Escape | Harry Styles | PAUSE

2.

Je n'ai jamais commis de crime international, ou même grandiose, je n'ai jamais fais ceci. Je suis juste tombée dans une mauvaise situation, au mauvais moment.

Tout avait commencé un lundi matin, me rendant à la maison en passant par la ville pour aller acheter quelques trucs inutiles pour ma mère. J'avais passé dans cette putain de ruelle. Un fou furieux était en train de péter les plombs après une jeune femme de dix ans mon aînée à peu près. Il la frappait et la maltraitait tel un malade. J'ai voulu intervenir, mais je ne sais pas comment ce fou furieux à réussi à m'empoisonner et à faire passer le crime sur mon dos, mais il l'avait fait. 

Et c'est maintenant que je suis admise dans l'hôpital psychiatrique de Monsieur Styles. Avec une prescription assez douteuse. 

Une certaine tumeur au cerveau m'avait atteinte, ce qui causait ma folie ravageuse. Je devenais un espèce de monstre lorsque j'étais en colère, selon eux bien sûr. 

Selon les psychologues que je rencontrais, selon les infirmières, les médecins, les personnes qui me cherchait une maladie.

Mais pas selon Monsieur Styles.

Il est ce genre de médecin fier de ce qu'il est, il ne se laisse pas marcher sur les pieds, c'est son hôpital et tout le monde le sait. Il est connu dans tout Londres pour ses techniques spéciales et reconnues. Pour tout vous dire, je n'ai jamais entendu personne l'appeler par son prénom. Je ne le sais même pas moi-même. On l'appelle Monsieur Styles et ça passe parfaitement bien. Il est grand, oh oui très grand, dans les 1m80 environ si mes mesures sont exactes. Il a les cheveux longs pour un homme qui travaille dans le domaine de la santé. Il ne les attaches que très rarement, seulement lorsqu'ils dérangent, il fait un joli chignon. Styles a les yeux d'un vert puissant et profond. Ça lui donne un air très sérieux lorsqu'il est concentré sur sa tâche. Ensuite, j'ai aussi pu apercevoir quelques tatouages sur son torse et un de ses bras. Il les cache bien évidemment ! 

Je l'admire car il est le seul ici à penser que je ne suis pas folle, que je n'ai pas ma place ici, mais s'il me libère, les chefs d'accusations se retourneraient contre lui pour cause de laisser s'échapper une folle furieuse comme moi.