Ibtissam : devenir quelqu'un pour exister

52.

Moi: trop nul le cours.

Amir: t'as vu, wAllah il était ennuyeux.

Il prend son téléphone dans sa poche parce que il sonnait, enfaite ont étaient sorti parce que c'était notre pause, donc il répond.

Amir: ouais ?

...: ...

Amir: hm ?

...: ...

Amir: wahh mais j'ai cours la baba.

...: ...

Amir: ... vas-y j'arrive.

Il raccroche et remet son téléphone dans sa poche.

Amir: bon j'dois y aller, Nadjib il me veut.

Moi: ah.. mais ont est partis avec ma voiture.

Amir: mehlish j'vais en bus.

Moi: ok, bah vas-y a tout à l'heure.

Amir: vas-y.

Il me tchek et il part.

[...]

Je sors de la faculté en allant dans le parking, je prend mon téléphone parce que je le sentais vibrer, je vois afficher "Walid" mais je me sent tirer en arrière.

Moi: c'est qui ?!!

...: ta gueule.

J'ai reconnu son odeur et sa voix... putain il fait quoi ici ? Il me met sur le capot de ma voiture, comme par hasard il n'y avait plus personne dans le parking, il était tard c'est normal, en plus il faisait un peu sombre. Je me retrouve donc face à Malik.

Moi: Malik bouge c'est bon !!

J'essayais de partir mais il tenait mes bras à l'aide de ses mains, il les serrait.

Malik: je bouge ? Je t'ai dis d'me répondre en message !!

Moi: nan !! T'as fumé il faut aller te faire soigner Malik wAllah !

Il me gifle, je ne peux rien faire, mes bras sont bloqués.

Moi: laisse-moi Malik arrête tu te rends compte !

Malik: j'suis malade moi ?!!

Moi: oui !!

Malik: *il prend mes cheveux* tu réponds à mes messages !! Tu veux j'te fasse comme la dernière fois ?

A l'aide de mes jambes je lui ai donner un coup de genoux sur une partie fragile, il a lâcher un gémissement de douleur mais ne m'a pas lâcher, il m'a donner un gros coup de poing, ma tête elle a balancé en arrière.

Malik: TU VEUX J'T'ENCULE ?!!

Moi: arrête putain !!

Il me gifle encore une fois et il se colle à moi.

Moi: lâche-moi !! Pars !!

Malik: hmm.. tu veux jouer à sa ?

Moi: non !!! Dégage !!

Je n'avais plus accès à mes membres parce que il était totalement collé à moi, il me regarde dans les yeux puis m'embrasse, mais pas doucement mais sauvagement, je faisais tout pour me débattre mais je pouvais pas, je bougeais ma tête.

Malik: bouge pas ! Laisse-moi profiter de ce moment..

Moi: ma.. Malik !! Arrê... tte !!

Malik: ferme ta gueule.