une lettre d'adieu

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"hermione,

je sais que notre amour ne pourra être éternel... dans trois jours, je me marierais contre mon gré à astoria et cela mettra fin définitivement à notre relation. je ne veux pas d'adieux larmoyants c'est pourquoi je te laisse cette lettre. ne me dis pas que c'est lache de ma part, c'est pour te préserver et me préserver aussi... je ne sais pas si j'aurais pu mettre fin à notre histoire autrement, face à toi j'aurais flanché. je t'aurais regardé dans les yeux et mon courage aurait fuit à toutes jambes devant ton regard chocolat. je n'aurais pu rester de marbre face à tes larmes, car je sais que tu aurais pleurer, comme je le fais en ce moment, en écrivant cette lettre.

tes sentiments vont peu à peu disparaitre et tu m'oublieras, refais ta vie et sois heureuse. sois heureuse surtout, promets moi de ne pas faire de conneries, de rester forte et de sauver le monde comme tu dois le faire, aux cotés de potter et la belette.

moi je ne sais pas si je pourrais t'oublier.... tu m'as fait changer et je ne serais plus jamais le même. je ne veux pas oublier ces mois de bonheur que tu m'as offert. je ne veux rien oublier, le parfum de tes cheveux, le parfum de ta peau, la douceur de tes mots, la douceur de tes lèvres, la chaleur de ta peau, la chaleur de ton regard, le gout de ta peau, le gout de tes lèvres, ta beauté, et ton rire cristallin... je ne veux pas oublier une seule courbe de ton corps, aucune de nos discussions, aucune de nos nuits ensemble...

il faut pourtant que tout ceci cesse, alors essuis tes larmes et relève la tête. oublie moi et sois heureuse avec la belette.

drago."

je mets le point final à ma lettre et la glisse dans mon tiroir, ce soir je la mettrais sur sa table de nuit avant de sortir de ses draps une dernière fois. je m'en vais ce soir pour finir les préparatifs avec ma mère et celle d'astoria. je la rejoins dans la salle de bain, où comme chaque matin elle se débat avec ses cheveux. je la trouve vêtue de ma chemise blanche ouverte sur son corps de déesse, seulement couverte de mon vêtement et un tanga noir en dentelle fine. je m'approche d'elle doucement et lui retire la brosse des mains, je la pose avant de l'enlacer tendrement par derrière. mes mains glisse sur la peau nue de son ventre avant de remonter vers sa pointrine si parfaite. je caresse encore une fois son corps en me disant que c'est peut être bien la dernière fois que je peux le faire. je la regarde dans le grand miroir face à nous. l'image qu'il nous reflète est magnifique, digne d'un film à l'eau de rose, je veux la garder en mémoire toute ma vie. elle se retourne pour me faire face, relève les yeux et dépose un baiser tendre sur mes lèvres. elle se défait de mon étreinte et reprend sa brosse pour continuer son ouvrage. face à ma moue déçue, elle se retourne à nouveau et me dit :

non, s'il te plait, on va encore être en retard sinon.

je continue de bouder, alors elle reprend en venant se blottir dans mes bras :

oui, je sais, moi aussi je voudrais passer ces trois derniers jours dans tes bras et ne rien faire de nos dernières journées... mais tu as dit que tu voulais que ces jours soient ordinaire, alors ils le seront ! va te préparer !

après avoir déposé un baiser sur ses lèvres roses, je m'exécute et part m'habiller dans ma chambre rapidement pour pouvoir revenir à la charge avant le début des cours.

une fois habillé, je me dirige de nouveau vers la salle de bain pour la rejoindre mais je suis arrêter en chemin par deux bras qui viennent s'enrouler autour de ma taille.

où vas-tu comme ça ? me retrouver dans la salle de bain pour essayer de me faire céder ? et bien non ! elle pose sa tête contre mon dos et inspire mon parfum. je ne sais pas si je vais pouvoir te laisser partir.... pourquoi ne pouvons nous tout simplement pas nous enfuir ensemble ?

ils nous retrouveraient mon ange.....

comment ? si nous ne transplanons pas, n'utilisons pas la cheminée, ni les portoloins, ils ne devraient pas avoir de moyen de nous retrouver, non ?

je n'en suis pas si sûr... et je ne veux surtout pas te condamner à une vie de fugitif, tu dois être celle qui sauvera le monde et tu dois être heureuse. dans trois jours, tu me diras adieu et on ne se reverra plus jamais, si ce n'est en tant qu'ennemi. je suis désolé mais c'est ce qui est le mieux pour toi.

elle me serre plus fort dans ses bras, tremblante, étouffant un sanglot. je l'embrasse amoureusement, retenant les larmes qui affluent aux coins de mes yeux, je la serre contre moi mettant fin au baiser.

allez princesse, allons-y !

je sèche les trainées humides sur ses joues du bout des pouces et dépose un baiser sur son front.

sors la première, va les rejoindre et souris !

elle tente alors de se composer un visage serein, avant de se mettre sur la pointe des pieds pour plaquer un baiser léger sur les lèvres.

je t'aime... murmure-t-elle avant de s'éloigner.


je t'aime aussi ma jolie mais je vais éviter de te le répéter.



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hello ! oui je ne suis pas morte et je vous retrouve avec un chapitre court (900 mots) et plutôt médiocre.... malgré tout j'ai beaucoup apprécié écrire la lettre même si écrire une lettre de rupture c'est pas très joyeux. j'espère que ce chapitre vous aura quand même plu !

je tiens particulièrement à m'excuser au près d'une de mes abonnées avec qui j'avais brièvement discuter et à qui j'avais dit poster un chapitre bientôt... donc voilà si tu te reconnais je suis désolée.

avec le bac de français je ne sais pas quand est-ce que je pourrais de nouveau poster mais sachez que la fin est très proche maintenant !

kisses ! :*

à bientôt j'espère !

mariage forcé (partie 1)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant