partie 6

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    Selam aleykou🥰

Aujourd'hui nous débutons la composition et j'ignore la matière qui se présentera en première, finie de m'habiller je rejoins les autres et après avoir pris le petit déjeuner dans le plus grand des silences nous rejoignons l'école. À la vu de khadidja un sentiment d'anxiété m'envahit pensant au  compte-rendu que je lui ferai part.

L'épreuve était abordable et à la portée de toute la classe selon moi.
À la descente je cours à la rencontre de ma confidente qui  me cherchait du regard , ah là voilà l'impatiente à l'idée de mes dires se lisait sur son beau visage.

Elle: ah enfin je te trouve où étais tu passé? Me lance t-elle au bout du souffle.

Moi: c'est à moi de te poser la question!m'exclamé-je essayant de m'assoir sur un petit mur inachevé en face de l'école.

Elle: alors comment était ton week-end ?

Moi:suite à la venu de ma tante je te laisse imaginer!

Elle: imaginer ? Non ma curiosité ne m'en permet pas aller raconte moi. Venait-elle d'avouer ahh sacrée khadidja.
Alors j'ai commencé mon compte-rendu du début à la fin, remarquant  la méchanceté de ma tante , elle reste  sans voix.

Elle: ehh allah qu'elle est dangereuse cela et rien qu'un bol elle vous décrit sa vie et vous maudit? j'imagine pas plus pire.

Moi: je te le fais pas dire!

Elle: bon je sais très bien que tu gardes toujours ses paroles  en tête et je doute fort que tu  les jeté au oubliettes de ton plein gré.

Moi: hum

Elle: voilà je le savais,  je te conseil de le faire et de ne jamais te fier à ses dires. Elle fait sans doute partie de la famille mais tu dois toujours  garder en tête qu'elle est  juste ta tante et joue de rôle qu'en vous rabaissant son avis et ses reproches importe peu. focalise toi sur ceux qui viennent de des parents et sira.

Je hoche la tête positivement représentant ma réplique, je voulais en ajouter un d'accord mais le chauffeur  qui klaxonnais de l'autre côté nous faisant vent de son venu , je décide de l'a quittée avec un câlin qu'elle mérite.

Le chauffeur nous conduit jusqu'à la maison  où on y trouve aucune  trace de nos parents, coumba nous informe qu'ils ne sont revenu de la maison depuis le matin. Bizarre !
Nous avançons les pas jusqu'à la chambre pour prier et nous changer.
À la sortie, nous qui croyais que le repas était servi , mais aucune nappe étalée ni des cris d'appel provenant d'en haut ne furent vu ni entendu on en conclue le contraire. Mais pourquoi ?
On monte en haut et lance un bref selam à ma tante qui regardait la télé ne souciant pas du repas . Sira demande la cause du retard de nos parents et du repas.

-vous êtes habitués  toujours trouvé le repas servi nespas? Beh aujourd'hui cela ne serait pas le cas vous attendrez l'arrivé de votre père pour le consommer et pour ce qui est de votre mère elle se débrouillera. Introduit-elle.

N'ayant pas d'autre choix que d'attendre nous descendons en bas. Exténuée de la journée  je fais une sieste espérant la rentrée de mes parents à mon réveil.

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- où sont-ils? Venait d'interroger ma mère à coumba.

Coumba: dans le salon et il dorment je crois!

Ma mère : ils ont prit le repas ?

Coumba : non, famma avait décidé d'attendre tonton alassane.

Mère : quoi? Mais comment peut-elle penser ainsi sachant qu'ils viennent de l'école épuisé et affamé, C'est inhumain.

Elle vient nous réveiller à tour de rôle pour ensuite nous servir du riz au poisson qu'on déguste sauvagement sous le regard de ma mère. Regardant la télé je remarqua qu'il était 17h,ah on a  bien dormis même si on avait le ventre vide.

Ma mère: la prochaine fois qu'elle décidera de faire pareil,  allez chez lamine le boutiquier et emprunter des aliments qui vous serviront commme repas ,d'accord ?

Nous : d'accord

Alors je vous passe une semaine qui m'a parut une éternité car mes parents revenaient toujours le soir plus précisément à 17h chacun d'entre eux etait accompagné de papiers dont j'ignore la contenue. La composition s'est très bien passé elhamdulilah je suis en attente d'un bon résultat méritant la satisfaction et la fierté de mes parents comme voulu ainsi que des cadeau car je sais au fin fond de moi-même que j'ai bien travaillé.

En ce moments nous sommes en vacances et les tantes, qui sont les soeurs de mon père du village ne tarderont pas à venir occupé la maison ,justement nous emménageons la chambre pour elles.
Nous ne partons pas en vacances au village comme certains car une fois là-bas éloigné de notre mère ils nous maltraitent pour ne pas dire nous déteste d'être parmis eux.

Une fois en 2012 nous y sommes allés avec sira à la naissance de maria.
Ils nous  ont fait voir de toutes les couleurs on se réveillait tôt le matin pour aller au champs et revenir qu'a l'heure du repas pour ensuite surveiller la troupe des vaches et moutons jusqu'au crépuscule,  préparer le dîner et  c'est après avoir  servis qu'on rejoind nos  vieux matelas sous ce mileu moustiqueux. Ainsi était la routine durant les un mois passé là-bas.
Ma mère avait décider qu'on ne poserait plus un pied là-bas après l'avoir fait vent de notre abbsurde séjour.

Revenons à nos moutons , ma vue  me montre coumba qui regroupe ses bagages l'air triste. Eh oui elle passait la nuit chez nous. Je n'hésite de la questionner.

Moi : pourquoi ranges tu tes affaires coumba?

Elle: je démissionne!  Venait elle de dire ;laissant la  tristesse et le dégoût se  lire sur son visage.

Moi :pourquoi?

Elle: je me demande aussi la cause.

Moi: de qui?

Elle: ce n'est pas important je démissionne mais on se reverra dans un proche avenir. Continuez à prendre soin de votre mère et à apprendre je crois en vous. Et elle prit ses deux valises.

Elle se dirige vers la porte accompagné de ma mère. Ah coumba,  une femme si gentille,  patiente , calme ,ouverte...je m'arrête là car la liste est longue.
J'ose douter que son départ sans cause raisonnable soit l'œuvre de ma tante. La connaissant elle en est bien capable

*le lendemain *

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Bisou 😘









ma vie et ces bouleversements Où les histoires vivent. Découvrez maintenant