Chapitre 1

62 13 7
                                    


Je me baladais, la nuit était claire, par intermittences, illuminée par la lune blanche qui, soudain, disparaissait sous un gros nuage sombre. La lune brillante illuminait la falaise et l'eau cristalline et gelée. La nuit ne paraissait plus hostile mais avenante et surtout magnifique avec cette lumière se dégageant de cet astre ensoleillant ces milles et une roche. Mais tout d'un coup, les nuages venaient et la lumière s'en allait.

Ce moment dans le vide et l'obscurité était le pire jusqu'à ce que je le vois, lui avec sa longue robe blanche et ses tenailles à la main. Il me poursuivait depuis de nombreuses années mais j'en avais encore peur.
-Non Mr Clark, s'il vous plaît, ne faites pas ça. Je vous en supplie.

...........................

Je me réveillait de nouveau au seuil de ma demeure sur laquelle j'avais passé la nuit a greloter dans ce froid de canard. Nous étions en pleine saison de neige et je voyais mes voisins bien enfermés chez eux pendant que je m'était retrouvé ici, comme deux autre fois cette semaine. Je me couchait le soir dans ma modeste couchette et, comme par enchantement, je me réveillait devant ma porte.

Je jetait un regard devant le paysage qui se tenait devant moi. Un grand champs garni de milliers de fleurs multicolores. Je n'aimait pas du tout la ville et ses voitures tenues par les miens parcourant les rues. Alors j'étais venu ici et j'avais trouvé cette prairie, dans laquelle j'adorais gambader en essayant de ne pas marcher sur ces délicates fleurs. J'accouru pour aller en chercher une, malgré la tempête et la grêle de cette nuit, elle gardait toute sa splendeur, sa beauté qui était, certes éphémère, mais plus que tout , éclatante.

En rentrant dans ma logette, je vis que pendant la nuit, tout avait été dérangé. Surement moi pendant ma crise de somnambulisme. J'avais demander, un jour, inquiété, a mon ami Kamulon de venir dormir chez moi et de rester éveillé pour pouvoir me dire comment je pouvais passer de l'intérieur à l'extérieur sans même me réveiller. Il m'avait observer dormir puis a un moment, j'étais devenu fou, pris de violent spasmes et tournant en rond chez moi jusqu'à aller devant ma stalle. Depuis ce jour il prenait peur en me voyant et prenait ses Jambes à son cou. Le fait était que, aujourd'hui je devais aller lui parler sur notre travail et j'étais bien décidé à lui poser quelques questions en passant.

ZÉBULONOù les histoires vivent. Découvrez maintenant