partie 10

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   Selam aleykoum🥰

Après la réplique de néné je tourne la tête pour regarder sira sur son visage je pouvais lire de l'inquiétude et ça serai mentir si je disais que j'éprouve pas la même chose. Ma mère est énervée et elle a l'air d'être sérieuse sur ce qu'elle venait d'exclamé et ceci causerai  une drame je décide de la calmer et l'a faire oublier cette idée de parler avec papa.

Moi: mais non c'est pas la peine de parler avec lui tu nous complèteras le reste de l'argent et pour l'école on peut continuer n'est-ce pas toi qui nous disait quand on a la volonté d'étudier peut importe l'école ?

Sira: oui fati a raison je crois que mieux vaut oublier cette idée ce n'est pas important après tout.

Moi: oui de plus...

Néné : assez!  J'en ai assez entendu de vous deux c'est vous qui me dicté quoi faire ou quoi oublier ?

Nous répondons par le négatif, elle enchaîne...

Néné : alors épargnez moi vos dires et restez bien à vos place! Je l'appellerai pour qu'il vienne ici d'ailleurs.

Que rajouté de plus je regarde sira l'air désolé , on y peut rien.

Je vous passe jusq'au soir , néné avait appelé mon père qui serra là dans pas longtemps.

-selam aleykoum! Venait il faire son entré.

Nous: aleykoum selam.

Il prends place en face de ma mère et enchaîne...

Père : que me vaut cette invitation ?

Néné : c'est à propos de l'éducation des enfants sur leurs scolarités.

Père : ah bon développes ton sujet.

Néné : *lui racontant les dires de ce jour* et je ne suis pas du même avis car les écoles environnantes n'ont pas de bonnes réputations.

Père : eh beh moi ça m'importe peu , mais tu es une enseignante après tout donc tu peux les aider.

Néné : ce n'est nullement une raison valable  pour les jeter dans ces écoles , tu prétends avoir des prodigues mais ce n'est pas nous qui te les ont posés sur les épaules.

Mon père reste silencieux donc elle continue...

Néné : tout ce que j'ai à t'en faire vent est que mes enfants n'étudierons jamais dans cette école si toi tu t'en fais pas de soucis pour leurs avenirs moi ça m'importe.

Père : dans ce cas  la tâche te reviens  je ne peux les inscrire dans une école privée , tu te débrouilleras à instruire ces sans avenirs.

- ah je suis pas la seule à les naître et  ces sans avenirs comme tu le dis feront ta fierté non mais t'es vraiment irresponsable. Venait dire néné en chaussant la voix

Père : baisses d'un ton oumou , certes que tu ne les a pas faites seule et je regrette amèrement leurs venu sur terre ces incapables.

Néné : et si je ne baisse pas d'un ton que vas tu  faire hein, de plus tes regrets tu les gardes pour toi mauvais père que tu es.

Père : bien et j'en rajoute  ce que je  regrette le plus qui est de t'avoir connus mère sans vergogne.

Néné : et figures toi que tu est le centre oui le centre de mes regrets ,mes problèmes  familiaux...etc la liste est longue, et d'ailleurs j'en ai assez entendu de ta part sors de chez moi.

Mon père prend direction de la porte d'entrée Sans rajouter ne serait-ce qu'un mot ou regard du côté de néné elle se précipite d'aller dans sa chambre.

Nous qui  avons suivi toute la scène restons intacts comme des statuts.

Je décide d'aller m'exiler dans la chambre pour mieux me calmer, de ce fait nous savons plus où exactement étudier.... enfin je suis pas certaine mais un peu sure qu'elle nous s'inscrira dans une établissement privée malgré son maigre salaire qui doit remplir toutes le depenses mon père doit normalement réguler une pension alimentaire à chaque fin du mois.

Jusque-là néné nous a absolument rien éclaircis du sujet en question et nous ne l' avons posé aucunes questions.

Le lendemain, nous somme à la veille du jour pour se rendre à l'école, je me lève  fais mon rituel du matin déambule tout au long du couloir pour déjeuner et ensuite commencer les tâches ménagères. Eh oui les tâche ont été partagé entre moi et sira, néné nous a promis de ramener coumba car avec l'école ça ne sera pas du tout facile.

Alors après avoir fini nous nous réussissons dans le salon les yeux  rivés sur la télé,  néné fais apparition me tendant son téléphone me disant que c'est khadidja.

-Allô? Dit elle à l'autre bout du combiné.

Moi: allô,  oui ça va ?

Elle: oui ça va et toi?

Moi: bien aussi et la famille ?

Elle: ils vont bien elhamdulilah,  bientôt la rentrée tu seras à *l'école  dans lequel on étudiait * ?

Moi: j'en ai aucune idée.

Elle: comment ça t'en a aucune idée ?

Moi: * raconte tout* voilà du coup nous sommes dans l'ignorance.

Elle : vous comptez pas en parler avec elle ? Lui demander pour détendre vos esprits curieux ?

Moi : non, nous préférons l'a laisser pour ne pas réveiller ses nerfs, de plus nous ne sommes pas pressés toutes façons c'est demain inchallah la rentrée,  ce que je crains le plus c'est d'être déscolarisé ce qui est fort malheureusement possible vu notre situation.

Elle:  tu as raison mais ne t'inquiètes pas connaissant tata oumou elle ne mettra jamais votre futur en jeu rassures toi de plus tonton a vraiment changé hein.

Moi: j'espère bien , eh oui c'est bien visible puff.

Elle : t'inquiètes pas tout ira bien inchallah, je te laisse maman m'appele.

Moi: passes le selam de ma part   ok à plus.

Je veux vraiment pas me séparer d'elle je veux pas qu'on soit dans des établissements différents
Je rends le cellulaire à néné qui prend la parole.

Néné : vous avez bien vu et entendu tous ce que votre père a dit , il ne se soucie pas de vous ni de votre avenir je vous prends en main et payerai votre scolarité malgré mon maigre revenu,  alors je vous prie de bien étudier m'honorer et me rendre fière , vôtre réussite est mon seul but que je reste sur cette terre ou que je sois  au-delà sachez que je vous accompagne et accompagnerai toujours.

Elle se lève nous ordonne d'aller nous coucher avant de rejoindre sa  chambre, je suis   vraiment excité à l'idée de revoir mes anciens amis.

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Bisou😘

ma vie et ces bouleversements Où les histoires vivent. Découvrez maintenant