Quand satan est absent il envoie une femme..

𝐃𝐎𝐒

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J'étais fatiguée j'en avais marre de courir alors je me suis posée sur un banc en plein milieu de la ville, il devait être environ 15 h enfin je ne sais pas je n'avait plus la notion du temps. Assise sur ce banc je regardais le vide, la scène passait en boucle dans ma tête, je me disais «non Niamh c'est pas réelle tout sa» mais si, tout c'était bien passé devant mes yeux, mes larmes coulait inconsciemment, je n'avais plus rien, pas d'argent, pas de téléphone, pas de nourriture, pas d'endroit pour dormir. Comment j'allais faire?

Je décida donc d'aller au commissariat peut-être qu'ils pourront faire quelque chose pour m'aider pensais-je. Une fois arriver devant le commissariat je me présente à l'accueil, c'est une femme qui m'accueil avec un air surpris.

Femme de l'accueil: Bonjour en quoi puis-je t'aider ?

Moi: Bonjour madame je suis orpheline, je n'ai pas d'endroit où dormir et ni de quoi me nourrir. Je suis venue ici en espérant trouver de l'aide. Pourriez vous m'aider ?

( Bien sur je n'allais pas dire qui était mon père car des conséquences grave pourrait m'arriver. Etre la fille d'un narcotrafiquant le plus rechercher du pays entraîner certains risques que j'avais peur de prendre.)

Elle me regarde et ne réponds pas, elle était dans ses pensées sa se voyais, je trouvai sa bizarre donc je décida de l'interpeller.

Moi: Madame ça va ?

Femme de l'accueil: Oui excuse moi je te ramène quelqu'un tout de suite patiente sur cette chaise s'il te plaît.

Je m'assoie sur la chaise et j'observe autour de moi, je vois un délinquants faire le fière avec la police en criant " tu vas faire quoi hein hijo de puta", je vois un homme bourré chantonner dans tout le commissariat et je vois une femme avec des enfants, deux plus précisément deux petits bonhomme. Elle était en pleure, sûrement car son mari était dans une salle en train de se faire interrogé par un policier, elle me fessait énormément de peine je voulait aller la prendre dans mes bras et lui chuchoter " ne t'inquiète pas tout va bien se passer" comme j'aurais aimer qu'on me le dise à cette instant mais cela été impossible je ne la connaissait pas, elle allait trouver sa bizarre donc je me suis juste contenter de continuer à observer les gens autour de moi, l'homme bourré a été emmener par un policier et le délinquant aussi, à présent je me sentais plus en sécurité.

Femme de l'accueil: Tu me suis s'il te plaît?

Je me lève et elle me prend directement la main comme une enfant de quatre ans, je n'avais pas compris ce geste mais bon j'ai fait comme si il cela m'était indifférent. Elle me ramène dans une salle avec deux femmes, une été vêtue d'un pantalon assez large, les cheveux blond et ébouriffer avec des baskets , elle m'avait l'air de ne pas se soucier de son physique. Tandis que sa collègue c'était l'inverse elle avait les cheveux bruns en chignons plaqué pas un seul cheveux ne dépassait elle été vêtue d'un tailleur ainsi que de talons toutes les deux me fessait penser au yin et au yang. La blonde me lâcha un regard brève comme si elle avait à peine remarquer ma présence tandis que la brune m'analysa de haut en bas comme si j'était une intrus.

La blonde: Qui est-ce que tu regarde comme ça gamine ?

La brune: Christa parle lui autrement c'est encore une enfant..

Christa: Et alors enfant ou pas elle ne me regarde pas comme sa.

Je n'avais pas compris la remarque de Christa, je la regardais normalement pourtant, enfin bon je n'y prêta pas plus attention.

Moi: Désolée..

Christa: Ouais Ouais excuse toi c'est ça

J'était choquer par son comportement, elle me parlait tellement mal on dirait que j'était un minable chien face à elle et que chaque chose que j'allai dire ou faire allait être juger par celle-ci.

La brune: Enfin bref pourquoi tu est là dis moi ?

Moi: Je suis orpheline je n'ai pas d'habitat, pas d'argent pour me nourrir, enfin j'ai rien quoi..

La brune: Tu est orpheline? Mais alors comment as tu fait pour manger et te loger jusqu'à aujourd'hui et pourquoi ça n'est que maintenant que tu viens ?

Il fallait que je mente pour ma survie, si je lui disait mon nom de famille elle allait directement faire le lien avec mon père et me demander toute sorte d'informations possible voir me faire des test bizarre ou je ne sais quoi. Je ne prend pas de risques. En revanche j'était étonnée par sa perspicacité, elle à été très vif pour faire des liens, je ne pensais pas qu'elle me demanderai plus, je pensais plutôt qu'elle aurait eu pitié de ma situation et qu'elle m'aurait trouver une solutions à la seconde mais bon les imprévues sont toujours la apparemment.

Moi: J'ai toujours volé dans les magasins pour me nourrir et je dormais à même le sol près de Navarro, je me suis dis qu'il fallait que j'arrête de voler et que si je viendrais ici je pourrait forcement trouver de l'aide n'est-ce pas ?

Christa: A part te donner 2700 pesos tu crois qu'on va faire quoi nous pour t'aider hein tu pense qu'on va te couver, te changer t'es couches et tout le tralala non non oublie vite sa. Tu prendra t'es putain de pesos et t'ira travailler dans une boîte de nuit ou je sais pas moi.

Elle avait pris la décision à elle seule sans même avoir l'avis de sa collègue et je pense même que l'avis de sa collègue lui importait peu en faite. J'était dépitée qu'est-ce que j'allais faire moi hein ici c'était mon seule espoir, avec 2700 pesos je vais vivre 3 voir 4 jours et au bout d'une semaine je mourrai. J'avais des sensations bizarre dans mon corps la panique de ne pas pouvoir survivre..