Entre Les Griffes Du Destin

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Aux environs de 13h, une autre dame fit son apparition au poste de police et demanda à voir le chef. on l'a conduisit auprès de ce dernier puis elle exposa la raison de sa venue .
- je suis Madame Affognon , commerçante au grand marché de Dantokpa. J'ai l'habitude de vendre de divers à Madame Soton. Cet après-midi ma bonne à trouver ce sac sur notre comptoirs. Il ne m'appartient pas mais je crois que c'est celui de Madame Soton car elle a acheté chez moi aujourd'hui et d'autres dames du marché ont dit qu'elle a perdu son sac et qu'il fallait que je vous l'apporte au poste de police.
- En effet, c'est vrai. Elle s'est plainte à mon niveau en accusant un jeune docker du marché de lui avoir volé son sac. Finalement le petit morveux disait la vérité. Merci Madame pour votre honnêteté. Le pays a besoin des citoyennes comme vous.
La dame s'en alla et le commissaire fit convoqué Luc dans son bureau.
- Mr le commissaire vous m'avez fait venir . Il y a t-il du nouveau pour moi?
- Oui mon petit , tu seras libéré dans quelques minutes , le temps que la paperasse ne soit remplie.
- Libérer vous dites ?
- Oui, une dame à rapporter le sac perdu. Madame Soton l'avait oublié au marché vous êtes vraiment innocent. Vous pouvez remercier le seigneur.
- Merci beaucoup Mr le commissaire
Luc fut libéré après trente minutes et croisa son avocate à l'entrée du poste de police :
- Mais , où allez-vous Mr Kondo ce n'est pas encore l'heure.
- J'ai été innocenté par une dame qui a retrouvé le sac dans sa boutique et l'a rapporté au commissariat. Je suis libre. Vous pouvez donc vous reposer.
- C'est bien cela. Je n'ai pas douter de votre innocence et voilà j'avais raison. C'est déjà une victoire pour moi. Qu'allez vous faire maintenant ?
- Je vais retourné à la vie d'avant je suppose.
- C'est judicieux. J'aimerai vous revoir si c'est possible.
- Euh oui je crois
- Tenez ma carte de visite. Appelez moi.
- Merci , Bonne soirée à vous.
Luc quitta le poste. Il marcha sur de longs kilomètres car il n'avait pas gagner de l'argent aujourd'hui pour se permettre un taxi-moto. Une fois chez lui , il raconta sa mésaventure à Isidore qui prit pitié de lui donna un peu de son repas qu'il avait acheté.  La nuit tombée, il attrapa son téléphone portable et appela Chantal.
- Bonsoir Madame l'avocate
- Bonsoir Mr Kondo vous êtes bien rentrer chez vous ?
- Oui je rends grâce à Dieu.
- Ok, c'est bien . Dites moi vous serez libre vendredi prochain ?
- Oui , je suppose que je serai libre après mes cours à l'Université.
- Ok , j'aimerai qu'on se revoit le vendredi soir alors si ça ne vous gênes pas.
- Ok, on dit à vendredi prochain donc.
- Oui , à vendredi . D'ici là tâchez de rester loin des ennuis.
-  J'essayerai, au revoir madame .
- Au revoir Mr Kondo.
Il raccroche le combiné puis s'allongea sur son côté du lit tout épuisé et en remerciant le seigneur de lui avoir épargné la prison aujourd'hui.