Ch.XV : Zayn - Victoire

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23h42


- À NOTRE VICTOIRE, PUMAS ! S'écria Damon dans le car qui nous ramenait à Bridgewood. ON FÊTE ÇA CHEZ MOI DÈS QU'ON ARRIVE !


Une acclamation collective se fit entendre dans tout le bus à cette annonce

On avait gagné notre premier match haut la main, ça se fêtait non ?

Surtout pour Justin, Damon et moi qui avions à nous trois avions marqué 28 points sur les 36 que l'équipe avait comptabilisé.


- J'ai prévenu les filles et quelques autres potes, on va bien s'amuser ! 


~


Une demie-heure après notre arrivée chez Damon, les cheerleaders, d'autres filles et quelques mecs s'étaient bien rejoint à la partie.

Le pavillon se remplissait de plus en plus et j'avais carrément dû lutter pour atteindre le bar avant qu'il ne se vide. J'étais presque arrivé quand je sentis une main se poser sur mon épaule :


- Selena ? M'étonnais-je en la voyant, je ne l'avais pas encore vue de la soirée.

- Salut, bravo pour la victoire !


La musique était assez forte, ce qui fait que j'avais un peu de mal à l'entendre mais j'avais déjà tellement entendue cette phrase dans les dernières heures que je n'avais même plus besoin de l'écouter pour la deviner.


- Héhé, merci. Souriais-je. Votre danse était pas mal non-plus !

- Je sais, merci. Sourit-elle en retour. Dis, t'aurais pas vu Justin ?


Oh maintenant qu'elle le disait, je l'avais perdu de vue Cody et lui depuis déjà une dizaine de minutes. 

Maintenant qu'elle m'en parle, ça me rappelle que j'aimerais aussi bien savoir ce qu'ils font...

Il faisait nuit et les lumières de la maison étaient tamisées, ce qui rendait difficile de trouver quiconque dans cette grande maison. Surtout pour quelqu'un de la taille de Selena.


- Pépito ? Euh... Le cherchais en détaillant la salle des yeux. 


Je le trouvai finalement un peu plus loin. Il était assis sur un des sofas du salon, complètement gêné entre plusieurs filles qui voulaient clairement plus que discuter avec lui. 

Le connaissant, derrière son sourire perdu, il cherchait un moyen poli de leur demander de le laisser tranquille alors que 3 de ces bombasses avaient leurs mains sur lui ! 

Prends en une ou plusieurs et emmène-les dans une chambre, bordel Pépito ! Elles sont dans ta poche ! M'énervais-je mentalement.

J'avais envie de partir le secouer comme un bananier quand je me souvenus de Selena.


- Il est là. Lui montrais-je. Regarde-le, je sais plus quoi faire de lui moi. Des années, et il refuse toujours de profiter des joies qu'être un sportif apporte. Irrécupérable, vraiment. Déplorais-je ensuite. 

S.E.E.D.SOù les histoires vivent. Découvrez maintenant