All my life I've been waiting for You

CHAPITRE 41

Je n'en revenais pas. On avait enfin réussi à faire payer ma mère de tous ses crimes et délits qu'elle avait commis. On avait su rendre justice à la famille de Riley à mon plus grand bonheur et celui de la famille Johnson.

Ma mère c'était fait arrêter par la police et allait être jugé dans les mois à venir mais notre dossier était solide comme du béton et allait de tout manière passer par la case prison.

Afin de célébrer notre victoire mon père nous avait fait porter une bouteille de champagne. On commençait donc à discuter tous entre nous pour voir la suite des évènements.

A un moment je décidai de m'éclipser pour aller respirer un petit coups, après tout je venais de faire arrêter ma mère et même si je n'avais plus aucun respect pour elle, ça me faisait un pincement au coeur.

"Ça n'a pas dû être simple de tenir tête à votre mère comme vous l'avez fait."

C'était la voix du père de Riley, Parker Johnson.

"Non ça n'a pas été simple mais c'était la chose à faire, ma mère a fait du mal à trop de monde que pour rester impunie. Il fallait que quelqu'un se lève et lui dise en face ses quatre vérité."

"Et vous avez fait ça comme une pro."

Il me sourit. Tous deux nous nous plongions dans la vue qui s'offrait à nous.

"Je vous ai trop vite jugé. Vous, votre famille et votre milieu. Pour moi, vous êtes tous de la même espèce. Tous des gens friqué sans coeur ni empathie, vous vous suivez tous comme des moutons. J'avais une haine portez à votre encontre sans même vous connaître et je regrette ce que j'ai pu vous dire au dîner. Vous ne méritiez pas ça. Ma femme n'a pas tari d'éloge sur vous ni ma fille, elle est celle qui vous a le plus vendu. Et je dois dire que tout ce qu'elles ont pu me dire sur vous est vrai. Vous êtes une femme humble et avec le coeur sur la main. Vous êtes généreuse et toujours à la recherche de l'injustice. Et vous aimez éperdument ma petite Riley. Je sais que vous et Riley vous êtes revue il y a un mois. Fin elle l'a dit à ma femme qui me l'a dit et ma femme m'a aussi dit à quel point vous rendez Riley heureuse, à quel point vous prenez soin d'elle, vous la protégez et la chérissez. Et à vrai dire j'ai toujours espéré trouver quelqu'un comme vous pour être à ses coté. Alors je vous prie d'accepter mes excuses pour les choses que je vous ai dites."

Les mots de monsieur Johnson me faisaient l'effet d'une bombe. Il voulait réellement se rattraper de ses paroles et de son comportement, alors il avait peut-être été poussé par sa femme et sa fille mais au moins il l'avait fait et pour un homme comme lui ça ne devait pas être simple de s'excuser comme ça.

"Je vous remercie monsieur Johnson et bien évidement tout est oublié. A votre place j'aurai sûrement réagi de la même manière. J'aime profondément Riley. Je l'ai aimé dès le premier jour où je l'ai vu à la réception c'est-à-dire il y a deux ans. Ça peut paraître fou ou incroyable mais j'ai toujours su que Riley et moi allions finir notre vie ensemble et je le pense toujours. Nous nous sommes effectivement revue il y a un mois et avons décidé de reprendre à 0 vu que notre relation a été rapide. Trop rapide. Mais sachez qu'à partir de maintenant je ne compte plus faire aucune erreur et ne plus jamais la laisser partir. Je la chérirais et l'aimerais pour encore des années durant. Alors j'espère que vous m'accepterez dans votre famille."

Il me sourit et se tournait vers moi en me tendant sa main.

"Bienvenue dans la famille."

Je lui serrai la main.

"Vous pouvez m'appeler Charlie."

Il acquiesça. Je sais que son père est vieux jeu comme le mien du coup j'allais devoir le vouvoyer pour encore quelque temps je pense.

Finalement on rentra dans la salle et quelques minutes plus tard tout le monde se prépara à partir. Riley et moi accompagnèrent nos parents et avocats jusqu'à l'entrée. Mon père parti le premier sans oublier de serrer la main des parents de Riley et de les inviter à manger. J'étais heureuse car nos familles avaient enfin trouvé un accord, une bonne entente et ça veut dire que Riley et moi pouvons enfin reprendre notre relation.

Riley et moi étions dans l'ascenseur lorsqu'elle prit la parole.

"Je ne sais comment te remercier Charlie."

Je me tournai vers elle et appuya sur le bouton pour bloquer l'ascenseur dans sa course. Je m'approchai d'elle pendant qu'elle recula jusqu'à se cogner le dos contre la parois. Une tension électrique avait pris place dans la cage d'ascenseur. Et mes yeux la dévoraient tout entière. J'avais envie d'elle. La maintenant. Tout de suite.

"Tu pourrais me remercier en allant boire un verre ce soir avec moi ?"

Je m'étais collé à elle en posant mes mains sur ses hanches et en approchant très proche ma tête de celle de Riley. Mes mains retirèrent son chemisier qui était rentré dans sa jupe je déboutonnai deux trois boutons de celui-ci juste pour entre apercevoir ses seins. Je remontai sa jupe et d'un coup sec, mes mains sur son cul, je la fis sauté pour qu'elle enlace ses jambes autour de ma taille. Je la bloqua entre mon corps et la paroi de l'ascenseur. Mes lèvres embrassèrent d'abord chastement son cou puis mes lèvres devint beaucoup plus insistante au point d'y laisser quelques petites marques violettes.

La respiration de Riley était saccadé. Je lui faisais de l'effet, énormément d'effet. Je la reposai et l'une de mes mains qui était posé sur ses fesses, migra sur sa partie avant où je posai ma main sur sa culotte déjà bien trempé. J'appuya sur son point sensible et lui sourit. Riley balança sa tête contre le mur et gémit.

"Alors madame Johnson, votre réponse ?"

Elle me regardait, et dans son regard j'aperçu du défi. Petite joueuse. J'appuyais plus durement sur cette partie en visant bien son clitoris et je commençai des mouvements circulaire dessus. Mais toujours pas de réponse.

Je la retournai d'un coup sec remonta entièrement sa jupe pour avoir une vue sur ses fesse dévoilé par son string et claqua ses fesses durement.

"Réponds."

"Ou... Oui, je veux Ce soir"

Elle haletait. Elle était déjà à la limite de l'agonie. Je décidai donc de rabaisser sa jupe et de la rhabiller convenablement et je me décolla d'elle. J'appuya sur le bouton pour redémarrer l'ascenseur. Une fois le tintement de l'ascenseur les porte s'ouvrit sur notre étage et avant de sortir je lui dis.

"Ce soir 20 heures devant le Soho bar."