100 choses que je ferai dans... GDCP !

15.

Si j'étais dans GDCP... j'aurais mis la chanson "Pardon" de Ridsa à Fitz quand il est vénère. 

Comment Sophie pouvait-elle garder cette information secrète... Je suis sûr que c'est Oralie, en plus ! Pourquoi ne pouvait-elle pas me le dire... Cette fois, c'était trop. C'était une décision qui nous concernait tous les deux, pas qu'elle. Et moi, je ne peux pas être mal-assorti... Impossible ! Lorsque je rentra à Everglen, Biana me demanda si ça allait, je lui répondu vivement que oui, mais personne ne s'y trompa : je n'allais pas bien. 

Et évidemment, en rentrant dans ma chambre, que vit qu'il y avait l'autre peste avec sa doudoune noir, son jean, son pull kaki, sa doudoune et ses yeux marrons. Et elle s'était ramenée avec sa musique humaine en plus !  Elle écoutait une chanson, allongée sur mon lit. Cette fois, je ne me laisserai pas faire ! Je pris une dague. J'en avais marre qu'on ne me prenne pas au sérieux, ici. C'étais si compliqué que ça ? 

- Tiens ! Salut, le Fitzou ! 

- Ne m'appelle pas comme ça, grommelais-je en appuyant fermement sur le manche de ma lame. 

Elle regarda la lame, me regarda et éclata de rire. Apparemment, l'idée que je la poignarde était si loufoque qu'elle me riait au nez... Elle se leva, et la lame se planta dans le sol. Ses yeux marrons sont brusquement passés au vert, mais je pu y déceler également une pointe de bleu. Elle se tint face à moi avant de me gifler. 

- Mais ça va pas ! 

- Ecoute la chanson, se contenta-telle de dire, ses yeux redevenant marrons. 

Sur ce, elle parti sans un mot de plus. J'étais tellement énervé que je balança son enceinte avant même d'avoir écouté la chanson. L'enceinte ressemblait comme deux gouttes d'eaux à l'autre que j'avais déjà brisée par le passé, mais celle-ci ne se brisa pas. Je réessaya, mais la musique monta d'un cran, et j'entendis enfin les paroles. 

"Jte demande pardon... Pour tout ce que j'ai pu faire, oui pardonnnn..."

Elle voulait que je m'excuse auprès de Sophie... Mais je ne pourrais jamais me remettre avec elle, ça c'était sûr. Et, la blessure était encore trop fraîche pour que je la rappelle. Alors tant pis, on verra plus tard...