chapitre 4 : En route pour le paradis

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Ils arrivèrent au repère de Karl qui était plutôt bien équipé. C'était un bunker contenant assez de vivres pour nourrir tout un régiment pendant des mois et ce n'était pas les armes qui manquaient. Le bunker était composé de deux trois pièces : la salle de surveillance d'où l'ont pouvait contrôler toutes les caméras du secteur encore debout, les toilettes, et la pièce principale où étaient les vivres ,les armes et tout ce qui pouvait être utile à la survie. Le bunker était en fait le sous sol de la banque de la ville.
Enfin ce qui émerveillait le plus les visiteurs ce fut les armes que Karl leur faisait découvrir à l'instar de son katana. Dont la lame était capable de s'allonger et de rétrécir et un bouton permettais de chauffer la lame jusqu'à l'incandescence, ce dispositif permettais de trancher beaucoup plus vite des corps à grande résistance.
Il avait aussi un pistolet à plasma, une arme inconnu qui au lieu de tirer des balles tirait des lames et d'autres équipements. Ils étaient maintenant 5 dans le bunker qui allait finir par être encombrant.

Où t'as trouvé toutes ces armes lui demanda Klaus

Je les ai ramassé à la base militaire et je les ai amélioré, mon père était un ingénieur d'état donc je sais m'y faire avec les armes

Au début ils n'echangèrent presque aucun mot , vers la soirée un orage éclata. Il commençait à faire froid, Karl leur donna des sacs de couchage dans lequels ils s'enroulèrent, par après il décida de mettre un peu de musique . Quand il revenait de la salle de contrôle et qu'il s'enroula dans sa couette le commandant lui dit : j'ignorais que tu écoutais du jazz , c'est rare de voir des jeunes de ton âge en écouter.
don't stop me now de Queen ,j'adore dit ÉOS
C'est pas mauvais renchérit Klaus
Je confirme dit Karl avec un sourire,
Solioz lui ne semblait pas du tout être intéressé par la musique

Ça me rappelle des souvenirs dit Saddler, il commença alors par leur parler de sa jeunesse, des guerres qu'il avait faites, les fronts sur lesquels il avait été, des proches qu'il avait perdu, après chacun raconta sa petite histoire ou anecdote, certaines étaieint drôle et d'autres tristes ,ces petites confidences les rapprochaient un peu plus. Ils finirent par s'endormir les uns après les autres et ne furent réveillé qu'au petit matin quand le soleil montais progressivement, la pluie avait cessé. Quand ils ouvrirent les fenêtres, un arc en ciel c'était dressé, signe d'espoir.

Une s'ecoula ainsi sans aucun incident, ils avaient appris à se connaître un peu plus.
Alors on fait quoi après demanda Klaus, on va quand même pas passer le restant de nos jours à moisir ici !

Oui et j'ai une solution répondit Karl, il nous reste encore une chance de nous en sortir, mais pour cela nous devons atteindre les portes du paradis.

Comment ça les portes du paradis ?

Il existe un endroit , un chemin par lequel nous pouvons rejoindre le paradis

Pourquoi ne nous en avais tu pas parler demanda Saddler

Ce ne n'était pas encore le moment, nous nous mettrons en route l'orque nous n'aurons plus de vivre

Et comment es tu au courant de ça ?

Je l'ai su durant mon séjour en enfer ...

AFTER LIFE Où les histoires vivent. Découvrez maintenant