partie 9

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     Selam aleykoum🥰

Alors je me réveille d'humeur mélancolique le vent berçant mes illusions je devance les pas à la cuisine où je vois celle qui m'a donné la vie celle qui garde toujours le sourire peut importe les circonstances.

Quand j'ai froid elle se fait  une lumière comme  un  soleil dans l'existence, quand j'ai mal elle se fait prière elle me dit tout dans un silence, quand je souffre elle soufre avec moi, quand je ris elle rit aux éclats, mes invocations sont le plus souvent pour elle, elle sera toujours ma merveille.

Elle préparait le petit-déjeuner faudra vraiment faire appel à coumba car avec l'école les tâches ne seront pas faciles à remplir. Je lui souffle une brève salutation à laquelle elle repond toute souriante.

Nous avons pris le déjeuner avec gaieté tout en parlant de l'école et ce qui suit, avec sira  nous décidons de rendre visite à mon père ce soir pour aborder le sujet de scolarité.

Le soir venu, nous  nous dirigeames chez lui un peu curieuse de voir  leur
Réaction,  je sais bien au fond que ma tante a eu ce qu'elle voulait de ce fait elle ne fera que sourire et jouer l'hypocrite en présence de mon géniteur.

Nous: salam aleykoum!

-wa aleykoum selam,  eh quelle belle surprise! Venait-elle d'aboyer l'air contente le sourire au visage.

Ah je m'en doutais absolument pas de sa réaction, aucune d'entre nous lui rends son  sourire. Elle enchaîne...

Elle: mais pourquoi restez vous debout aller prenez place.

Nous exécutons et demande notre père qu'elle dit est en train de prendre une douche. Nous l'attendons tout en regardant la télé, quelques minutes dont je supose 2 ou 3 être l'exacte, il se pointe devant nous très bien habillé je suppose qu'il est sur le point de sortir,  j'espère qu'il nous accordera un peu dd son temps.

À notre vu il se dirige à notre rencontre on se lève pour le saluer par respect comme il faut et il s'assoit donc on pourra lui parler.

Sira: papa bientôt la rentrée

Père: ah oui , et ?

-euh nous avons toujours pas payé nos fournitures et ignorons encore nôtre l'école !

- ah oui justement pour les fournitures je vous donnerais une sommes dont vous pourrez y payer le nécessaire ,  et pour ce qui est de l'école je vous ai incris dans une école toute prés de chez vous.

- laquelle ?

- l'école publique qui se situe à 5min de chez vous , de ce fait vous n'aurez pas besion de transport etc....

-Quoi!

- ce n'est pas une école ? Avez-vous  dépassé ce stade?

Venait elle d'intervenir et enchaîne aboyant....

- mais biensur que non je pense que  vous devriez y étudier jusqu'à la fin de vos études car ces genre  d'écoles diminuent les dépenses.

-je voulais vous y inscrire que cette année du aux frais que j'avais mais je pense que vôtre tante me permet de changer d'avis car c'est une bonne idée quand même.

Nous rajoutons aucun mot  , il continu nous tendant une somme dont j'ignore l'exacte...

- tenez ces 10milles vous pourrez y acheté vos fournitures et vous débuterai l'école la semaine prochaine sur ce bonne fin de soirée je dois sortir suis d'ailleurs en retard.

Il prend congé de nous et de notre côté nous tardons pas de quitter la maison.
Ah mais pourquoi a t'elle intervenu à notre discussion qui était entre père et filles nous hait elle à telle point à ce point!

Je ne veux en aucun cas étudier dans une école publique je me prends pas pour une supérieure aux autres mais juste que depuis le debut de mon parcours d'études je n'ai point posé les pieds dans ce lieu  car selon mon père on y bénéficie que du vagabondage  mais le voilà aujourd'hui acceptant  ce fait.

Je désaccord pas avec cette idée peut importe là où je j'étudierai la réussite est mon seul but , mais  celles des alentours ont une très mauvaise réputations.

Mon père dit que ce sont les frais lourdes sur ces épaules qui l'ont poussé à décider une telle chose mais suis sure  que ce n'est qu'une excuse peut crédible c'est sûrement  ma vipereuse tante  qui lui a monté la tête j'éprouve un sentiment d'hostilité en vers elle de plus en plus après ses actes.

Une idée de vengeance me traverse l'esprit mais je n'y donne pas beaucoup de ma réflexion, les dires de sira me fait revenir sur terre la tête dans les nuages.

Sira: que peut-on  acheté avec ces 10 milles hein ?

Moi : ce n'est pas suffisant ?

Sira: pour nous quatre ? Non ça ne suffit guère , on essayera de convaincre néné de nous compléter le reste.

Moi: et si elle n'accepte pas ?

Elle: en cas contraire je ne saurais quoi faire

Moi: on pourrait en faire part à papa

Elle: le dire à papa? Tu es folle , famma interviendra comme elle l'a fait aujourd'hui sans doute de plus papa n'en rajoutera rien vu qu'il pretend avoir  trop de dépenses.

Moi: tu as raison , pourvu que néné nous complète le restant de l'argent.

Sira: je le convaincrai du mieux que je pourrais.






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Sira: néné nous sommes parti chez notre père et on lui a parlé d'école comme on l'avait dit , il dit qu'il nous a déjà inscrit dans une école publique toute prés d'ici car il a des prodigues a faire et il nous a remis dix billets de mille pour nous payer  nos fournitures.

-rien que pour cette année? Interroge néné a sira.

Sira: c'est ce qu'il voulait mais ma tante lui a proposé une idée disant qu'on pourrait y étudier jusqu'a la fin de nos études ce qui lui a  fait changer d'avis

Néné : QUOI! Non ça jamais ,si ce n'était que pour cette année d'accord mais jusqu'a terminus non je ne peux l'accepter !et un dix milles peut  subvenir aux nécessaires de vous quatre ?  Je vais lui parler on mettra les points sur les "i" et peut importe ce qu'il faut je le ferai pour vos droit.

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Bisou😘

ma vie et ces bouleversements Où les histoires vivent. Découvrez maintenant