Le frère de ma meilleure amie

Chapitre 1

PDV de Livaï :

Je m'appelle Livaï Ackerman et j'ai 15 ans. Je rentre du lycée, c'était bof, la seule chose de bien, c'est que je peux voir mes deux meilleurs potes Farlan et Isabelle. Après une demi heure de bus, j'arrive enfin chez moi. J'ouvre la porte et entend un hurlement de la part de ma mère. Je lâche mon sac et cours, en passant par le salon, je découvre mon père sur le dos baignant dans une flaque de sang. J'ai pas le temps de m'arrêter, je monte les escaliers, des hommes attaquent ma maman.

Livaï : Lâchez là !!

Les hommes ne bougent plus, l'un d'eux se tourne vers moi et relâche sa poigne sur ma mère. Il sort un couteau puis marche dans ma direction.

Homme : Dommage que tu arrives petit car on aime pas les témoins gênants.

Maman : Livaï va t'en ! Cours !

Hors de question que je parte en courant, je ne les laisserais pas toucher ma mère. Je fonce sur l'homme devant moi, j'esquive son couteau et le désarme en utilisant une prise que mon oncle m'a appris. J'ai appris à me battre depuis l'âge de 10 ans. Une balayette et mon assaillant tombe au sol, je m'apprête à attaquer l'autre mais il tranche le cou de ma mère.

Livaï : Non !! Ordure !!

J'attrape le couteau puis m'apprête à le blesser sauf que son collègue attrape mes chevilles, je tombe au sol. Ils me donnent un coup au visage avant de détaler comme des lapins. La porte du placard de la chambre de mes parents s'ouvrent pour laisser apparaître Mikasa.

Mikasa : Grand-frère !

Elle me saute au cou en pleure, la pauvre petite devait être terrorisé. Mes bras la serrent comme-ci, j'allais la perdre. Les sirènes de police se font entendre.

Policier : C'est la police !

Ils montent à l'étage puis nous découvrent, ils voient le corps de ma mère.

Policier : Jeune homme posez le couteau et mettez les mains derrières la tête !

Livaï : Vous plaisantez pas vrai ?

Policier 2 : Faites ce qu'on vous dit !

Je dépose doucement l'arme avant de la pousser d'un coup de pied vers eux. L'un des policiers la récupère en utilisant des gants en latex puis le met dans un sachet. Je retire mes bras du corps de ma petite sœur pour placer mes mains derrières ma tête.

Policier : Écartez-vous de la petite fille, mettez-vous face au sol.

Livaï : Mikasa, tu veux bien reculer un peu?

Mikasa : Oui.

J'exécute la demande des policiers, l'un d'eux vient me menotter. Qu'est-ce qu'ils font ? C'est quoi ce délire ?

Livaï : Putain qu'est-ce qu vous faites ?!

Policier 2 : Tu vas nous suivre au commissariat, pour l'interrogatoire.

Ils me redressent et commencent à m'emmener sauf que ma petite sœur âgé de 5 ans, ne compte pas les laisser faire. Elle dévale les escaliers, se place devant nous puis agrippe ma taille et secoue la tête en pleure.

Mikasa : J'veux pas que grand-frère parte ! J'veux mon grand-frère !

La voir comme ça me fend le coeur, j'ai envie de lui faire un câlin, de lui dire que je vais rester mais je ne peux pas. Soudain une idée me vient.