C'était un samedi matin. Un comme les autres. Il n'y avait pas école. C'était un début de weekend banal. Après mon réveil et un petit déjeuner copieux composé de céréales et de jus. Le soleil était haut dans le ciel. Pas un nuage à l'horizon. Si seulement j'avais su. Je me préparais pour rejoindre mes amies en ville. Un bus devait m'y emmener. Avant de sortir, j'ai fait un baisé à ma mère qui était assise dans le canapé. Seulement un simple baisé accompagné d'un "A tout à l'heure". Si seulement j'avais su. Mes pas grisait sur les graviers qui composait mon allée. Je n'aurais jamais pensé que le bruit du grincement de mon portail qui m'agaçait tellement ma manquerais. Je continuais ma route le long du fin trottoir qui longeait la national pour rejoindre l'arrêt du bus. Je ne prêta pas attention à la route, border par la musique qui s'écoulait dans mes oreilles. Si seulement j'avais su. Mon chemin continuai en longeant un petit bar, un parking, une ruelle... La ruelle. Si seulement j'avais su. Un petit cri étouffé me parvint aux rapidement aux oreilles. J'ai enlevé un écouteur pour mieux percevoir le son. Il provenait de la ruelle. Elle était sombre. Les pierres des deux maisons qui la composait la rendait quelque peu chaleureuse. Sans trop réfléchir je mis aventura. Les plaintes de la voix s'intensifiait. Je n'aurais pas du. J'étais là, devant eux. Trois hommes possédants une arme blanche ce tenait devant moi. J'avais peur. J'ai pris mes jambes à mon cou sans hésiter et détala la rue. Les trois hommes me suivirent. Ils étaient probablement alcoolisé. Le ciel vira aux gris Les nuages se figèrent et la pluie s'abattait, comme par hasard pour mieux vivre ce moment de malheur et de détresse. J'étais jute au mauvais moment, au mauvais endroit. Je ne suis jamais arrivé à mon arrêt de bus. Je n'ai jamais rejoint mes amies et je n'ai jamais revue ma mère. Quand à ce qu'il s'est passé. Je ne veux pas me rappeler. Je vous laisse imaginer ce que vous voulez.
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Historia CortaRegistre de nouvelles sur des thèmes variées. Libre est mon esprit, libre sont ces nouvelles. Bonne lecture