Trouble kids [reddie]

11 Septembre 1992

« Qui dit cigarette, dit révélation »

Connor: QUOI?! Non!

Richie: mais j'y peux rien et je t'es déjà expliquer pourquoi!

Connor: tu parts pour combien de temps?

Richie: j'en est aucune idée. Sûrement longtemps, mais je parts dans une semaine.

Connor: au moins, ça nous laisse un peu de temp pour re-dépasser ton record à Street Fighter,

Richie: ouais. On se voit demain?

Connor: ouais, c'est sûr! À demain.

Le bouclé décrocha le téléphone avant de monter pour aller dormir.

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Une semaine plus tard.........
Le bouclé n'avait pas arrêté de se retourner pendant la nuit, incapable de dormir. 5h45 était l'heure affichée sur son réveil matin. N'en pouvant plus, l'adolescent c'est levé pour se choisir du linge. Il a finalement opté pour un t-shirt jaune fluorescent, deux tailles trop grandes pour lui, et des jeans troués au genoux. Il pris sa paire d'Addidas blanche traînant au sol, les mis et sortit de chez lui. Richie pris son vélos et fit le tour des rues désertes de la ville. Le jeune Tozier pris un moment pour penser qu'il n'aurait peut-être plus cette liberté pendant un bon moment. Qu'avait t'il fait de si pire pour que son père l'envoie en pensionnat? Le garçon n'en avait aucune idée. Il finit enfin par revenir chez lui, un aire déprimé au visage. Le bouclé rentra et ce dirigea vers la cuisine. Assis à la table, son père mangeait ses toasts, trop concentrés sur se que disait le journal pour remarquer son fils entré. Mme. Tozier fit deux toast à son fils. Le bouclé n'en mangea que la moitié d'une avant de disparaître dans sa chambre. Il alluma sa radio sur du The Clash et sombra dans ses pensées.

À neuf heure, son père monta les marches vers une pièce au fond du couloir. Lorsqu'il l'ouvrit, il fut surpris de voir son fils couché sur son lit, regardant le plafond, en écoutant Paradise City de Gun's N Rose's. Pourtant, il n'y avait aucune valise dans la chambre. Wentworth frappa d'un poing ferme la porte, ce qui fit sursauter le bouclé, qui regardait maintenant son père, apeuré.

Wentworth: RICHARD JE CROYAIS T'AVOIR DEMANDÉ DE FAIRE TA VALISE! NOUS PARTONS DANS TRENTE MINUTES. J'ESPÈRE POUR TOI QUE TU SERAS PRÊT.

Le jeune homme répondit en grognant légèrement et commença à s'affairer à la tache.

Vingt minutes plus tard, il était dans les bras de sa mère, qui pleurait tout en essayant de ne pas trop le laisser paraître, pour lui faire ses au revoir. Richie s'assit ensuite à l'avant du véhicule beige, après quelques coups de klaxons de son père, impatient. Le binoclard mis ses écouteurs et écouta une musique plutôt calme tout en regardant le paysage défilé. La routes fut longue, mais pourtant, le binoclard aurait préféré ne jamais arriver à destination. Le bâtiment était sur trois étages, fait de briques beige. Il y avait un grand dôme en cuivre vert sur le toit et deux portes en bois massif, les invitant à entrer sur le côté gauche du bâtiment. Wentworth sortit  de la voiture pour aller à la rencontre d'une grande dame mince au cheveux long brun détaché. Le bouclé les regarda de la voiture, étant bien décidé à ne pas bougé. Son père ouvrit violemment la portière de l'auto et regarda son fils avec rage.

Richie: regarde moi aussi longtemps que tu veux, je bouge pas.

Wentworth: oh que si tu vas sortir et m'oblige pas à te sortir de force.