Falling Skies ( Neymar Jr)

Chapitre 6

🎶 Martin GARRIX ft
Julian Jordan
- Glitch 🎶

Point de vue de Neymar :

* Gabriella est partie, il y a 20 minutes au moins du C.D.I. même si je sais que le lycée est grand, mais c'est énormément de temps à patienter pour son retour. Elle ne m'a pas laissé un lapin, je trouve ça bizarre parce qu'elle ne va pas partir sans avoir ramassé ses affaires, je décide de ranger mes affaires qui sont composées de ma trousse et mon cahier et prends son sac à dos avec le mien en main puis je marche vers la sortie en partant en direction des toilettes pour filles. Quand j'arrive devant la porte rouge des toilettes, je recherche une personne féminine pour y rentrer et voir si Gabriella est là, mais le couloir est totalement désert. Je penche mon oreille sur la porte quand j'entends une conversation d'une fille.*

????: tu es fou ou quoi ?

???: tu m'as demandé de lui reverser de l'eau sur elle et après...

????: ferme-la abruti.

???: de base, c'était ton plan.

????: j'avais prévenu qu'elle allait avoir de l'eau sur sa putain de gueule pour l'humilier parce qu'elle porte que des trucs blancs, mais je n'avais pas prévu qu'elle mettait des débardeurs puis que j'allais lui mettre des claques et c'est tout.

???: en même temps, ce n'est pas ma merde, mais ta merde donc la prochaine fois, tu te débrouilles sans moi.

????: tu l'as tué donc on fait quoi ? Pour son corps de la pute de Gabriella ?

???: c'est toi le cerveau du projet pas moi.

????: tu sers vraiment à rien.

* Quand j'entends le prénom de Gabriel, mon cerveau fait 10 000 tours, je ne cherche même pas à comprendre que j'ouvre directement la porte, la vision de la pièce est juste horrible à voir, Gabriella est au sol sans bouger avec ses yeux bleus qui sont fermés sans raison apparente. Je regarde Eva et Primo qui sont en train de me fixer pour voir ma réaction, j'ai juste une envie c'est de les tuer tous les deux, si je pouvais remonter le temps, je l'aurais bien fait mais je n'ai pas de pouvoir magique, ça me fait mal au coeur de la voir dans cette état, je cours vers Gabriella même si je ne la connais que depuis une semaine, je sais et je ressens qu'elle a un bon coeur qu'elle est devenue une forme d'attachement alors que je ne connais rien de sa vie, je regarde si elle respire pour savoir comment elle va. Ça me fait peur de vérifier cela, mais je n'ai pas le choix. Je pose ma main sous son nez en voyant que ça va, au moins elle respire comme si elle dort même si ce n'est pas le cas. Je me relève plus que je ne suis énervé contre ce duo de problèmes. Je m'avance vers eux en les prenant par le col de Primo pour le mettre contre le mur qui se trouve derrière lui.*

Moi : vous lui aviez fait quoi ?

Eva:......

Moi : JE VAIS RÉPÉTER MA QUESTION UNE DERNIÈRE FOIS, TU LUI AS FAIT QUOI SALE CONNE ?

Eva : je... Euh... Mmh.

Moi : TU NE SAIS PAS PARLER OU QUOI ?

Eva : on lui a rien fait.

Moi : alors pourquoi elle est parterre ?

Eva : je ne sais pas moi, elle était déjà là quand on l'a trouvé.

Moi : tu te fous de ma gueule-là ?

Eva : non, je te jure que c'est vrai.

Moi : tu as vraiment une parole de traîné du lycée.

Eva : pourquoi tu dis ça ?

Moi : parce que j'ai entendu votre putain de conversation de merde et je sais que c'est de votre faute.

Eva : c'est lui, il la déteste donc il est parti lui reverser de l'eau dessus. Puis il lui a mis des claques et après, il attrapait et elle est tombée sur le coin du lavabo.

Moi : c'est vrai ?

Primo : je... Euh... Ney.. Je...

Moi : donc?

Primo : c'était un accident et je ne voulais pas.

* Je vais le défroncer comment il peut taper une femme, c'est même pas un homme, je lui mets un coup-de-poing dans son visage sans réfléchir. Quand j'ai fini, je vois Eva qui est choquée de mon geste, elle est accroupie contre un coin de la pièce avec les mains sur ses cheveux, je peux sentir sa peur de ma personne, elle commence à pleurer avec ses fausses larmes. Je soulève Gabriella doucement pour la mettre dans mes bras en mode princesse, ses bras traîne dans le vide, sa tête est contre mon cou, je peux sentir son parfum dans ses cheveux, ça sent la framboise. Je demande à un de mes amis d'aller chercher des plateaux repas comme c'est l'heure du déjeuner, il part faire ce que je lui ai demandé. Je m'assois sur le banc avec Gabriella, je me pose délicatement en faisant attention à elle puis mets la tête sa tête sur ma cuisse. Lino me passe mes plateaux que je pose à côté de moi avec l'aide de Lino, je le remercie puis il part vers notre bande d'amis. Quand je sens que Gabriella se réveille, elle est un peu perdue par ses gestes comme si elle cherche un truc ou même à comprendre ce qu'elle fait là.*

Gabriella : Neymar ?

Moi : oui ?

Gabriella : pourquoi on est dans la cours alors que l'on était dans le C.D.I. ?

Moi : tu as eu un petit problème et donc tu es tombé.

Gabriella : ouh ma tête.

Moi : tiens, prends ton plateau repas pour prendre des forces, tu en as besoin pour la suite des cours de tout à l'heure.

Gabriella : merci.

* Elle commence à se relever, mais elle hésite, elle se tient la tête.*

Moi : ne te relève pas sinon tu
vas avoir mal, manges allonger.

Gabriella : d'accord.

Moi : euh, je n'ai pas de glaçons pour ta tête, mais si tu veux, on peut essayer de mettre une canette du distributeur.

Gabriella : merci beaucoup.

Moi : euh, j'espère que ça va aller.

Gabriella : tu sais, je ne suis pas en sucre donc ça va aller.

Moi : je vois.

Gabriella : c'est quoi le menu d'aujourd'hui ?

Moi : tu as un sandwich au poulet et au thon.

Gabriella : oh.

Moi : il y a un souci ?

Gabriella : pas vraiment, mais j'aime bien les deux.

Moi : si tu veux, on peut faire moitié comme ça, tu as les deux.

Gabriella : tu n'es pas bête.

Moi : pourquoi tu veux que je sois bête ?

Gabriella : parce que les garçons de ton âge sont stupides et immatures.

Moi : pas faux.

Gabriella : bon appétit.

Moi : merci et à toi aussi.

* Je commence à manger avec elle en discutant de tout et de rien, c'est fou comme on a les mêmes goûts, moi qui pensais qu'elle n'est qu'une intello qui sait tout sur tout, comme quoi les apparences sont trompeuses.*

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Fin du chapitre

J'espère que vous allez bien aujourd'hui.

La suite ce soir pour me rattraper du « soudain »

Bisous