Il est trop tard pour nos rêves, trop tard pour imaginer un monde parfait dans lequel je connais le réel bonheur, sans aucune peur ni aucune rancoeur. Un monde si extravagant qu'il est presque impossible de le concevoir. Clic clac les minutes défiles sur ma montre, et la nuit avance jusqu'a l'aube pour enfin me laisser apercevoir le doux soleil matinale. Incompréhension, indifférence perplexe. Les mots glissent sur cette page comme une douleur éternelle. Complexité d'un nombre, d'un temps ou d'une réalité. Ami d'un jour, qu'il tir à balle réel sans flancher devant l'ennemi surgissant. Cet ennemi si détesté soit-il relève de notre alter-ego et de notre égoïsme pur. Il révèle des vérités comme des mensonges encrés en nous, il démontre avec vivacité nos plus grandes peurs inavouées. Devant les nuages d'une infinité de couleurs pastels. Devant la mer d'un brillant éclat bleuté. Devant nos rêves accomplis et maintenant vrai. Il s'acharne, il nous traque pour savoir si nous sommes là. Si nous sommes réellement vivant à ses côtés, si nous respirons encore l'air frais.
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Océan
AléatoireD'une brise au loin, d'un rayonnement lointain, d'une vague se perdant à travers l'immensité d'un océan terrifiant.
