chapitre 35

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on arrive devant chez moi

- tes sur que ça va aller pour montrer

- Marie s'est quelques marches

C'est mignon comment elle veille sur moi. Ça me fait fondre. Elle descend et on se dirige vers Chez moi. Je prends la main de Marie et je l'emmène en direction de chez moi. J'ouvre la porte et je la laisse entre d'abord. Je me dirige vers le rebord de la fenêtre car il est très large , je l'ai recouvert d'un cousin, ça me permet de m'asseoir pour penser, lire ou regarder dans la rue tout en prenant un chocolat chaud ou autre. Je vois marie se diriger vers moi

elle me prend dans ses bras et on s'embrasse. Je vois bien qu'elle est émue par tout ça. Je la prends dans mes bras et on reste comme ça 5,10,15 minutes , je ne sais pas , j'ai perdue la notion du temps.

on se sépare

- merci de m'avoir raccompagné lui dis je

- mais de rien

- on se revoit quand ?

- tu veux que je parte ?

- non mais tu as surement autre chose à faire que de rester avec moi

- c'est vrai j'ai des choses à faire mais je préfère 1000 fois rester avec toi. enfin , si tu veux ....

- bien sur que je le veux

- et bien tant mieux. Allez va t'asseoir je m'occupe de tout

- non

-quoi non?

- viens t'asseoir avec moi

je m'installe dans le canapé, je suis dans le coin les pieds allongés sur le canapé. J'attire Marie à moi, elle s'allonge qui l'autre partie en posant sa tête sur mon épaule et elle pose son bras sur mon ventre.Elle lève la tête et m'embrasse

Son baiser est très tendre, certainement l'un des plus tendres qu'on n'a jamais échangé. Il montre toute la tendresse qu'elle ressent à mon égard , j'en suis bouleversée et pour la première fois depuis longtemps , une larme coule sur ma joue. elle tombe sur la main de Marie qui aussitôt s'écarte de moi.

- qu'est ce qui se passe?

- ....

- dis moi pourquoi tu es triste? J'ai fait quelque chose de mal?

- non rien, je ne suis pas triste mais émue c'est tout

- je t'aime

elle m'aime , je n'en reviens pas c'est la première fois qu'elle me le dit. Elle m'avait dit qu'elle était amoureuse de moi mais jusque l'amour il y a un petit palier. Elle me regard , je lis dans son regard de la sincérité , de l'amour et un peu d'inquiétude

- moi aussi j'ai peur

- de quoi?

- DE MOI. Je n'ai jamais ressenti ce que je ressens pour toi et si je faisais tout foirer encore une fois

- ne t'inquiète pas , laisse toi aller et ça ira. Sois toi même c'est tout ce que je veux.

je l'embrasse à mon tour d'abord je pose simplement mes lèvres sur les siennes puis les choses dégénèrent rapidement.

On se sépare , elle rit. Quand on est ensemble on arrête pas de rire

je ne vais pas à l'école durant une semaine , je ne vois donc pas souvent Marie. Souvent Chloé passe après les cours pour que je reste en ordre.

je devais donc retourner à l'école , il était 8h je me regardais devant le miroir

Mon visage était toujours arrangé , mon oeil gauche avait pris une teinte légèrement violacée tout comme le côté gauche de ma mâchoire.

Tout le monde me regardait , je n'aimais pas vraiment avoir le regard sur moi.

Durant le cours de sciences , Marie me regarde

je me suis installée à côté de David. Marie ne l'aime pas car elle pense que David aimerait quelques chose avec moi. David est le genre de beau gosse.

Durant le cours je parle avec david , il me demande ce que j'ai eu. Marie me lance des regards noires. Elle est surement jalouse

À la fin du cours , je me dirigeai vers le bureau de ma prof qui me détailla attentivement

- je peux vous parler ? lui demandai-je

- bien sûr

elle attendit que les derniers élèves soient sortis avant de fermer la porte derrière eux. Elle se place sur son bureau , se poster devant moi.

- je t'écoute murmura-t-elle

je me reculai légèrement car nous étions en classe et cela me gênait un peu

Ses yeux me fixait avec insistance. Comme si elle essayait de lire en moi.Je devais bien avouer que j'avais envie de rougir

- tu voulais me dire ?

- tu ne dois pas t'en faire avec David il n'y aura jamais rien car si tu ne le savais pas c'est toi que j'aime lui dis je tout en m'avançant vers la porte , je tendis ma main vers la poignée. Avant de l'ouvrir , je me retournai une dernière fois et lui dis

- tu peux....

- ne rien dire aux autres prof coupa-t-elle

- comment tu.....

- Je te connais et je m'en doute que tu ne veux pas que tout le monde soit au courant

- en effet.

je sortis.

Et si c'était le destin ( prof/élève)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant