Je voulais juste écrire un petit message pour vous remercier. Avoir quelques lecteurs qui lisent mon histoire ça me rempli de joie! J'espère juste pouvoir terminer cette histoire, une panne d'inspiration est si vite arrivée !;-;
Encore merci et n'hésitez pas à venir me parler*^*!
( parfois j'ai l'impression d'écrire n'importe quoi ;-; je suis très pessimiste avec mes travaux ...)
— —————————————————-
(Pdv 347)Même en chat je n'avais pas bien dormi. Tout mon corps me faisait souffrir mais le pire, c'était les 10 gardes qui voulaient me faire sortir de la cage. Pour m'étudier ?! De mon plein gré, jamais !
??: sujet 347. Nous vous conseillons de nous suivre gentiment sinon nous serons obligés d'utiliser la manière forte!
Ça faisait un petit moment que je ne m'étais plus battu..
Voyant que je n'allais pas coopérer ils entrèrent dans la cage. Mi-oiseau ,je m'élançais dans les airs puis fonça sur eux, mes serres fendaient l'air mais aussi la peau tendre de leur chair. J'arrachais des têtes, jambes et organes. La cage se colorait en rouge carmin tout comme mon corps. Mon corps se mouvait avec grâce, je leur offrait un spectacle inoubliable. Le dernier cadavre je l'ouvrit en deux et le jetais en l'air. Une pluie de sang. Il n'y avait rien de plus beau.
Je les avait tous tué, trop rapidement à mon goût. Mon esprit sombrait, je le sentais mais je ne pouvais rien y faire, la folie ravageant mon hêtre. Mon corps devenait une ombre, noire, brumeuse, où la lumière se faisait comme "aspirée". Je luttais contre cette noirceur mais je finis par sombrer.(Pdv extérieur)
L'ombre, elle, voulait destruction, malheur et semer la discorde. Il n'y avait plus rien d'humain la dedans. La cage aurait pu la contenir mais durant la bataille, un buste c'est malencontreusement coincé devant la porte, celle ci ne savait plus se fermer. Une catastrophe qui aurait pu être évitée si quelqu'un l'avait poussé. Profitant de l'occasion, l'ombre se glissa vers l'extérieur, les lumières clignotaient, les rares personnes se trouvant sur son chemin se firent engloutir par la masse noire. Les portes de sécurité ce sont mises à fermer, n'attendent pas les retardataires, il fallait contenir ce monstre au plus vite! Lui injecter le produit capable de lui rendre forme humaine serait la meilleure chose à faire mais sous cette forme, impossible. Il faudrait que l'humain se réveille mais comment? Plusieurs gardes tiraient dans le tas priant pour l'arrêter ,au moins pour quelques minutes ,mais sans succès. Les balles lui passaient à travers.
Des projecteurs furent amenés, il fallait combattre l'obscurité par la lumière. Celle-ci reculait, la lumière la "brûlait", on pouvait maintenant voir la partie "humaine" de cette chose. Le sniper n'attendis pas une seule seconde et tira sur le bras, le garçon et l'ombre hurlèrent. L'ombre car elle voulait faire du mal à ceux qui l'ont empêchée de faire un massacre tandis que, le garçon,hurlait de douleur. Cette ombre n'était que l'accumulation de ses émotions négatives et de sa folie. Imaginez-vous, faire entrer une boule, de la taille d'un tank,chargée de rage,tristesse, dégoût,etc dans un petit corps fragile. Lui, vivait avec le poids de cette chose, chaque jours et sans sombrer une seule fois. Jusqu'à ce jour, son esprit s'est fissuré, la folie a pris le dessus, engendrant ainsi l'écoulement de l'ombre ors de son corps.
/////On pouvait voir la masse disparaître dans le corps du garçon. Il n'y avait plus aucun bruit, les cris avaient cessé mais un silence de plomb régnait. Le garçon ne bougeait plus. Axel fut le seul qui couru en direction de celui-ci, il prit son pouls mais ne le sentait pas...ou plus. Il commença alors à faire un massage cardiaque, une minute puis deux... il ne le sentait toujours pas. Marc lui apporta alors un défibrillateur, lui non plus ne voulait pas la mort de ce gamin, certes chiant mais aussi très attachant.
Ce n'est qu'après le deuxième coups de jus qu'Alex senti le pouls du gamin, faible mais présent.Il était tiré d'affaire.
——————-///////////——————-(Pdv 347)
Mon esprit vacillait entre la lumière et la folie. Je voulais tout lâcher, à quoi bon vivre? Je ne voulais pas être un de leur pion. Pourquoi m'avoir sauvé ? Pour m'utiliser? Mort, je serai bien plus utile, disséquer un hêtre comme moi serait une première!
Je ne suis que le spectateur de ma propre vie. Pas génial hein...
/////Mes yeux s'ouvraient difficilement, la lumière m'aveuglait, j'essayais de me lever mais mon corps ne répondait pas. La seule chose que j'ai pu voir c'était que l'on m'avait mis dans une chambre, assez sobre, un lit, un bureau et une petite armoire. Je pouvais entendre le chant des oiseaux donc il y avait une fenêtre, sûrement bloquée par quelque chose. Ce serait con sinon...
Des pas se faisaient entendre, peut-être un infirmier, qui sait ?
C'était clairement pas un infirmier mais Marc... attends ? Marc?! C'est la dernière personne à qui j'ai pensé! Comme quoi faut s'attendre à tout.Marc: arrête de me regarder avec cette expression. Moi même chui étonné d'être venu...
Moi: ta de la chance que je ne puisse pas bouger.
Marc: pour bouffer l'insecte que je suis? Je te signale que c'est cet insecte qui t'a plus ou moins sauvé.
Moi: ....
Marc: un merci serait la bienvenue, non?
Moi: *grognement* merchi.
Marc: je me contenterai de ça.Mon égo en avait pris un coup.
Marc: Axel viendra t'apporter de la bouffe d'ici 5 minutes.
Moi: dis moi ... j'en ai tué combien?Il prît une grande inspiration puis me raconta absolument tout. Je savais qu'un jour ou l'autre « elle » sortirait mais ces gardes ont été la goutte d'eau qui fit déborder le vase.
Marc: (...) et c'est comme ça qu'on t'a sauvé.
Axel entra pile au moment où Marc terminait sa phrase. Mon ventre criait famine! A table !
Axel: tu peux bouger?
Moi: vais essayer.Après 2 minutes de pure galère, je réussi à m'asseoir sur ce lit. Ma tête me faisait souffrir mais la faim était plus forte.Et c'est comme ça que mon ventre englouti 1kg de viande a lui tout seul!
Axel: repose-toi encore, demain matin tu aura droit à un entraînement.
Moi: j'ai dormi combien de temps ?
Axel: 3 jours.
Moi: ok.Je dois m'enfuir. Ils veulent déjà que je rejoigne leur troupes.
Ce soir je partirai.
( en espérant que ce chap vous a plu (UwU)