Connaissez-vous le Cartel de Cali ?
Une des organisations de narcotrafiquants la plus célèbre du 20e siècle qui est géré par les frères Orejuela en personne ?
Laissez moi vous éclairez Cali est une ville située en Colombie au sud ouest de Bogotá, là...
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Il pleuvait à flots dehors, le temps était triste aujourd'hui, et ça impactais sur mon moral.
Le silence régnait dans la maison, seul la fenêtre de ma chambre était ouverte, ce qui fit résonner les gouttes de pluie qui clapotait sur le trottoir.
Ce matin en me levant j'espérais recevoir un message de Naim , qu'il me demande si j'étais bien arrivée, si j'allais bien. Mais rien de tout ça. J'ai décidé de ne pas penser à ça et faire ce que j'avais à faire sinon sa allais me ruiner le cerveau.
Ce matin je voulais sortir mais seule, donc je me leva direction la salle de bain, je fit ma douche et je me prépara très simplement, je voulais juste me balader.
Alors que je marchais j'aperçu un groupe d'hommes devant moi, basique cet à dire survêtements, sacoche. Dans cette situation, il faut dire que j'appréciais beaucoup que ces hommes me regardent. L'un deux me vit et vint immédiatement en ma direction.
L'homme: Eh mademoiselle?!
En cachant mon sourire victorieux, je ralentis mais sans pour autant lui donner l'heure.
L'homme: Oh j'te parle wsh?
Il finit par arriver en face de moi, je l'observais du regard attendant ce qu'il allait me dire mais visiblement il ne voulait même pas prendre le temps de parler vu que je vit sa main se lever petit à petit pour me mettre une claque mais au même moment la main de Melih arrêta la main de l'homme.
Melih: Oh tu fais quoi là?
L'homme: Elle veux pas me répondre cette pute alors que sa fait deux fois que je l'appel.
Melih: Et alors? Vas-y trace ta route avant que j'te marbre.
Le groupe d'hommes avaient continuer leurs route sans riposter.
Melih: Tu fais quoi dehors?
Moi: Bah j'me promène.
Melih: Et tu peux pas me prévenir?
Moi: J'ai oublier désolée.
Melih: Ouais bah ouais zebi, on rentre.
Moi: Quoi mais non écoute je ne t'ai pas demander de venir me chercher.
Melih: Tu joue à quoi là? Tu veux que d'autres mecs viennent et te gifle?
Moi: Si tu serais pas intervenue j'aurai gérer la chose moi même c'est toi qui à décider de t'interposer.
Melih en colère: Bah vas-y reste ici et fait toi violée tant que t'y est.
Hein? J'avais bien entendue ce qu'il m'avais dit à l'instant, c'est une blague ou pas? Mais j'hallucine c'est quoi ça, je suis vraiment outrée par la gravité de ces propos, je ne réalisais même pas que c'était lui qui avait parler.
Moi: D'accord.
J'avais pris la décision de continuer à marcher j'en avais vraiment besoin actuellement. Après 20 minutes de marche les gouttes de pluie recommençait à tomber ce qui fit tremper mes vêtements et mes cheveux mais c'est pas grave sa m'importait peu. Seul la phrase "Bah vas-y reste ici et fait toi violée tant que t'y est." résonnait dans ma tête, je me disais qu'il c'était peut-être tromper ou je sais pas moi mais non j'essais juste de me rassurer. J'errais seule dans les rues jusqu'à tomber sur un Macdonald's. Ceux de Cali n'était pas terrible alors j'espère que cela sont meilleurs.
Arrivée à l'intérieur il n'y avait pas beaucoup de monde juste quelque famille et groupe d'amis. On aurait dit une folle parce que j'était toute tremper et c'était le dernier de mes soucis en plus de sa je mangeais seule. Je décide de prendre un menu big mac. Eh oui je ne mange pas halal contrairement à ma mère, j'ai décidé de suivre mon père niveau religion, je suis chrétienne. Une fois assise et ma commande devant moi j'avais même pas perdu une seconde avant de taper un croc dans mon big mac, il était tellement bon, c'est trop.
Après réflexion j'ai jugé qu'il était plus préférable que je retourne à Cali, le comportement de Melih m'avait totalement déçu et qui me dit qu'il n'emploierait pas la force la prochaine fois, personne.
C'est avec dégoût et fatigue que je retourne à la maison pour faire mes affaires et prendre le premier vol direction Cali. A ma surprise la maison était vide, pas de Melih en vue et franchement tant mieux car je sais qu'il aurait essayé de me retenir et moi de le repousser.
14 heures 35 je me trouve face à la billetterie de l'aéroport, sans hésiter je prend mon billet et me dirige vers l'avion mais tout à coup mes jambes ne cessent d'avancer et tout mon corps s'écroule..
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