Ode à l’auto apitoiement de ce petit garçon, plein de vie et d’intelligence, d’amour, et de compassion, qui devint petit con, avec ce plein d’affection qui entraîne ce joli prénom, qui après des efforts continuels, devint ce connard que l’on aime. Pourquoi donc s’arrêter en si bon chemin ? Toi, promis à une belle carrière professionnelle, de l’handicapé émotionnel tu devins l’adjoint. Et regarde toi à présent, regarde ces gens. Ils ont cru à tes promesses, sont montés dans ton train. Tu les as amenés loin, amis, amours, amantes. Maman ? On va la mettre de côté pour le moment. Ils sont sortis grandis, ils te doivent ça. Ils t’ont utilisé, comme toi tu les as usés. Prends tout cet amour qu’ils t’ont donné. Et ne t’apitoie plus sur ton sort. Vois à travers leurs yeux, tu les as rendus plus fort. Ça, mon grand, c’est la vie, oublie ton nombril. De la colère ? CRIE. De la peur ? Bats-toi. De l’amour ? Chante-le. De la tristesse ? Pleure. Retrouve ce petit garçon, cet enfant, rassure-le, tout va bien se passer, tu es en sécurité, car à présent, je vais m’occuper de toi. Car je t’aime.
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Mr connard
AcakCédric, Bernard, Sébastien, Kevin, Julien ? Eh oui, il est d'usage d'introduire de façon précise le personnage, ou la personne dans notre cas, qui sera le protagoniste, l'essence même de cette brève histoire. Allez, on va tenter de bousculer un peu...
