Chapitre 4

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Cela faisait une heure qu'Élios s'entraînait a générer des orbes d'énergie de la taille d'un poing  et à les faire éclatés, libérant une faible lumière orangée ainsi qu'une légère chaleur, réchauffant à peine son corps engourdis par le froid. Il s'effondrât sur la pierre qui lui avait servit de lit la nuit dernière. Il été exténué et glacé: le soleil le réchauffé à peine et il ne portait qu'une fine chemise de lin, un bas grisâtre et une paire de bottes en cuir usées.                 Son armure été posée près de lui mais Lize lui avait dit de se réchauffer grâce aux orbes de mana . Lize et Terras été partit à  l'aube afin de repérer de potentiel poursuivants, depuis une heure c'été écoulé et il devait aller chasser, plus tôt dans la matinée il avait entendu le grognement d'un plentyr solitaire au nord de leur campement.
il se marchât vers l'origine du grognement pendant environ deux-cent mètres avant de grimper dans un des grands conifères qui constitue la forêt afin de vérifier si l'animal y été encore sans alerter une potentielle meute. Il avancer en sautant silencieusement d'arbre en arbre, chaque saut été pareil a un minuscule envol suivi d'une habile réception, ses mains agrippées l'écorce et ses jambes le propulsait, si il glissait il se rattraper aussitôt d'un geste expert, cela n'était pas la première fois qu'il chasser ainssi et ce ne serait sûrement pas la dernière. Cela faisait bientôt une heure qu'il avançait vers le nord quand il  commença a neiger; il dut ce resoudre à accélérer sous peinie de ne pas retrouver le campement lorsqu'il aperçus un lac près duquel un troupeau d'une dizaine de plentyrs se disputer un cadavre de bête inconnue: leurs fourrure étaient brune et séches comme la terre des monts désolés, leur crânes dans lesquels été enfoncer de petit yeux malveillants rouge comme le sang qui dégouliner de leur gueule, leurs têtes étaient surplombés d'une fine corne dentelé de la taille d'une dague, ils avait un cou massif, des pattes puissantes taillés pour la course et une longue queue qui balayer violemment le sol.
Élios allait retourner au camp, découragé par la nombre des animaux quand la branche sur laquelle il se tenait se mit à émettre un craquement sonore avant de se briser; la chute lui parût durer une éternité, il tenta tend bien que mal de s'accrocher au tronc mais il continua de tomber avant de s'écraser violemment dans la neige , il été maintenant au sol, au milieu des bêtes qui commençaient lentement a former un cercle autour de lui, l'enfermant dans une cage aux barreaux de crocs et de griffes qui rétrécissaient petit à petit à un point ou il pouvait presque sentir l'odeur de chair et de sang à travers les dents acérées des monstres...

Mage and mercenariesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant