Chapitre 8

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On se détache très rapidement entendant ce sont, on se retourne et voit :

- Eva ! M'exclamais-je de surprise.

- Que fais tu ici ? l'interrogea Lucas avec une once de haine dans la voix.

- Waouh, en plus d'être bizarre, tu es aussi une traînée Alycia, ce spectacle était d'un vulgaire... dit-elle d'un air dégoûté en ignorant Lucas et en me fixant. Je suis là pour le devoir d'histoire débile que le prof nous a demandé de faire ensemble tu te souvient ?

- Ah oui c'est vrai... mais tu ne devais pas venir aujourd'hui, mais mercredi après midi, vu que l'on avait pas cours...

- Je t'ai laissé un message sur ton portable pour te dire que je venais aujourd'hui car mercredi, je ne peux pas... Mais tu était trop occupé pour regarder ton téléphone. Dit elle avec pleins de sous entendu derrière ses paroles.

- Excuse moi, mais je suis chez moi, donc je fais ce que je veux et avec qui je veux, alors si cela ne te plais pas, tu ferais mieux de dégager tout de suite, car je ne me plierais pas a la volonté de mademoiselle Eva parce que son emplois du temps n'est pas fixe. Alors, tu vas attendre mercredi pour ce devoir, car aujourd'hui, je ne suis pas libre, des amis a ma famille sont là, donc tu annule ce que tu à faire mercredi et on travail comme prévu, ce n'est pas a moi de changer tout mon emploi du temps juste par ce que tu le désir. Et je sais que tu n'a pas envie d'avoir une mauvaise note alors, tu le feras.

Je vois bien qu'elle sais que j'ai raison, alors elle colle une expression haineuse sur sont visage, tourne les talons et par sans un mot.

Je me retrouve de nouveau seule avec Lucas, Eva a réussi a gâcher la passion du moment. Je vois qu'il est tendu, déçu et en colère.

Je lui prends le main et l'emmène a l'étage du dessous.

On y retrouve les adultes, et c'est là que je me rend compte de ce que Lucas et moi allions faire.

Dans un sens, l'arrivé d'Eva était une bonne chose car nous nous somme un peux emportés et ce n'était pas le bon moment.

De plus, je ne suis toujours pas prête pour faire cela.

En bas, ils sont tous autour de la table en discutent de choses et d'autres.

Mais le sujet dévia rapidement sur le tueur, les émotions négatives affluent de partout, venant de toutes les personnes présentes dans la pièce.

Chacun fait part aux autres de son inquiétude vis a vis des événements.

N'aimant pas ni l'ambiance, ni le sujet de conversation, je décide d'en trouver un autre, et tout le monde si accommode sans broncher.

Ils trouvaient sans doute que c'est trop sordide et pas assez convivial pour la situations, nous sommes tous attroupés dans la mème pièce, les sujets doivent être joyeux, agréable, drôle... pas sordide, autour de la mort et l'angoisse.

Nous discutons longtemps, mais la fatigue nous gagne rapidement donc nous allons tous nous coucher.

Suzanne et sa famille vont rester ici quelques jours, ils ont négociés avec nos différents lycées, Suzanne va intégré le notre pendant ces quelques jours et réintégrera le sien en retournant chez elle.

Le lendemain, nous nous levons et nous préparons pour aller en cours, Lucas vient nous chercher pour nous accompagner, il sonne et je me précipite pour lui ouvrir avec mon sac sur le dos.

Il m'embrasse puis me prend la main en disant bonjours a tout le monde.

Il me tire et nous partons en directions du bahut.

Arrivé la bas, toute les personnes qui connaissaient Suzanne se précipite vers elle avec des cris de surprise, d'étonnement, ils sont contents de la retrouver après 3 ans en ville.

Elle était très populaire, tout le monde l'adorait, mais elle ne prenait pas la grosse tête comme les pétasses dans ce cas et restait adorable avec tout le monde.

D'ailleurs, Eva était aussi son ennemis, mais simplement parce qu'elle était jalouse.

Yann s'intéressait beaucoup a Suzanne, mais elle l'ignorais royalement, c'est aussi une des raisons de la jalousie d'Eva, en plus du physique avantageux de Suzanne.

Nous commençons les cours normalement et tout ce passe bien jusqu'à ce que Eva et ses amies débarque pour nous humilier.

- Wouah, je vois que la bande des ringards et au complet aujourd'hui. Salut Suzanne, tu ne m'a pas manqué du tout durant ces 3 dernières années en ville, je dirais même que c'était agréable de ne pas voir ta sale tète tout les jours. Dit-elle, ce qui amuse sa cours.

- Salut Eva, tu sais, des pétasses comme toi, il y en avais en ville, mais je remarque a présent qu'elles t'arrive pas a la cheville... répond-elle pas le moins du monde touché par les propos de cette dernière.

Eva vexée tourne les talons et part en directions de la cafeteria, suivit par son groupe d'amis.

Nous nous regardons tour a tour en silence puis nous éclatons de rire.

Eva ne se rend même pas compte a quel point elle est ridicule a se comporter de cette manière.

Nous commençons nos cours par français, et le cours se passe extrêmement lentement, Eva n'a pas arrêter de nous regarder de travers et de chuchoter des choses infâmes sur nous, et sur moi en particulier comme quoi je serais une fille facile, une traînée et tout sorte d'autre choses encore plus dévalorisante.

Heureusement j'avais Suzanne et Lucas a coté de moi, il me changent les idées, mais a cause de ça j'ai du mal a suivre le cours.

De plus, la main de Lucas est poser sur ma cuisse. Je crois que sais pour me soutenir, mais son contacte est tellement chaud que je frissonne, et je pense que lui aussi, ce contacte réveille les sensations de la veille quand Lucas et moi étions seuls dans ma chambre avant d'être interrompus par Eva.

Mercredi, nous devrons travailler ensemble pour un devoir que Mr Cristion nous a donné.

Nous devons faire des recherche sur ce qu' il c'est passer dans les camps d'extermination durant la seconde guerre mondial.

Se sujet ne m'emballe pas du tout car je suis très sensible, a chaque fois que j'entends parler de ça, je perd mes moyens. Et cela dois être pour cela que Mr Cristion m'a choisis pour se sujet, moi et mon ennemis de toujours...

Je pense que se profs et plutôt mesquin car il sais très bien que je ne peux pas supporter Eva et que se sujet est difficile a aborder en ma présence.

Il a peux être une idée derrière la tète, peux être pour que je sois plus alaise avec le sujet et avec Eva...

Quoi qu'il en sois, je sens que ça ne va pas être facile, je pressens même un meurtre si elle dépasse les bornes.

Plus jamais comme avantOù les histoires vivent. Découvrez maintenant