𝐔𝐍𝐎

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7 heures 32 j'entends des coups de feu résonner dans la maison, mes paupières s'ouvrent, mes pupilles n'ont même pas le temps de s'habituer à la lumière du jour

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7 heures 32 j'entends des coups de feu résonner dans la maison, mes paupières s'ouvrent, mes pupilles n'ont même pas le temps de s'habituer à la lumière du jour.
Je regarde autour de moi mais je ne vois personne, ma chambre est vide, vide comme mon esprit actuellement. Mon corps ne bouge pas, il est paralysée à l'idée de savoir que mes parents vont peut-être mourir maintenant à cause de la fusillade chez moi. Les coups de feu se fessaient toujours entendre, j'entendais les vitres se briser et les bouts de verres tomber sur le sol mais je ne bougeait toujours pas, j'attendais de voir mon père ou ma mère entrer dans ma chambre et me dire "tout vas bien ma chérie" mais les chances que cela se produise étaient minimes.
Un bruit me fit sortir de mes pensées, c'était la poignée de la porte qui commençait à s'ouvrir, à ce moment même tout pouvait se produire, mes parents ou un ennemie qui pouvait passer la porte.
C'était ce que j'allais découvrir dans la seconde qui suivait, mon cœur accélérait ses battement, mes pensées se brouillaient, j'avais peur, j'était tétanisée à l'idée de savoir que j'allait surement y laisser ma vie d'avant.

La porte s'ouvrit sur ma mère, une larme traversait le long de ma joue surement parce que j'était heureuse de la voir et de me dire que c'était elle.

Ma mère: Niamh pars, tu dois absolument t'enfuir ils ne faut pas qu'il te retrouvent.

Moi: Non je ne partirai pas sans toi et papa.

Ma mère: Si ils te trouvent ils te tueront sans scrupule.

Moi: Mais maman..

Ma mère: C'est un ordre.

Elle me tendit un collier qu'elle avait fait fabriquer pour moi. Le collier étaient en or car elle savait que je détestais l'argent, la couleur ne me plaisait pas. Il y avait un pendentif c'était une arme avec mon nom de famille graver à l'arrière. Il était magnifique.


Au moment même ou elle me tendit le collier j'entendit la porte claquer contre le mur de ma chambre et trois hommes cagoulés munit chacun d'une arme entrer et attraper ma mère par les bras

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Au moment même ou elle me tendit le collier j'entendit la porte claquer contre le mur de ma chambre et trois hommes cagoulés munit chacun d'une arme entrer et attraper ma mère par les bras. Ils la torturaient devant moi, sans que je ne puisse bouger le petit doigt, j'était impuissante face à eux. Je n'étais qu'une enfant.

Ma mère:  PARS NIAMH, SAUVE TOI PAR LA FENET...

Et la un des hommes tira sur ma mère sans qu'elle ne puisse terminer sa phrase. Je vit le sans couler le long de son visage jusqu'à entendre les gouttes tomber à même le sol. Je devais partir au plus vite, mes larmes me brouillaient la vue, je ne voyait rien tout était flou mais je devais garder mon sang froid.

Celui qui avait abattue ma mère avait les manches retrousser et un tatouage était dessiner sur son bras c'était un "G" écrit avec une police d'écriture spéciale. Je n'y prêta pas plus d'attention et je sauta par la fenêtre sans même me retourner, je courais sans m'arrêter, j'ai même failli me faire écraser mais je m'en fichais mon seul but était de fuir, me larmes ne cessèrent de couler, j'avais mal j'était choquer par ce qui venait de ce passer mais j'étais tellement paniquer par peur que les hommes me retrouve que je ne me concentrais plus sur la mort de ma mère mais plutôt à ma survie..

 Je n'y prêta pas plus d'attention et je sauta par la fenêtre sans même me retourner, je courais sans m'arrêter, j'ai même failli me faire écraser mais je m'en fichais mon seul but était de fuir, me larmes ne cessèrent de couler, j'avais mal j'éta...

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Quand satan est absent il envoie une femme..Où les histoires vivent. Découvrez maintenant