A ma confidente nocturne

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Ô toi que je ne reverrai plus jamais,

Tu m'illuminais dans mes heures sombres,

Bien souvent tu me faisait confondre

Les rêves et la réalité

Dans la quiétude apaisante de la nuit

Je me sentais enfin unique,

J'étais à ma place, auprès d'une amie

Ma chère confidente sphérique,

La seule à avoir vu mon vrai visage,

Révélé à la lumière de ton étoile,

Nos soirées, interrompues par les nuages,

Me manqueront, lorsque le voile

Ténébreux de la délivrance

Me sortira de ma longue souffrance

Ne soit pas triste, ma chère,

Jamais larme ne devra ternir ta lumière. 


16 août 2019. 

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