Pensez Vous Que Je Suis Pure ?

4 La Colère

Je détestais P. J'étais aussi impitoyable envers quiconque me faisait du tort. J'ai beaucoup frappé les gens. Quand je vivais avec mes grands-parents, ma cousine de cinq ans plus jeune que moi (nous l'appellerons A) avec son père vivait avec nous. A, était et est toujours comme une sœur pour moi. Nous nous frapperons pour la moindre raison et nous nous poursuivrons dans la maison. Elle n'écoutait pas quand je lui dit de faire quelque chose, et elle cassait mes jouets ou prenait mes bonbons (quand elle me le demande et je dis "non"). Si ma cousine A ou quelqu'un de plus jeune que moi a fait la moindre des choses contre moi, ils pleureront. J'ai frappée P aussi. Toute chance que j'avais.

Je n'ai pas aimée P du tout. Je détestais être dans la même pièce que lui. Je détestais respirer le même air que lui. Je détestais manger dans la même assiette que lui. Comme je l'ai déjà écrit, P m'a aimé (peut-être qu'il pensait que j'allais être sa femme ou quelque chose comme ça. Même si je ne suis pas sûr que je vais me marier). Parce que P m'aimait, il ne semblait pas s'en soucier quand je le frappais ou le détestais. L'amour est plus grand que la haine. Mais il n'a pas toujours été patient et gentil avec moi. Si je lui faisais du tort, il exprimera son aversion. Je me souviens quand il m'aidait une fois à me défaire les cheveux et qu'il tenait des ciseaux. Je suis devenue furieuse parce que je pensais qu'il avait coupé mes vrais cheveux, même s'il avait calmement expliqué que c'était les faux cheveux mélangés à mes vrais cheveux. J'étais toujours méfiante. Alors, il m'a demandé si j'avais besoin de son aide ou s'il pouvait partir. Mais j'avais besoin de son aide pour finir ma tête. J'ai arrêtée de me plaindre et je l'ai laissée finir mes cheveux. Je détestais P avec une passion brûlante. Parfois, les gens plaisantaient qu'il y avait du mauvais sang entre nous. Si nous étions dans la même pièce, il y avait tellement de tension. L'air était chargé. J'étais semblable à une tigresse enragée avec une haine brûlante gravée dans mon âme en attendant le moment où je bondirais sur ma proie. Je n'ai jamais haï personne autant que j'ai détesté P de toute ma vie. J'ai fini par détester des autres aussi. J'étais une meurtrière dans l'âme. Matthieu 5: 21-22, "Vous avez entendu qu'il a été dit à ceux d'autrefois: 'Tu ne tueras pas, et quiconque assassine sera en danger de jugement. Mais je vous dis que quiconque est en colère contre son frère sans une cause sera en danger du jugement. Et quiconque dira à son frère: <<Raca! sera en danger pour le conseil. Mais celui qui dit: "Vous dupe!" sera en danger de feu de l'enfer.>>

Je me souviens de la seule fois où j'ai failli étouffer A à mort. Je ne me souviens pas de ce qu'elle a fait, mais elle m'a énervée. Je serrai sa gorge avec mes mains et je serrai très fort. Je n'ai pas arrêtée jusqu'à ce qu'elle commence à vomir. Je lui ai tapoté le dos, je l'ai serrée dans mes bras et j'ai commencé à m'excuser. J'ai essayée de cacher le vomi sinon j'aurais eu des ennuis. Elle n'a dit à personne ce qui s'était passé. Je suis devenue très prudent, car quand je devenais furieuse, je ne pouvais pas me contrôler et je finis par avoir trop de force. Mais nous avons continué à nous mettre en colère et à nous frapper. Quand j'étais à l'école aussi, j'ai commencé une bagarre avec un garçon. Il était mon camarade de classe et nous avons été dans les mêmes classes toutes nos années élémentaires. Nous nous sommes battus, car il a pris ma chaise. Nous nous sommes battus avec toutes nos forces et j'ai gagnée. Alors, il a rendu ma chaise et nous avons fait la paix. C'était au CM1 ou au CM2. J'ai aussi battue mon plus jeune cousin (c'est le plus jeune frère de ma cousine qui était ma meilleure amie). C'était un enfant impoli et irrespectueux. Il est le plus jeune de quatre enfants. Le bébé dans sa famille. Il pensait qu'il pourrait s'en tirer en me frappant. Alors, je l'ai frappé plus fort. Il était sur le point de pleurer, mais il était têtu et j'étais têtu. Nous avons continué à nous frapper jusqu'à ce que cela devienne un combat. Il a commencé à pleurer et sa sœur est venue nous séparer. Je n'avais aucune compassion. J'ai pensé: "qui pense-t-il qu'il va me frapper?" Nous ne nous entendions pas après ce combat, mais maintenant nous nous entendons bien. Sa sœur qui nous a séparés était ma meilleure amie (nous l'appellerons J). Elle était vraiment sympa et n'a jamais frappé personne. Au lieu de cela, quand elle était en colère, elle a fait du chantage. (Une fois, son frère cadet ne l'a pas écoutée. Alors, elle a commencée calmement par quelque chose comme ça, "Tu ne vas pas faire ce que je te dis? Tu te souviens de ce que tu as fait la dernière fois? Je ne l'ai pas fait dites-le à maman ou papa, mais je peux. Je vais dire à maman ce que tu avais fait et tu verras ce qu'ils vont te faire. "Elle a parlée calmement et formellement et c'était un peu effrayant. Quel que soit le secret qu'elle avait de son frère, il était grand. Et je ne voudrais pas qu'elle ait mon secret et soit en colère contre moi. Rester du bon côté de J était mieux.) Donc, son jeune frère a fait à contrecœur ce qu'elle lui avait demandé (c'était une course). Mais, je respectais ce côté des J. Elle n'était pas comme moi. Elle était calme, gentille et respectueuse. Mais j'étais bavarde, méchante et grossière (je me suis disputée avec mon cousin plus âgé en le frappant comme le frère cadet de J m'a frappé. Il m'a frappé en retour et m'a fait pleurer, et m'a dit qu'il n'était pas comme les petits enfants que j'ai combattus. Il m'a mis à ma place). J n'a pas frappée les gens même quand ils l'ont mise en colère. Elle essaie de leur dire de ne pas frapper, ou elle les fait chanter. Elle est gentille, gentille et compatissante. Je voulais être comme elle. Je prie DIEU de me rendre gentille, douce, compatissante et clémente. Et le Saint-Esprit m'a aidé à être gentille, compatissante et clémente envers les gens. Je ne me fâche pas facilement comme avant. DIEU m'a rendu gentille et patiente. Maintenant, j'ai la paix de Jésus. Éphésiens 4: 31-32, "Toute amertume, peur, colère, cri et insultes doivent vous être ôtés, ainsi que toute méchanceté." J'aime ces versets et je les médite.