Cinq filles

cinq filles «1ans plus tôt...»

1 ans plus tôt...

Point de vue d'Ellie

Aujourd'hui s'est mon anniversaire. Andréa, Jennifer, Anaïs et Anne-Sophie sortons ce soir pour cette occasion. Dans 30 minutes, elles viendront me chercher, pour aller dans une boîte. D'après tout, nous avons 18-19 ans, donc nous sommes rendus majeures pour boire et entrer dans celui-ci.

J'enfile une robe noir, qui va jusqu'à la moitié des cuisses (ce que je déteste de cette robe) que Andréa ma soit disant dit de l'acheter pour y aller. Elle, elle est celle qui adore magasiner, surtout les chaussures. Tandis que moi je DÉTESTE magasiner, et même l'épicerie.

Après d'avoir lissé mes cheveux et de m'être maquillé, j'attendis mes meilleures amies. À 8:10 elles vinrent cogner à la porte.

Moi, une fois la porte ouverte en regardant leur tenu: saluuut... Ho mon dieu vous êtes ma-gni-fique!!

Anne-Sophie: on te renvoie plutôt le message!! Prête?

Jennifer: j'ai faim on peut manger quelque chose avant d'y aller... Comme des Oréo par exemple...

Moi: je le savais que tu allais dire un affaire comme ça!!! Va dans le garde-manger, tu viendra nous renjoindre après au pire...

   Elle acquiesce. Quand elle revien, elle tien trois oreos à la main. Comme vous le voyez, Jenn (Jennifer mais je l'appelle Jenn:D) à toujours faim. Elle et les oreos en forme qu'un. Moi et les filles l'appellont parfois oréo girl. Nous rigolons telment ensemble!!

Anaïs: on pourrait y aller tout de suite si sa ne vous dérange pas...

Tous (excepté Anaïs): ouaip!

   Arrivé à l'intérieur de cette boîte de nuit, nous nous mettons aussitot à boire. Après quelques bières, nous allons danser dans cette foul. Nous riant comme des folles. Un certaine temps s'écoula. Nous étions tous saoules. On chantait le karaoké nous cinq en même temps mais tous désincronisé.

Nous cinq, toutes saoules en étant pour une fois synchro dans une des chansons de Tal:

J'ai trouvé le sens de la vie qui je mène,

Et je l'aime!!!!

Moi: et on fini finalement par être synchronisé...

Anne-So: ouaiiiiis!!!!

Nous la regardons tous et éclata de rire, même Anne-So... OMG on est vraiment saoule!!!

Moi: j'vais au petit coin. Je vous regoin.

   J'allai donc au toilette. Je me lavai les mains puis tout d'un coup, j'entendi une puis plusieurs personnes crier de terreur de l'extérieur des toilettes. Je m'essuya les mains en vitesse et couru voir se qu'il se passait.

   Un chien immense... Non, plutôt un loup, même plus gros que la normale, se tenait là, devant moi. Il était submergé de sang. Ses babines relevés révélaient ses crocs dégoulants de bave. Ses yeux n'avaient pas l'air d'être ceux d'un loup... mais plutôt ceux d'un humain.

   Après quelques instants, il me bondi dessus. Je criai au meurtre tout en me défendant de toutes mes forces. Finalement, cette créature féroce entra ses crocs dans ma chaire, au niveau du ventre. Il ne le fesa qu'une seule fois. Il parti. Je voyais ma vie défiler. Ma mère, mon beau-père, ma belle-mère, mon père, mes cousins et ma vrai cousine Alexandra. Ma petite cousine de 19 ans, Mégan, et sa soeur Alexe qui a 22 ans, tout les beaux souvenirs. Ma vision se floua. Un garçon dont je ne sais qui arriva à mes côtés. Je ne le voya pas, je voyais juste embrouillé.

? Le garçon?: salut. Se que je vais te faire va sembler étrange mais tu le découvrira, par toi même. Je vais te faire d'un monstre. Tu ne sentira que deux légères piqûres dans le cou. Tu n'aura pas mal. J'ai fait de même avec tes amies. Elles vont êtres comme toi...

   Il s'approcha et me morda le cou. Mes yeux se fermèrent et je m'évanouie.

   À mon réveil, j'était au même endroit. Je me levai tranquillement. Le sol n'avait plus de corps, mais comme si on les auraient traîner vers un endroit. Je regarde autour de moi. Je voyais l'une des filles, l'une de mes meilleures amies. Je couru vers elle, et me rend compte qu'elles y était toutes, chacune éloigné d'environ d'un mêtre. Anaïs... Anne-So... Jenn... Et DD ...(DD est Andréa, donc je ne fait que vous prévenir, et Anne-so est bien sûr Anne-Sophie!:)). Je me tinrent devant elles. Quand elles se réveil, nous ne disons aucun mot, trop traumatisé de se qu'il s'était passé. Ont tremblaient toutes. La peur nous avaient envahit. De peur de ses immondes bêtes reviennent... Ou le soit disant garçon.