Chapitre 45: Enfin !

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PDV Yasmin.

C'est bon il vient d'entrer mais il ne tarde pas pour me trouver, une fois la porte ouverte, nos regard se croise et il marche lentement très lentement ce qui me fait soupirer. Une fois à mes côté il n'arrête pas de me tourner dessus.

Karam: (en chuchotant) Tu sens bon, très bon !

Il est à présent devant moi et il déboutonne sa chemise tout doucement, on se regarde droit dans les yeux, allez Karam fais un truc je ne supporte plus cette douleur.

Comme s'il m'avait entendu il m'a repousser contre son bureau, m'embrasse lentement et doucement puis rapidement et brutalement, nos langues finissent par se retrouver, le désir explose dans mon corps. Nos mains devient baladeuse, sa main et à présent sur ma hanche et elle descend lentement vers mes cuisses puis elle remonte mais cette fois vers ma culotte, il gémit sous le coup d'une stupeur appréciatrice pendant que ses pouces frôlent la chair au-dessus de la soie. Il me regarde se qui stop notre baiser, je relève la tête à sa rencontre. Il se penche, frôle mon nez du sien c'est le seul contact que nous échangeons. Je suis tellement excitée, j'ai envie de lui maintenant.

Karam: Yass tu me rend fou, à tous les niveaux.

Et il s'empare de moi. Attrapant ma jambe, il la remonte autour de sa taille, si bien que je me tiens sur une jambe, appuyée contre lui. Je le sens, il est dur, empli de désir, au dessus de delta de mes cuisses. Ses lèvres se balade de ma gorge vers ma poitrine. J'accroche mes bras autour de son cou en gémissant.

Karam: Quand c'est douloureux tu me préviens d'accord ?

J'arque mon dos en réponse et me colle à lui, impatiente. Il émet un profond gémissement et me remonte davantage contre lui tout en descendant sa braguette.

Karam: J'espère que tu ne tiens pas trop à cette petite culotte.

De ses doigts experts, il déchire le sous-vêtements qui se désintègre dans ses mains. Mon sang bat dans mes veines. J'halète de désir.

Ses mots m'enivrent, j'oublie toute l'angoisse de la journée. Il n'y a que lui et moi. Sans me quitter du regard, il se glisse lentement en moi. Je me cambre et rejette la tête en arrière, les yeux fermés. Il se retire puis s'enfonce de nouveau, si lentement, si doucement ce qui me fais grogner.

Karam: (en murmurant) Tu m'appartiens.

Je suis pantelante. Il grogne et se met à bouger en moi. Et je m'abandonne à son rythme implacable, savourent chaque poussée et chaque retrait, son souffle irrégulier, son envie faisant écho à la mienne.

Je me sens puissante, forte, désirée et aimée, aimée par cet homme fascinant et compliqué que j'aime en retour de tout mon cœur. Il me pilonne de plus fort, encore plus fort, le souffle court, se perdant en moi comme je me perds en lui.

Karam: (ses dents effleurant ma mâchoire) Oh Yass !

Et je jouis autour de lui. Il s'immobilise, me serre instantanément et s'abandonne à son tour en chuchotant mon nom.

Epuisé, calme à présent, il m'embrasse doucement et son souffle ralentit. Il me maintient debout, son front collé au mien. Mon corps faible mais rassasié par mon orgasme.

Karam: Je t'aime et j'ai besoin de toi dans ma vie.

Il m'embrasse.

Moi: Je t'aime aussi et j'ai aussi besoin de toi.

Il me porte et m'emmène jusqu'a notre chambre et on dort l'un contre l'autre. 

Changement Indésirable.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant