Chapitre 1

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🎶My life is going on -
Cecilia Krull🎶

* Je me réveille avec un peu de mal comme c'est la reprise des cours, en plus de ça, je suis nouvelle dans le lycée, c'est pas simple d'être nouvelle dans un monde d'adolescent, mais bon, je n'ai pas trop le choix pour vivre ma vie comme je le souhaite. Parce que j'ai préparé ma tenue comme tous les jours, parce que mon père Andrès n'aime pas que l'on ne soit pas préparer dans notre vie alors il nous a appris à prendre le rythme de l'organisation, je mets mes affaires sur les cintres chaque semaine, je fais sept tenues en même temps, je ne veux pas attirer les fondres de mon père parce que je ne veux pas le décevoir et subir sa colère. Une fois, mon frère Fernando a oublié dans l'une de ses tenues, une cravate pour une soirée que l'on père a organisé dans un restaurant, je comprends parfaitement que Fernando était tellement énervé contre notre père qu'il a attendu d'avoir sa majorité pour pouvoir quitter la maison, j'espère qu'un jour, ça sera mon tour. Malheureusement, je vois rarement mon frère parce que mon père ne veut pas le voir alors que l'on est de la même famille, c'est son fils après tout, mais il est tellement haineux et détestable qu'il est difficile de parler avec lui. Je comprends pour ma mère est partie avec un Brésilien, je pense que mon père ne peut plus vraiment partir dans son pays d'origine, qui est le Mexique comme on est au Brésil, le pays où je suis née donc je suis brésilienne et mexicaine, c'est très original ce mélange, mais ça ne change pas grand chose. Quand ma mère est partie du foyer que mon père a battit depuis des années, mon père a pété un câble, maintenant, je sais qu'il déteste les Brésiliens. Je vais à la salle de bain pour faire ma toilette et m'habiller d'une longue jupe bleu marine avec le gilet assorti et une chemise bleue claire. Je descends pour aller dans le salon, là où il y a toujours mon père pour lire son journal. Il lève sa tête après avoir regardé sa montre. *

Mon père (Andrés) : tu es en retard d'une minute.

Moi : désolé père.

Andrés : la prochaine que tu as en retard, tu verras.

* Je ne dis rien en baissant la tête tout simplement je ne sais même pas quoi lui répondre tellement que sa phrase n'est même pas amicale. Je préfère aller à mon nouveau lycée où je vais pouvoir avoir la paix sans l'avoir dans mes pattes, je prends mon sac sur mon épaule.*

Moi : père, je vais au lycée sur-ce, bonne journée.

Andrés : tu as intérêt à ne pas rentrer tard.

Moi : d'accord.

Andrés : dégage maintenant.

* Je cours de la maison pour ne pas le mettre en rogne, je sens qu'il m'observe de la fenêtre du salon, ce qui peut être plutôt sympathique de la part d'un parent, mais lorsque c'est mon père, c'est très flippant. Je vais à l'arrêt du bus pour aller dans mon école, je monte dans le bus quand je cherche une place, je vois un groupe d'élèves peut-être que c'est des élèves de mon lycée, je ne sais pas pourquoi, mais je sens les ennuis à 10 000 kilomètres. Les filles du groupe rigolent en me voyant peut-être que ce n'est pas moi qui les fait rire. *

???: hé, regarde il y a une bouffonne de service.

??: où ?

???: là-bas.

* Je passe la tête pour ne pas attirer leur attention comme ses filles ne cherchent que ça. Je m'assois sur un siège au fond à côté d'un gars de mon âge qui est sur son lecteur cd, il est chanceux d'y avoir cette révolution technologique, mon père est contre l'idée que j'ai un téléphone car il pense que je ne mérite pas à cause d'une moyenne de 18,9 par trimestre, il dit que je suis d'une telle stupidité qu'il n'a jamais vu cela dans toute sa vie. *

???: hé toi ?

Moi : ( je sais qu'elle me parle, mais je ne réponds pas)

???: tu réponds quand je te parle ?

Moi : désolée, mais je ne parle pas avec les inconnus.

???: c'est plutôt toi qui es inconnu avec tes vieux vêtements pourris comme ta gueule.

Moi : autant dire que tu as le cerveau pourri qui ne cherche qu'à trouver des problèmes là où il n'y en a pas pour montrer ton côté supérieur pour compenser ta vie qui est inférieure aux autres malheureusement dans ta vie, il ne doit rien y avoir pour que tu perds ton temps avec les personnes que tu ne connais pas peut-être que tu es influencé par tes amis, mais quand tu es seule, tu n'es personne.

???: ferme ta gueule.

Moi : oh, je crois que j'ai touché la corde sensible donc ça confirme bien l'analyse des choses.

???: si tu es une élève de mon lycée, tu perds rien pour attendre.

Moi : tu sais à ce rythme-là, tu devrais plus réfléchir parce que ce n'est pas ton lycée, mais le lycée de tout le monde.

???: c'est moi qui le dirige.

Moi : oh et aussi, tu diriges le monde tant que tu es ?

???: tu vas être ma nouvelle victime.

Moi : dans ce cas, j'ai hâte de voir comme tu vas faire lorsque tu vas redoubler et être sans tes amis et l'effet de groupe qui tu rends encore plus débile que tu ne l'as déjà.

???: (elle me tire les cheveux.) écoute moi bien petite conne, tu vas le regretter.

Moi : (je lui arrache la main de mes cheveux.) n'ose jamais me toucher, je ne dis que la vérité, tu es tellement ennuyante que tu es obligé de trouver un truc pour exister.

* Elle voulait me mettre une claque, mais la main du gars la stopper directement sans que j'aie le temps de réagir, c'est la première fois qu'un garçon qui n'est pas mon frère me protège.*

?????: retouche là, tu verras Eva.

Eva : pourquoi tu la défends ?

?????: parce que tu fais de la merde, c'est bon, t'as ta raison maintenant casses toi.

Eva : tu veux te la faire ?

?????: c'est ton problème ? Elle au moins elle a plus de respect pour elle que tu en as pour toi.

Eva : t'as de la chance la prochaine fois, je ne vais pas te rater.

Elle part, je me retourne vers le garçon, mais il a ses écouteurs, je voulais le remercier donc j'attends quand l'on sera arrivé pour pouvoir lui dire. Une fois arrivée, je le fixe s'il n'est pas occupé, mais il me contourne pour aller à la sortie bon bah ça sera la prochaine fois, je vais le remercier plus tard si je le revois un jour. Je suis face à face du lycée, wow, c'est un immense bâtiment, je regarde de chaque côté.

??????: Maria ?

Moi : Fernando (je cours contre ses bras pour le serrer si fort.) tu m'as manqué mon frère préféré.

Fernando : toi aussi, tiens (il me passe un sac.)

Moi : merci, il ne faillait pas te déranger.

Fernando : je sais que tu n'as pas mangé ce matin à cause de ce connard, mais un jour, tu vas vivre chez moi pour être libre.

Moi : j'espère aussi, t'es le meilleur.

* Je lui fais un câlin énormément parce que je suis tellement contente de retrouver un visage si familier. Soudain, quand j'ouvre les yeux, je vois le garçon en question, celui qui m'a défendu qui me fixe, mais quand il voit que je l'observe, il part, c'est très spécial comme ambiance.*

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Fin du chapitre

Bisous 😘

Falling Skies ( Neymar Jr)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant