Teen Wolf

Chapitre 8

Prof- Quoi qu'il en soit, vos textes restent anonymes sauf si je pense dévoiler les cinq, si des personnes qui les ont écrite ne veux pas qu'il soit dans le journal du lycée qu'elles viennent me voir.

  Tout le monde se tournent vers elle en oubliant en quelques secondes mon intervention. Tant mieux ! Elle finit de lire les autres textes quand la sonnerie qui annonce la fin du cours retentie, je me lève le plus vite possible en rangeant mes affaires mais c'est sans compter sur la prof qui m'appelle. Je m'arrête pour me retourner vers elle.

Moi- Oui ?

Prof- Viens me voir s'il te plaît.

  Je soupire discrètement et je me plante devant elle. On attend que tout le monde sorte, on dirait bien que Stiles a décidé d'être long aujourd'hui.

Stiles- Au revoir m'dame !

  Une fois sortit de la pièce la prof me regarde droit dans les yeux.

Prof- Si tu as le moindre soucie tu peux m'en parler.

Moi- De quoi vous parlez ?

  Oui je mens, je veux que personne sache, je commence à regretter de mettre livré.

Prof- Du texte que j'ai lu. Celui où tu as intervenue, je ne pense pas que c'était juste des paroles, des phrases, je pense que c'est plus que sa, tu devrais en parler à quelqu'un, à ton père par exemple...

Moi- Je n'ai aucun problème madame.

Prof- J'en ai parlé avec lui dans la mâtiné, je lui ai fait lire.

  Mon cœur tape trop fort dans ma cage thoracique.

Moi- Vous avez fait quoi ?!

Prof- Ton père est au courant.

Moi- Vous n'aviez pas le droit ! Vous pouvez même pas être sûr que ce soit moi !

Prof- Je connais ton écriture Lana.

Moi- Vous n'aviez aucun droit de vous mêlez de ma vie privée madame.

  Je me dirige vers la porte.

Moi- Au revoir.

  J'ouvre la porte et je la fais claquer derrière moi. Lorsque je tourne sur la gauche je me prends presque Stiles, il se décolle vite du mur contre lequel il était adossé et tousse. Scott se place à coter de lui.

Moi- Pardon.

  De loin j'entends mon père m'appeler par mon prénom et sûrement pas mon surnom. Je commence à paniquée. J'espère que c'est pas pour la prof !

Moi- Couvrez-moi !

  Je me retourne pour partir sur la gauche juste après histoire que mon père ne me voit pas.

Papa- Eh Tic et Tac vous n'auriez pas vue ma fille ?

  Stiles et Scott ne répondent pas tout de suite alors je pris silencieusement qu'ils trouvent assez rapidement.

Stiles- Désolé Coach je ne l'ai pas vue depuis la dernière fois que je l'ai vue.

Papa- D'accord mais tu l'as vue quand ?

Stiles- Pour la dernière fois ? Je dirais que ça remonte à la dernière fois que je l'ai croisé.

Papa- Tu m'as déjà fait le coup une fois, maintenant vous me dites où elle est. Elle traine avec vous depuis je ne sais quand alors vous savez forcément où elle est.

Scott- Euh elle est vers votre bureau je crois, elle vous cherchait.

  Je tape ma main contre mon front. Ils savent vraiment pas mentir.

Papa- Mouais, aller déguerpissez de ma vue !

  J'entends des pas s'approcher puis tourné dans mon sens. On s'éloigne un peu.

Stiles- Pourquoi tu nous fais mentir ?

Moi- Vous êtes très mauvais d'ailleurs.

  Ils se lancent un regard qui veut tout dire.

Moi- En faite vous savez mentir mais pas improviser c'est sa ?

Stiles- J'ai toujours des plans donc non, mais quand on impro—

Scott- C'est bon Stiles.

Moi- Merci en tout cas, désolée de vous avoir fait mentir, je comprendrais si vous êtes énervé même rien qu'un peu parce que moi aussi je n'aime pas les mensonges.

Stiles- C'est bon c'est qu'un petit mensonge comparé à—

Scott- Ne t'inquiète pas c'est rien.

Moi- C'est une habitude de vous couper la parole ?

Stiles- Non, juste quand je vais trop loin.

Scott- Bon on doit aller au prochain cours là.

Moi- Monsieur Harris ?

Stiles- Ouais, je l'aime tellement !

Moi- Merci pour ton sarcasme.

  J'en ris et puis nous allons dans le cours dû meilleur professeur, c'est ironique bien entendu. J'ai à peine posé mes fesses sur la chaise que j'entends déjà le prof rabaissé l'un des élèves. Je souffle donc, lassée. Quelques dizaines de minutes plus tard il s'arrête dans son cours pour fusiller quelqu'un du regard.

(Dans l'histoire Harris n'est pas mort par le darach)

Harris- Mademoiselle Tate, vous allez changer de place avec monsieur Verdant, vous avez besoin d'être à coter de personnes intelligentes, surtout que vous n'avez que 10 de moyenne depuis l'année dernière.

  Mon voisin se lève et change de place avec Malia qui elle grogne. Bizarre d'ailleurs. Je sers les poings énervée. Comment il peut rabaisser les gens comme sa ?

Harris- J'espère que vous allez devenir un minimum plus cultiver au côté de mademoiselle Finstock. Tandis que vous Stilinski je peux rien faire pour vous vous êtes fichu.

Moi- Malia et Stiles sont certainement plus cultivés que vous monsieur, à eux deux réunies.

Le prof de chimie ouvre en grand ses yeux, éberlués de m'entendre.

Harris- Pardon ?

Moi- Ils ont des lacunes comme tout le monde, pas besoins de rabaisser les gens comme sa à tout bout de champ. Votre rôle en tant que professeur de chimie est d'aider à la réussite et pas de rabaisser ses élèves sinon vous n'avez rien à faire ici.

Je me surprends moi-même de répondre ça mais je laisse rien par être. Ils sont tous retournés vers moi choqué. Autant continuer sur m'a lancé.

Moi- Votre métier ne devrait pas être prof si vous ne pouvez pas supporter des adolescents qui sont là pour leurs études. Les élèves n'ont pas besoins de gens comme vous pour faire rater leurs études juste parce qu'un professeur tel que vous les rabaisse à tout bout de champ. Alors si vous n'arrêtez pas, surtout avec Stiles parce que c'est de l'acharnement, j'irais moi-même porter plainte contre vous.

Son visage devient rouge pendant que Malia pose une main sur mon bras pour m'arrêter de parler.

Harris- Ce n'est pas parce que vous êtes la fille du Coach que cela vous donne le droit de me parler sur ce ton !!!

J'ai limite l'impression que de la fumer sort de ses oreilles et de son nez.

Moi- Fille de mon père ou pas, au bout d'un moment il fallait quelqu'un pour vous dire vos quatre vérités, qu'elles plaisent ou non. Maintenant continuer votre cours, on est là pour apprendre pas pour être descendu plus bas que terre.

Il entrouvre légèrement la bouche puis remonte ses lunettes sur son nez.

A suivre...