pleurs nocturnes... mais je ne pouvais pas. J'étais complètement et totalement incapable de l'aider. Je ne savais pas quoi faire.

Relâcher un petit soupir, je me pencha la tête contre le mur, fermant les yeux. Si seulement je pouvais l'aider... si seulement ...

Ce n'est qu'environ une heure plus tard que j'ai réalisé que je m'étais endormi, étant secoué éveillé par Freed. Lentement inclinant ma tête vers l'avant et clignotant lentement pour se débarrasser des traces restantes de sommeil, j'ai fredonné doucement. La voix de la greenette était un bruit bas et ronronnant en ce moment, et je ne pouvais pas l'entendre me dire qu'il était temps d'aller à nos cellules pour la nuit. Il a fallu un moment, mais je me suis lentement réveillé un peu plus. "Qu'avez-vous dit...? J'ai murmuré doucement, secouant lentement minuit éveillé.

Libéré grogna un peu, secouant la tête un peu. « J'ai dit qu'il était temps pour nous d'aller dans nos cellules pour la nuit », répéta-t-il avec la moindre agitation dans sa voix.

Hochant la un peu lentement, je regardais vers le bas à un réveil lentement minuit. "Minuit... Il est temps de se réveiller... Il a fait un petit bruit et s'est enclenchedans ma cuisse, pas exactement vif sur l'idée d'avoir à se réveiller. Je l'ai secoué un peu plus, un peu plus rugueux cette fois. "Minuit. En haut. Éveillé. Si je ne peux pas dormir maintenant, vous non plus, monsieur.

Minuit a fait un bruit semblable à un soupir et s'assit, s'étirant un peu et commence à frotter le sommeil de ses yeux écarlates. non. Eye-liner. Ou. Lipstick.

Sérieusement.

L'absence des deux commençait à ennuyer la baise toujours amoureuse hors de moi.

Ses yeux rouges avaient l'air plus petits et moins prononcés sans la couche foncée de l'eye-liner épais, et ses lèvres étaient beaucoup trop pâles, juste le moindre peu plus sombre que son teint normal.

Il n'avait pas l'air bien sans maquillage, bordel !

"Pourquoi m'as-tu réveillé...? "" grogna minuit, me tirant hors de ma lamentation interne. Je lui ai dit ce que Freed m'a dit, et je jure à ce jour que j'ai vu ce que je crois être un regard aversion flash à travers ses yeux à la simple pensée de dormir seul. J'ai senti un peu plus de tristesse et de culpabilité me remplir.

Alors, pour essayer de soulager ses nerfs, je lui ai dit: «Si vous avez du mal à aller dormir ce soir, imaginez-moi assis sur le sol à côté de vous, d'accord? "Maintenant, allez. Avant que les gardes ne s'énervent contre nous pour avoir pris notre temps doux. Ensemble, nous nous sommes levés et nous avons quitté la salle commune avec Freed ouvrant la voie.

Cette nuit-là, après tout a été dit et fait, avec chacun d'entre nous assoupli dans nos couchettes sous la chaleur de nos couvertures avec nos têtes sur nos oreillers, pas un seul bruit a été fait.

Pas même de minuit.

Ni un gémissement, ni un gémissement, ni un cri.

Tout était silencieux.

Et même si c'est moi qui ai suggéré la tactique pour aider Minuit à s'endormir sans un bruit, cela m'inquiétait.

Le silence était assourdissant. [xXx]

Il dormait. Nouveau. Comment ce gamin a-t-il pu dormir comme un rocher comme ça ? Il était comme un chat, je le jure. Dormir vingt-deux heures, éveillé pendant deux heures. Même pendant la séance d'information sur ce que nous étions tous censés faire sur notre prochaine tâche! J'avais vraiment la moitié d'un esprit pour marcher vers lui et le secouer éveillé. Tout comme j'ai commencé à, j'ai entendu une voix, qui était familier et lointain.

"Ne le réveille pas, Cobra. Qu'il se repose.

Je me suis retourné pour voir qui m'avait parlé, mais il n'y avait personne là-bas.

En fait, nous étions tous les deux complètement seuls ensemble.