chapitre 18

17 1 0
                                    

Chapitre 18

Le soleil sur mon visage me réveil. Je reconnaît cet endroit. Où je suis. C'est à l'appartement d'Ali... Mais qu'est-ce que je fou ici? Je regarde mon bras où la morsure. Rien. Même pas une cicatrice.

Je me lève et va au bureau dans le coin de la chambre. Un ciseau est sur celui-ci. Je le prend comme arme et part où j'entend le bruit d'un lavabo coule. Je la vois. Là. À laver la vaisselle. Je m'approche silencieusement et lui saute sur le dos, prête à la poignarder avec mon arme de fortune.

Ali: non, El ne me fait rien. S'il vous plait.

Moi: donne moi une seule raison pourquoi je ne te turais pas ici et maintenant?!

Ali: car j'ai deux enfants. Ils sont jumeaux. S'il vous plait, laisse tombé ce ciseau.

Je renferme ma prise.

Ali: la preuve. Regarde au mur. (Je regarde. Ils lui ressemblent terriblement) Il y a des photos d'eux. Ils ont 4 ans. Ma filles Pénélope et mon garçon William. À présent, ils sont à l'école à la pré-maternel.

Moi: remercie-les. Car je t'aurais tué.

Je la lâcha.

Moi: pourquoi suis-je ici?

Ali: je les ai convaincu que je te surveillerais ici.

Moi: où est ton petit-ami et tes enfants?

Ali: mes enfants ne vont pas tardé à rentrer de l'école. Edward est allé les chercher. Lui aussi c'est un loup-garou. Il est de la meute.

Moi: je peux te demandé une question?

Ali: quoi?

Moi: pourquoi tu ne me parlais plus? Je ne t'avais pourtant rien fait.

Ali: je ne sais pas. Je crois qu'il fallait que je traîne avec des personnes plus de mon âge.

Moi: d'accord. Merci pour ta franchise.

La porte s'ouvrit.

???: salut chérie! On est entré!

Une petite fille apparu et sauta dans les bras d'Ali.

???: maman!

Le petit garçon les rejoignent. Quand les enfants me remarqua, ils se mirent à me fixé.

Ali: elle, je te présente ma fille Pénélope et mon garçon Willam. Les enfants, voici Ellie, ma cousine.

Moi (souriante) : bonjour.

William: maman, c'est pas la fille qui n'arrêtait pas de hurlé le nom d'un garçon toute la nuit?

Moi: oh. Emmh... Le nom était Zayn?

William: oui.

Moi: c'est parce que j'aime un garçon plus que tout au monde et on m'a oubligé de me séparé de lui de force. Je fait des cauchemars.

William: oh, désolé.

Moi: ce n'est pas grave. (m'adressant à Ali) tes enfants sont tranquilles. J'aurais jamais pensé qu'ils seraient aussi mature à cet âge.

Ali: (rougissant) merci. Les enfants, allés jouer. Je dois parler à Ellie.

Pénélope et William viennent me faire un câlin et partent dans leur chambre.

Cinq fillesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant